Episode 1 : La mission de reconnaissance

Mordraid : Pour commencer on va ramener tous les corps de nos frère d’armes dans le transporteur pour les ramener a la base. Il faut 10 hommes, le reste ce met en formation de défense et je veux des patrouilles autours de la zone.

Mordraid se retourna et commença a marché vers l’épave.

Modraid : Ce nouveau vaisseau possède t’il de armes ?

Apres que les cadavre et les blessé furent tousse embarqué, mordraid commença a monter sur la passerelle.

Mordraid : appelez, un autre transporteur, on va évacuer les blessés et en même temps commencer notre avancer en survolant cette région a basse altitude.
Bon, ce vaisseau peu s’arrimer comme les ancien model au autre barge. Cela nous fera gagner du temps et nous évitera de repartir en orbite pour évacuer les blessés.

Allez tous le monde a bord, laissez les sas ouvert et on survole a basse altitude et faible vitesse, prêt à atterrir et a partir en intervention. Je veux toutes les armes opérationnelles et prêtes à tirer. ALLEZ DU NERF, VOUS CONNAISEZ LA MANŒUVRE, TA DE CON SUEZ, PLUS VITE QUE CA.

-À vos ordres mon colonel. Aller les gars, on a de la vermine à exterminer!

Crull entra au pas de course dans l'appareil et alla s'asseoir au près de son copilote et démarra les moteurs du transport. L'engin tout entier s'éleva légèrement et les soldats désignés et le colonel prient place à l'arrière. Le copilote appuya sur des boutons et poussa la manette des gaz lentement jusqu'au tiers de sa puissance. Le major prit le relaie en activant le moteur de poussé à 5% et en augmentant la puissance de plus ou moins 2% par seconde. Les secousses furent si peu intenses que seul quelques passagers les remarquèrent.

-Les moteurs sont à 47% de leur capacité. Notre vitesse est de 121 km/h et nous volons à une altitude de 25 mètres.

Soudain, l'écran de bord afficha un énorme point bleu et émit un son strident.

-Colonel? Mon radar indique un amoncellement de parasites. 200, peut-être plus. Par mesure de sécurité, je vais monter à 60 mètres.

Une petite chaîne de montagne se dessinait peu à peu à l'horizon et en s'approchant, les passagers purent observer le roc défiler à grande vitesse sous leurs pieds. Le vaisseau passa au-dessus des montagnes et à ce moment précis, la vue des soldats et du colonel fut saturée par d'énormes cavernes creusées par les parasites, ainsi que les quelques Arachnides positionnés à l'extérieur des tunnels et tenant probablement le rôle de sentinelle.

-Mon colonel! dit le major Crull, restant concentré sur ses manœuvres.

-Je sais. Répondit simplement le colonel.

Walter, appuya sur l’interrupteur activant l'émetteur de son casque et distribua les ordres à son équipe et réclama que l'on commence à transférer les troupes sur la planète.

-Nova. Débuter l'opération de transfert de troupe. Équipe Thêta embarquer des hommes et attendez les prochaines instructions au point d’insertion.

Hendrix observa depuis sa place à bord. La roche était creusé de partout comme une fourmillière. Sauf qu'ici à part quelques parasites au dehors, aucun ne montrair le bout de son nez. Cela n'empêchait pas d'imaginer ce qu'il pouvait s'y trouver...

Hendrix : Oh mon dieu! Ca fout les boules ! Imaginez que ces bestiolles creusent ca jusqu'à notre pc...

Soldat Brans : Ahah enfin du bug à exploser! On se pose ou ? j'veux dégourdir mon automatic.

Hendrix : Hey brans fait pas trop le malin une fois sur place ca sera un génocide. Fais gaffe à tes fesses!

Il se tourna ensuite vers le colonel.

Hendrix : Mon colonel ! Quel sont les ordres de missions à partir d'ici?

Mordraid regarda silencieusement les vermines.

Puis se tourna vers le pilote.

