Trois ans après "La quète pour le Sang"

Sujet: Trois ans après "La quète pour le Sang" Sam 17 Jan 2009 - 17:28

Estel lava sommairement la blessure du soldat couché devant elle. Elle repoussa une mèche de ses long cheveux noirs et jaugea rapidement la situation. A part une profonde entaille qui barrait son ventre, il ne s'en tirait pas si mal. Elle ne pouvait rien faire pour lui sinon lui bander son ventre. Elle cria à la petite nouvelle affectée dans leur tente de soin de lui apporter un morceau de tissu. Elle attrapa celui-ci et commença sa besogne.
Une demie heure plus tard, elle sortit, éreintée de la tente. Il faisait déjà nuit noire, il lui fallait dormir. Elle regagna la tente qu'elle partageait avec trois autres filles de dix ans ses ainées.
Cela faisait bientôt un mois qu'elle n'avait plus vu Mandorallen. Après leur long voyage, ils étaient finalement arrivés aux croisades. Mandorallen se battait tous les jours sans relâche et elle s'occupait des blessés. Un jour pourtant, il ne revint pas.
Elle n'avait aucune idée de se qui s'était produit. Ou était-il ? Que faisait-il ? Etait-il mort ?... Non, bien que tout le montra, elle se refusait à le croire. Il ne pouvait pas... c'était impossible... et pourtant...

Mandorallen avait mal partout. Son corps le faisait attrocement soufrir. Une coupure lui tailladait le visage du dessus de l'oeil droit jusque sur la joue. Il avait aussi eu une flêche planté dans le bras que les saracens lui avait retirer. Au moins n'était-il pas mort. Tout les jours un homme venait lui parler. Apperement était-il encore en vie car lui même avait laisser un saracens partir. Ses armes et armures lui avait été confisquer et on l'avait gentilment intéroger. Aucun coup inutile ne lui avait été porter. Les questions avait fusé pendant près d'une semaine avant que ces geolier ne se rendent compte qu'il ne parlerais pas.
Après un mois un homme était venus le voir. Le regardant dans les yeux il lui avait indiquer qu'il pouvait partir. Mandorallen n'en croyait pas ses yeux. Ses grands yeux gris s'emplirent d'eau. Estel. Enfin il reverrais Estel.
Mandorallen partis par la grand porte. personne ne le retint. Il sortit de la ville de jérusalem et marcha jusqu'au dernier emplacement connu de ses alliés. Épuisé il tomba de tout son long.
Il roula sur le dos et fixa le ciel.
- Estel. Pardonnez moi. Je ne voulais pas. Je vous aime. dit-il au ciel. Puis il sombra dans l'inconscience. Quand il se réveilla, il se trouvais dans une tente pleine de blessé.

Le soleil se levait à peine, pourtant, cela faisait trois heures qu'elle travaillait sans relâche. Les croisés avaient donnés un nouvel assaut à la ville sainte et ça avait été un véritable massacre. On l'avait réveillé en urgence car les infirmières ne s'en sortaient plus. Elle jeta un coup d'œil autour d'elle. Le docteur était épuisé. De grosses goutes de sueur perlaient sur son crâne presque chauve et de grands cernes creusaient son visage. Pourtant, Estel fut soulagée de constater que ses gestes restaient fermes et précis.
Elle murmura quelques mots au blessé et slaloma entre les malades pour chercher de l'eau.
Soudain, elle le vit et s'arrêta net. Mandorallen.
Leurs yeux se croisèrent, elle s'accroupit près de lui, lui caressa le visage.
- Mandorallen...
Anna-Maria, une infirmière aux manières bourrues, la rappela à l'ordre.
- Je reviens.
Elle se leva d'un bond et partit chercher de l'eau.

Warmiles n'arrivait pas a en croire ses yeux. Il devait délirer. Estel s'était penché au dessus de son visage et était partie. Il se rassis sur sa couche et regarda aux alentours. Des blesser, des condamné, des hommes mutilé et des femmes qui s'affairaient à tenter d'adoucir leur souffrances. Pour la pluspart d'entre eux, c'était peine perdus. C'est a ce moment la qu'il la vie. Elle était penché sur un homme avec une entaille lui partant de l'oeil droit jusque sous la lèvre. Elle lui mettait un bandage. Ce qu'elle pouvait être belle.

- Recouchez-vous sergenté! dit une voix de femme autoritaire. Vous n'avez pas encore repris asser de force pour partir. De plus, vous êtes bien chanceux d'être encore en vie.

Warmiles ignora cette voix. Il se releva. Lentement, mais surement. Titubant, il se dirigea vers l'entré de la tente des blessés. Ouvrant la portes il dit a la femme autoritaire,
- Merci pour vos bon soins. Puis il sortis de la tente. il fit le tour lentement du camp et évalua les forces armé présentes. Il retourna alors a son ancienne tente. Elle n'avait toujours pas été défaite. C'était étonnant. Quand un homme était considérer mort, on brulais tout ce qui lui apartenais. Estel avait du venir s'installer ici. Il s'installa dans ca couche et s'endormis. Une douleur lui tirais le bras.

» nouveau RP : "Trois ans après La quète pour le Sang
» La quête pour le Sang
» La quète pour la survie.
» Une petite quête pour changer
» help pour un pauvre forumiste ^^"