Encore une bonne journée a "RumbleSchool" (complet

Nous grimpâmes les escaliers quatre à quatre et arrivâmes dans son appartement. Là, elle se jeta sur le lit, m'entraîna avec elle. J'avais le souffle court, elle enleva violemment ses vêtements, j'en fis autant.

Quelques instants plus tard, alors que nous nous reposions sur le lit, Cindy me demanda:

- T'as entendu parler du crack Spun ?

Effaré, je lui demandais:

- Rassures moi, tu n'en as pas pris...?

Elle fit la moue et me répondis:

- Ben si, je voulais que tu prennes une dose avec moi... Allez, viens, on va tripper tu vas voir !

A la limite de l'affolement, je lui répondis:

-Non, je ne toucherais pas à cette saloperie, c'est pas possible, je vais crever ! Nan, tu comprends pas, nan, nan, pas du crack... oh nan...

Elle me coupa, presque les larmes aux yeux:

- Prends en avec moi, je vais bader sinon Spun, juste une fois, je t'en supplies...

Cette fois ci elle pleurait carrément:

- Alex... s'il te plait...

- Cindy merde ! Je... putain, qu'est ce que je vais faire... bon... non... si... d'accord... oh putain c'est un truc de fous, je peux pas !
Nan !

- Alex...

J'allumais un joint en tremblant

- Mais merde... putain, je vais faire la plus grosse connerie de ma vie... Oh merde...

Elle sourit et rigola:

- Ouais Spun ! Hihihi ! T'es le meilleur !

Elle m'embrassa et je rigolais:

- Ouais, c'est cool, mais juste une fois hein ?

- Promis.

Elle se dirigea vers la cuisine et j'entendis des sons d'eau en train de bouillir, de récipients en train de se remplir, des sons qui me firent frémir. Je n'étais pas tranquile et il ne fallait jamais gobber sans être tranquile. Alors pour le crack, ça devait être encore pire... Mais je devais faire ça pour Cindy, pour pas qu'elle se sente mal. Elle revint avec deux serringues, m'en, me fit un garrot autour du bras et enfonça la serringue, je sentis mes neurones se fracasser au fur et à mesure que le liquide pénétrait dans mon système sanguin. Je voulais lui crier d'arrêter, mais c'était trop tard, mon esprit ne me contrôlait plus, une autre personne avat pris ma place dans mon cerveau, je paniquais, l'effet était destructeur. Je sentais s'échapper ma conscience au fur et a mesure que le liquide détruisait mes neurones, je vis Cindy prendre la même dose que moi, puis mes yeux se fermèrent contre ma volontée. Je luttais pour les garder ouvert, dernière étincelle de vie qui me restait, ça y est, les hallu, la folie, je voyais désormais mes paupières éclairées par une bougie verte a la flamme rouge, un smiley tournait devant cette bougie, une face heureuse, une face triste, une face heureuse, une fac triste. Je tentais de hurler mais tout ce qui sortit fut un soupir, Cindy rigola, j'entendis un hurlement démoniaque. Le bad-trip total, je vis approcher quelque chose devant mes paupières clauses. Une silouhette sombre, encapuchée, accompagnée d'une faux, dont les yeux rougeoyant me regardais me déclara dans un hurlement de terreur qu'une conscience normale n'aurais put déchiffrer. Le râle de terreur que je poussais s'entendit dans toute la pièce:


- Gaaaaaaaaaaaaaaarrrrrrrrrrrrrrrrrgl !!...

Le ricanement démoniaque de cindy se tranforma en un couinement de cochon qu'on égorge, je ne savais plus quoi faire, mon hallu progressa, le smiley était devenut rougeoyant, ma vision s'enfonça dans mon oesophage, je voyais mes globule rouge dans les parois crépiter, je les sentis s'arrêter soudainement. Ma vision se brouilla et quelques secondes plus tard, tout fut terminé. La dernière chose que j'entendis fut un sombre ricanement.


[Morale]Ne faites pas confiance aux drogues et aux femmes (lol) ! [/Morale]

Mickael errait entre les cadavre tous cour eclater par avoir trop bu et les cadavre de bouteil. Un moment il vit cinqs mecs qui prennait une fille dechirer pour l'amener dans uen chambre. Il s'approcha et leur demanda.