Mordraid : Nous allons atterrir ici. Il y a des mitrailleuses sentinelle sur ce vaisseau ? Et des mitrailleuses lourde pour mes hommes ? Il faut aussi des grenades supplémentaire et charge atomique.
Nous allons faire exploser tous ces systèmes de galerie.

Les soldats le regardèrent avec stupeur et ne croyaient pas partir vers une mission aussi suicidaire que celle-ci.

Mordraid : Bon, si il y a tous se matériel je veux tous le monde dans la soute de debarquement pour le briefing

Hendrix alla avec les autres dans la soute sur ordre du colonel. Sur place il verifia, en attendant le briefing, ses munitions et tout son matos.

Soldat Edwouards: Hey Phoenix ! Tiens, prends des grenades t'en aura besoin!

Hendrix : Ah merci vieux !

Il scrutait toujours l'immense gallerie creusé par les parasites. Plus le vaisseau avancait, plus le coeur d'Hendrix se tordait.

Hendrix :Toute cette surface grouillante de bugs... et nous sommes qu'une poigné... En plus modraid est confiant... la seule explication c'est que ca fait être d'enfer !

Soldat Brans : Tu m'as fait peur mon gars! J'ai cru t'avais les boules de descendre!

Sergent Anderson : Du calme mes demoiselles on s'excite pas trop la, v'la le colonel.

...

Alors que les quelques sentinels gardant les entrés de ces souterrains furent degommer par les mitraillettes, les hommes débarqués tentèrent de s'organiser au mieux. Il allait falloir faire face à surment quelques eclaireurs et par la suite un ou 2 milliers de bugs.

Hendrix : Allez les gars on se remue! Il faut s'établir et vite !! Brans ! Prenez une mitrailleuse et allez la poser sur la coline.

Les soldats se préparerent avec le peu qu'ils avaient mais ca commencait à ressembler à quelque chose.

Hendrix : Major, ne trainez pas, si nous avons un probleme. Ca va tres vite ici et je tiens à ne pas me faire déchicter.
Colonel ! Quelles sont vos ordres??

Hendrix regardait le colonel Modraid en attandant les ordres qui n'avaient toujours pas été données. Le temps prèssaient et le peloton ne voulait pas être décimé.

Mordraid fini de tuer un éclaireur avec deux autres soldats. Puis il toucha son casque pour pouvoir parler au pilote.

Mordraid : Ici Mordraid, je veux que vous survoliez le terrain et éliminer le maximum de parasite, je vous veux
toujours prêt a pouvoir nous récupérer dans le plus bref délais.

Mordraid regarda ses hommes.

Modraid : Bon, une fois dans ces tunnel ça va saigner, alors je veux un groupe avec moi qui ouvreront la route et une autre qui couvre nos arrière. Avant de rentrer posez vos tourelles automatiques. Allez les gas en avant.

Mordraid s’engouffra dans le tunnel sombre en allumant sa torche avec la charge atomique sur le dos.

Hendrix fut content de recevoir les tres attendus ordres du colonel.

Hendrix : Ok mon colonel ! On vous suis !

Un détachement d'une disaine de soldats accompagné d'Hendrix partirent suivre Modraid. Malgré le tunnel éclairé, il fesait très sombre des les galleries. Au loin on entendait encore quelques rafales des duex-trois soldats restés en surface.

Hendrix : Bon dieu plus on s'enfonce, plus je sens un sueure froide... A croire que les combats souterrains ca me réussit pas.

Soldat: Ahah t'es qu'une chochotte Phoenix ! Pourquoi tu t'es engagé?

Hendrix : Le 1er qui me critique, il se prend une balle dans la tronche. Ok?

...

Hendrix : Oula! Vous sentez? ca tremble un peu...

Hendrix arma son fusil. Arme au poing, il avançait avec beaucoup de précautions et a la premiere bestiole qui se pointerait, il la dégommerait.

-Leviatan V, en survol de la zone neutre, à 1149 zulu. Nous amorçons une procédure de retour vers le point de largage. À vous QG.

-QG, Reçu Leviatan V.

L'engin de transport entama un virage serré, tirant à vue sur tous les parasites qui entrait en ligne de mire. Les moteur presque silencieux du vaisseau luisait d'un légère lumière vert, émanant des propulseur arrière et latéraux. Crull contacta le colonel Mordraid.

-Leviatan V à colonel Mordraid, nous survolerons de nouveau votre zone dans T-2 minutes. Nous allons mitrailler et bombarder la zone. Abritez-vous! Leviatant V, terminé.

Le pilote d'expérience désactiva le communicateur, d'un simple coup de l’index, laissant évidement les communications extérieurs arriver.

Le copilote, pour ça part, vérifia le nombre de m’initions restante. Le petit écran textile, affichait nombre de données, mais, seul celles concernant l'armement importaient pour le moment. Le copilote jeta donc un rapide coup d’œil sur l'écran de contrôle et détecta immédiatement la bonne sections de données.

Citation :

Armement:

Mitrailleuses calibre 45 (2): En cours d'utilisation
Munitions: 1743 cartouches

Missiles Dalton-H8: Désactivés
Munitions: 10 unités

Blindage: 100%

Le capitaine Cobb dormais sur ca couchette lorsqu'il fut réveiller par une sonnette. On tentais de communiquer avec lui. Roy se leva et se dirigea vers l'intercom.
- Ici Cobb j'écoute.
- Capitaine, ici le commandant Clark. Préparez vous vous décollez dans 5 minutes avec votre escadrille.
- Oui mon capitaine.
Roy ne prit que 2 minutes pour s'habiller et se rendre a l'aire de lancement. Il attendit alors ses ailliers qui arrivèrent 2 a 3 minutes plus tard.
- mesdames et messieurs, les ordres sont simple. Descendre rejoindre Leviathan V et l'aidé. Des questions?
- Non mon capitaine. répondiirent les 10 membres de l'escadrille ghost rider.
Le petit escadrille comptait 5 hommes et 5 femmes. Tous ensemble depuis le début qu'il se sont enrôlé. Ils sont vite devenu les meilleurs pilote de chasseurs. A force de se battre au coté des mêmes personne tout le temps, vous ne pouvez pas apprendre a les connaitres.
Le capitaine Cobb prit place a bord de son Pellican XM-9. Il démarra les moteurs et parti avec son escadrille en formation W. Ils savaient que Leviathan V bombardait le sol autour de la zone de droppage, mais il n'auras pas des munitions éternellement. Il faudra donc quelqu'un pour l'aider et le remplacer en temps et lieu.
Leviathan V ici Ghost 1. Crull vous me recevez. Moi et mes ghost sommes la dans 8 minutes. Nous allons vous aidé.
Et voila, une autre mission était en cours, un autre combat qu'il devront gagné pour assurer la survie et la suprémacie de la race humaine. Vive les Ghost Riders.

A bord du Léviathan V...

- Major Crull ! Excusez-moi, mais êtes vous déjà allé sur le terrain ?

Un bleu de l'infanterie qui voyageait devait être largué en renfort sur le terrain , après le pilonnage,semblait pâle, comme la majorité des bleus, la première fois avant d'aller au casse-pipe...

-Je sais que vous êtes un grand pilote, alors, est-ce que vous pourriez m'en dire plus sur comment c'est en bas ? C'est ma première fois, et y'a pas mal de rumeurs sur le sujet... alors je me disais...

Le soldat Martins ne fut pas rassuré par ces paroles : au contraire, elles accentuèrent son malaise, même si le Colonel Mordraid était connu pour être un survivant....
S'accrochant tant bien que mal au mur, il regagna sa place dans la soute, en compagnie d'autre soldats affectés à l'unité du Colonel... Ne sachant trop quoi faire, il sortit d'une des poche de son gilet pare-balles Anatomie, points faibles, points forts et comportement des parasites par K.H.Roloo, esperant en apprendre un peu plus sur la manière de se comporter sur le terrain...