Mickael : Quesque vous allez faire avec elle ?

Lun des mecs : On va se la defoncer tous les cinqs, ne te méle pas de ca.

Mickale : Ha Ouai, je vous suggere de la laisser et de vous barrer.

Le mec : Va te faire foutre et de toute facon nous somme cinqs et toi seul alors c'est a toi de te barrer sinon, on te met ta tete au carré...

Mickael : Et bien venez, je vous attend...

Mickael posa sa troisieme bouteille de vodka puis enleva sa chemise la plia et la possa delicatement sur une table. Il puis il s'avanca tranquilement.
Tous de suite apres, on entendit en gros vacarne, Mickale avait mi une droite a un des gas qui tomba net. Le deuxieme eu le nés cassé. Le troisieme passa par une fenetre direction dehors. Le quatrieme ressut des coup de genoux dans la tete et eu une touche de cheveux arraché.
Le dernier tant qu'a lui sorti un couteau, Mickael, lui prit une chaise et lui balanca dans la gueule puis lui cassa le bras. Apres cette echauffement il reprit sa bouteille et continua a boire.

Mickael : Maintenant vous avez 10 seconde pour partir sinon je continue.

Les perturbateur prire leur clic et leur clac et partir tres vite en laissant derrier eu un peu de sang...

le lendemain matin, 9h, une bonne nuit de someille avant de recomencer les cours...
*je vois deja tout les potos, sabrina, blunt quels coquins ceux la, tien pourquoi sabrina tire la gueule, bon on vera plus tard...
iriss toujours aussi belle...
mickael un bon lui...
tien ou est Alex, bizarre il est toujours la ou il faut...
faut que je sache ....*
Tobias partit sans aller en cour et cria:
a tout ceux qui ont vu Spun, je veut le voir, forte recompense...

Mégara était réveillé depuis une petite heure. Levée et bien étiré,
elle commença son petit échauffement matinale des muscles, histoire de ne
pas avoir de trop gros problème quand Tobias arriverait.

La jeune fille regarda Corentin , assoupi si il ne faisait semblant.


*je vais pas le reveiller après tout*

Mégara soupira grandement.

Enfin réveillée.

Corentin tourna la tête vers Mégara, un sourire au lèvres.

Alors cette nuit ?

Aurait pu être mieu ... dormir par terre c'est pas top , ça donne
des courbatures....

Elle regarda si la porte était ouverte, mais elle était toujours fermés.
Mégara s'asseya sur la table et regarda autour d'elle.

Il va nous laisser longtemps ici l'autre ?

Ca dépend des ses envies, et surtout s'il nous oublis pas...

Corentin n'avait pas grand confiance en la mémoire de Tobias. Il y avait beaucoup de chances qu'ils els oublient mais bon l'instant présent n'allait pas nous donner la réponse. Attendre était la seule chose à faire, à moins de laisser Mégara défoncer la porte bien sûr ...

-Merde!!
Corentin et Mégara!!
je les avaient completement oubliés!!
ah,ah,ah ils doivent m'en vouloir.
bon j'irais moi-meme...

Tobias tourna les talons et se rendit a la n°18.
arrivé, il sortit une cléf et ouvrit la porte, voyant les 2 compères, assient par terre.

-alors bien dormi messieurs dames.
dit il avant de partir et jeta les cléfs dans les mains de Mégara
-fermez en partant s'il vous plait.

Mégara eut le reflexe de rattraper les clé et de les rebalancer
sur Tobias en visant en dessous de la taille.
Elle se leva, salua Corentin et en passant la porte, poussa le jeune homme
contre le mur d'à côté.

La prochaine fois, occupe toi de ton petit minoit de
loveur. Dailleur jespère bien qu'il n'y aura pas de prochaine fois.

Elle partit, main le long du corp.

Crève !

Corentin se releva et passa ) côté de Tobias sans même lui adresser un regard. Il sortit d'une démarche lente de la18 et continua entre les couloirs du lycée. Il arriva enfin à sa chambre, n°13. Il y entra et claqua rapidement la porte avant d'aller s'allonger sur le lit.