Les Ghost Riders arrivèrent à temps pour voir le Levithan V décrire une jolie courbe parfaite et en profité pour mitrailler les petits salop au sol. Cobb fit un tour du terrain afin de voir de quoi il avait l'air. C'etait une vallé assez grande entouré de quelque colline, promontoire rocheux et de milliers de ses bestioles. Cobb ouvrit une liaison Com a son équipe.
- Ghost, rester en altitude moyenne, Riggi et Marois, en couverture a haute altitude, moi je reste en razemoteet je les canarde a partir, ''du sol''.
Des voyant bleu se firent voir sur le HUD du capitaine confirmant que tous avait recu leurs ordres. Il descendit alors a une altitude de 5 pieds et commenca un vrai carnage. il y avait du parasites partout et il s'amusais comme un petit fou.

De sa place, le soldat Martin pouvait observer le champ de bataille... Les Pélicans de l'escadron Gosth Rider faisait un massacre chez les parasites... Il observait avec attention le talentueux mais non moins téméraire pilote d'un Pélican qui attaquait en rase-mottes.. Il savait aussi que les Pélicans étaient en revanche beaucoup plus légers et maniables que les bombardiers/transporteurs de type Léviathan... Il régnait une athmosphère de beauté meurtrière et sauvage sur cette scène...Le pilonnage faisait des ravages chez les parasites, mais pour un parasite tombé, dix autres arrivaient en renfort.... Jetant un coup d'oeil, le soldat Martins put apercevoir une gorge, d'où provenait apparament le gros des renforts... Le bleu de la piétaille demanda alors une communication pour le cockpit via l'écran d'interface du vaisseau :

- Major , ici le soldat Martins

-Martins ?! Mais qu'est-ce que vous me voulez encore ?

-Major, je regardais le champ de bataille, et j'ai remarqué une gorge ... à environ 100 mètres au nord-est de notre position... Il semblerait que la majorité des renforts parasites viennent de là...

-Continuez

-Si nous faisions ébouler la gorge, les renforts seraient bloqués, et ...

-Ce serait comme du tir au pigeon...

-Affirmatif Major.

-OK, je préviens le reste de l'équipage... Ah, et Martins,

-Oui ?

-Si ça marche, ce sera un sacré coup de pouce pour gagner cette position... Soldat.

- Major.

Fin de la transmission....

Le soldat Martins retourna à son hublot, et se remit à contempler la bataille...

[HRP] J'ai pris la liberté d'utiliser ton personnage, j'espere avoir bien agi, et dans le cas contraire, j'espere que tu ne m'en tiendras pas grief[/HRP]

La gorge dont parlait le soldat 2e classe Martins n'était pas très large, on parlait d'approximativement 6 à 7 mètres de large, mais des parasites en affluaient à un rythme fou. Le major appuyant seulement sur quelques bouton, allumant de ce fait un signal lumineux dans la soutte, avertissant l'équipage de s'attacher solidement à leur banc, puis une dizaines de secondes plus tard, l'appareil exécuta une piqué en vrille prestigieux. Cette manoeuvre peu orthodoxe avait était érpuvée pour diminuer grandement les risque que des Tanker parasite touche l'appareil pendant une descente et visiblement la technique fonctionnait. La distance qui séparait le Leviatan du sol diminuait à vive allure et une fois les 20 mètres atteint, le transport se redressa et le signal lumineux de la soutte s'éteignit aussitôt.

L'engin atterrit sur le champ de bataille précisément 5.51 secondes plus tard et les porte coulissante pressurisées du vaisseau s'ovrirent, délivrant les ranfort du Colonel. Puis, finalement Crull fit redécoler son appareil et contacta le capitaine Cobb.

-Capitaine, veillez à détruire la gorge située au coordonnées: ,Crull vérifia ses instrument, puis continua, 567-94-01 Foxtrot-Alpha. Les parasites arrivent de là, alors faites en sorte que ses saloperie ne passent plus à cette endroit.

Cobb s'amusais comme un p'tit fou. Son pélican était le vaisseau le plus maniable de la navy et il l'adorais. Mais tout d'un coup, la liaison com grésillait et la voi du major Crull se fit entendre.
- Capitaine, veillez à détruire la gorge située au coordonnées: ,Crull vérifia ses instrument, puis continua, 567-94-01 Foxtrot-Alpha. Les parasites arrivent de là, alors faites en sorte que ses saloperie ne passent plus à cette endroit.
- Bien recu major.
Cobb vérifia les coordoné, la gorge se situé a quelque centaine de mètre de lui sur la gauche. Il fit une manoeuvre extrèmement brusque a plus de 9 g pour se retourné sur la gauche. Le vaisseau c'était arrêter lors de la manoeuvre alors il poussa les moteurs a fond la caisse. Il activa les missile a tête atomique AEGIS. Le missile pouvait percer de la plus simple des manière 6 pieds d'épais de titane A renforcé. Le blindage le plus puissant de la fédération.

Une milli seconde se passa entre le moment de l'alarme indiquant le verroux de la cible, et celui ou le Capitaine tira le missile. Ce dernier disparu dans la grotte. Quelque seconde plus tard, la détonation ce fit entendre et la moitié du terrain s'effondra. Coup au but. La gorge était détruite. La majeur parti des renforts étaient aussi coupé.
- Major Crull, ici le capitaine Cobb, les renforts sont coupé. l'entré de la gorge est complètement détruite. Je continu mon survol a basse altitude, vous pouvez profitez du moment de répis pour aller chercher de nouveau marines. Moi et mes Ghost on s'occupe du reste. À vous...
Le capitaine retourna a sa tache initiale et attendit la réponse du major.

Hendrix et le bataillon sur place sentit tout un coup un énorme tremblement de terre. Le Capitaine Cobb venait de faire sauter la gorge principal des renforts ennemis.

Hendrix : Bon sang Major mais qu'est ce qu'il se passe ?!

Un énorme bruit se fit entendre juste au dessus du détachement. Modraid et ses hommes se trouvaient en dessous d'énorme rocher qui ne demandaient qu'à tomber.

Hendrix : Colonel ! Il faut sortir vos hommes de là !

Le colonel Modraid était perdu dans ses pensées et resta immobile. Au loin, on entendait des bugs arriver. Mais déja la grotte s'éffondrait. D'énorme masses de pierres s'abbatirent sur les hommes au sol. Des cris de peur, de douleur,... tout cela se fesait entendre dans la grotte.

Sergent Anderson : Phoenix ! Aide moi ! J'ai la jambe qui esAAAAAARGH !!!!!

Hendrix : Merde, si on bouge pas on va se faire écrabouiller. Brans ! Dégage tes hommes de là !

Caporal Brans : Et le colonel ?

Hendrix : Il a du se faire zigouiller. On reviendra avec les renforts. Aide moi à prendre Edwouards !

Le reste du détachement pénait à remonter à la surface. En effet sur leur chemin, plusieurs bigs firent éruption. Mais toute les bonnes choses ont une fin et voila que le groupe de survivant déboucha à l'air libre. Sur place, un groupe fraichement débarqué de ...bleus. Pour la plupart.

Hendrix : Martin's !! Le ton d'Hendrix était élevé mais pas vraiment paniqué. Il sembalit "gérer" la situation. ...Hey Doc !! Ramene toi ! J'ai besoin de toi ici !

Pour le moment, l'endroit du débarquement semblait calme. Les tourelles automatiques éffectuaient toujours leur travail. Mais les hommes qui étaient censé rester en plus, étaient éparpillés un peu partout. Par contre, une escadrille survollait la vallée. Elle arborait l'emblême des Ghost Rider's. Le fer de lance aérien de notre pelloton de reconnaissance.

Les ghost continuèrent leur massacre quand ils virent des hommes, disont le comme ca, sortir de la terre. Le peloton de reconnaissance venait de sortir de la grotte qui s'effondrais. Cobb qui volait toujours a 5 pieds d'altitude dégomma encore quelque parasites avant de reprendre de la hauteur et de regarder les envorions. Il envoya un message radio a toutes les unités présente sur le terrain.
- Attention a tous, Ici le capitaine Roy Cobb. La voie est libre pour l'instant, je ne vois plus que quelque petit salop qui tiennent toujours debout sur une patte. Nous restons dans les parages pour surveiller le tout. Si jamais vous avez un problème faite le moi savoir. Cobb, terminé.
Le capitaine se mit a décrire des cercles avec son escadrille au dessus de la vallé. Les hommes semblaient s'en sortir, malgré les morts.