*... Elle est différente des autres ...*

Il resta cinq minutes à se laver et se changer avant d'entendre la sonnerie annonça la réunion générale pour le début des cours. Il sortit rapidement de sa chambre pour foncer directement au lieu de rendez-vous.

Mégara passa dans sa chambre se changer. Ses habits puaient l'alcool à plein nez.
Elle enfila un pantalon noir et large de taille basse. Elle enfila ensuite
un t-shirt rouge sombre avec un pentacle noir sanglant dessus.
En partant la jeune fille prit sa veste en jean noir délavé, couvert de chaines
et partit directement en cour avec son sac.

Ce matin c'était les leçons de français.

* je que je vais m'endormir.*

[Dégnerais quelqu'un répondre ?]

Je donne un peu de boulot aux admins et modo pour qu'une fois que le volontaire ai répondu vous soyez pas au chomage.

Silfer avait passé ses deux de cour a sorité une gastrobière (jus de tomate+bière blonde+martini rouge).
il refléchissait...
*qu'est ce que je vais bien pouvoir faire d'elle*
*j'avous j'ai été pas sympas avec elle. bon*


-joe, va me chercher Mégara en salle c236.
et tu me l'amnene au sous-sol.
on va la baptiser...

un jeune homme arriva en salle C236 et demanda au professeur

-bonjour madame Carak, on demande Mademoiselle Mégara, c'est très important.
-qui sa?
-oh,son grand-père a eu une attaque.
-oh mon dieu, bien sur...

Mégara regarda interlocuté le jeune homme en disant.

Mon grand père est mort lorsque j'avais 9 ans. Vous faite erreur.

Elle regarda ensuite la prof en hochant des épaules.

*Encore Tobias, j'en ai rien à battre y me fou la paix maintenant.
Je ne veux pas ravoir à faire à lui...*

Elle réfléchissa longuement.

Ils doivent s'être gourré dans les nom, ça doit être mon oncle.

Elle se leva et suiva le garçon.

* C'est la dernière foi que je joue à son jeu, va falloir mettre les choses au clair.*

Mégara serra les bandages de son bras droit.

le jeune homme amnena Mégara et l'asseya.
ils étaient dans une piece fermé et bien entretenu.
Tobias et Mégara se retrouvèrent seul et il prit immédiatement la parole.

-bon première chose, je sais que tu dois m'en vouloir, donc je t'offres mes escuses les plus sincère.
et je t'offre le privilège d'ètre ma V.I.P
il n'y en a pas beaucoup ici.
tu peut me demander ce que tu veut gratos, assisté aux soirée gratos et plus de bizutage.
je veut me faire escusé je me suis comporté comme un gamin.
il se mit a genoux
accepte mes excuse je t'en supplie
[i]il se rassit, et lui tendit une coupole de saké frappé a la téquila.

Elle prit le verre et le but d'une traite, les yeux fermés.

Mh...
Dois-je t'excuser ou ne le dois-je pas ?
Toi qui a voulu jouer avec la roue du destin.
Etre au trop grand esprit,étoile du matin
A vouloir bien faire de la haine tu t'attiras

Maintenant à genous devant moi
Tu supplies l'absolution
Tu réclames un pardon
Mais vois-tu je suis un esprit bas

Petit et insignifiant
Qui ne vit que dans l'ombre
Possède des pensées sombre
Ne pouvant te donner ce que tu réclame tant

Elle se leva.

Mon pardon tu ne l'auras pas.

Tobias souriat doucement

j'ai trop joué avec toi
toi qui te dit esprit bas
aux long chalut de la vérité
je ne fais que qu'émandé
un pardon non mérité.

mais tu n'as pu me connaitre
toi qui a une raison d'être
toi qui n'a pas de sangle
qui attache ton coeur et qui l'etrangle
il faut me voir d'un autre angle

par pitié, moi incompris
j'ai appris a aimer
sans aller, toi amie,
fini moi, mais pardonne moi.

Elle souria.

J'ai bien trop de principe pour te frapper
Et pas assez d'amour pour te pardonner

Toi tu ne me connais pas
Tu ne sais rien de moi
Une raison d'être tu dis ?
Mais il y a bien longtemps ma vie à fini !

Elle découvrit son bras et retira les bandages.
Laissant entrevoir des coupures et cicatrices, certaine mal recousu
et encore sanglante.

Chaque jour je chatis ma chair
Moi qui à la mort n'ait su plaire
J'ère encore sans raison
Depuis le temps que j'ai perdu ma maison

Ne te crois pas misérable
Car ce ne serait qu'une fable
Tu es aimé et tu aimes en retour
Ta pureté en vaux le detour

Evite les revus du diable
Si tu n'as pas envie de passé à table
Car moi je ne suis pas vivant
Car moi je ne suis plus comme avant

Son regard d'acier fouillant le visage de Tobias.

je te comprend, mon amie
tu vie dans la douleur
mais aussi dans dans l'oublie

ces blessures sur ton bras
j'ai sais ce que sa signifie
je suis aussi passer par la.

il decouvrit ses bras.
il avait des cicatrice très anciennes sur les poignet et surtout sur les épaules.

tu a souffert le martyr
tu veut toujours en finir
moi aussi j'y suis passé
et en finir a tout jamais

mais j'ai compris que mes amis
était la pour m'aider
et je me suis embarqué
sur une vie qui ne peut me ressemblée

tu me vois aujourd'hui
fiers, fort, bon et infini.
mais au fond je suis
brisé, maladié et fini.

je sais ce qu'est perdre des proche
la terre est fraiche, mais le destin t'accrche
on essait d'oublier, mais la mort se rapproche
mais on sait aussi qu'il est inutile de continuer.

la vie nous a appris des choses
qu'on ne peut oublier
qui nous rendent surement plus fortes
mais qui nous detruisent peu a peu...

il se rassit
-tu vois Mégara, nous sommes pareil.
nous avons parcourus le meme chemin tout les deux.
c'est pour cela que des le premier jour, je t'ai abordé.
pas pour t'aider, mais pour seulement être avec quelqu'un qui me ressemble et qui peut me comprendre...

Je ne suis pas là pour être ton reflet dans un miroir.

Le miroir est superficielle, il n'est pas inquisiteur.
Le miroir ne reflète pas le mal il le crée.
A force de vouloir trouver ton image en les autres tu
causeras douleur et peine.

Elle croisa les bras, et soupira.

Je t'excuse mais c'est bien la dernière fois que je le fais.
Tache de ne pas t'approcher trop de moi et de ne pas
te meler de ce qui te regarde pas.

- nous verrons, ma chère.
je ferais tout pour te protéger.

il lui tendit un petit morceau de papier

-tient c'est un lien V.I.P pour la soirée de vendredi au Venus.
ne t'inquiète pas je ne serais surement pas la.
prend la au moin avant de dire non...

il lui sourrit et repris un verre de saké

Même pas. Je ne suis pas une fetarde, je pense mettre
assez ridiculiser cette nuit quand tu m'as forcé à danser.

Elle regarda la porte.

Tu vas me laisser ici longtemps encore ?
Cette pauvre prof croit que mon oncle a un accident,
je vais avoir droit au codoléance et au excuse d'hyprocrite.

-héhé.
non,non t'inquiète pas, c'est pas son genre.
elle dira rien.
assied toi, je t'en supplie.
bois un verre et parlons.
ca se voit que tu est extenué.
tu n'as pas du beaucoup dormir.
bon, si tu veut j'ai une bonne affaire pour toi.
j'ai une maison, a la fraternité
la n°25, je peut te la loué pas chère.

J'ai déjà la chambre que je loue à l'université et qui me convient parfaitement.
Pourquoi devrais-je loué une autre chambre ?

Elle finit par s'assoir, aggacé de rester debout et pris un verre de saké.

Je suppose que je ne suis pas ici que pour discuter boire et te
t'excuser d'un affront ?
Ce serait plutot louche et cela dirait que tu es bien un saint.
Malheureusement j'en doute.