Après avoir été largué sur le point convenu, les bugs avaient été exterminés... Il entendit alors son nom appelé ... Il accouru vers le soldat Hendrix...

- Oui ?

- On a un blessé, il s'est fait écrabouillé la jambe sous des rochers... Regarde ce que tu peux faire Doc..

-OK ! Il s'approcha du soldat... Il gémissait, et avait le visage blême... Il lut Sgt Anderson Bonjour mon sergent. Comment vous appelez vous ?

-Edwouars, soldat...

-Très bien, Edwouards, dis moi, comment tu es arrivé ici ?

-Pas la peine de me distraire Doc, faîtes votre job..

-Bien... Cela risque de faire mal... si on a de la chance...

-Allons-y;..

Martins remonta le pantalon sur la jambe qui avait été brisée... Elle était sévèrement amochée, et il devait y avoir de nombreuses fractures.... Il stimula l'orteil, qui ne produisit aucune réaction... Du sang s'échappait des nombreuses plaies...

-J'ai deux nouvelles : Une bonne et une mauvaise.... La mauvaise, c'est que votre jambe est naze : les nerfs sont H.S, les vaisseaux et les os en charpie.... Si on vous la laisse, c'est la mort assurée, soit par la gangrène, soit par l'hémorragie.. Il faut amputer... La bonne en revanche, c'est qu'on peut remplacer par une prothèse High-Tech recouverte de méta-silicone : votre jambe sera comme l'ancienne, à l'exception que vous pourrez enfoncer une porte blindée à coup de bottes. Cela dit, pour remplacer cette jambe, il faudrait des auto-docs spécialistes en chirurgie, pas mal de matériel et la prothèse... On va être obligé de vous rapatrier, pendant quelques temps au moins... Je demande une évacuation d'urgence

Le soldat Martins se saisit alors de sa radio, demandant au Léviath de rapatrier le Sergent Anderson pour raisons médicales graves et grèffe de cyber-prothèse.

Vous voilà sorti de ce calvaire sergent

Hendrix, qui était accroupit au chevet du sergent, se releva et saisi son automatic. Il se dirigea vers Martin's.

Hendrix : Ok Doc ! Bon boulot ! Philip et Mc Tip vous restez pour aider à monter le sergent dans le levithan. Vous resterez ensuite la pour un poste de garde.
Le reste descend avec moi. On a un boulot à terminer.

Le groupe de renfort vint se mettre aux cotés des quelques survivants des galleries. La plupart n'avait aucunes espériences des combats. Juste un entrainement acharné.
Le nouveau détachement entama sa progression dans les profondeurs. Avant un aller avec peut-être pas de retour pour certain, le caporal établit un com-link avec le capitaine Cobb.

Hendrix : Recon à Ghost leader ! Nous entamons la descente. Je compte sur vos hommes pour exploser tout ce qui reste en surface. Si vous voyez des gros mouvement de bugs, prévenez moi, qu'on se fasse pas prendre en sandwich. Mais surtout attends moi pour le poker !

Il se tourna vers ses hommes et lança :

Allumez-vos torches et collez moi au cul si vous voulez pas vous faire embrocher par des éclaireurs. Il n'y a que ca pour le moment.

Soldat Elliot : Hey Caporal ! Vous croyez que le colonel a survécu ?

Hendrix : Honnetement, j'en sais fichtre rien mais ça ne m'étonnerait même pas de lui !

Hendrix s'approcha du toubib qui marchait en peu en arrière de lui.

Hendrix : Alors doc ? Comment tu trouves ta première intervention ? J'aurais aimé te présenter le colonel mais le seul officier que jme tape maintenant c'est l'officier Klark *Rire moqueur*

Klark : Ta gueule Phoenix ! Si tu veux que je couvre tes fesses faudra être plus sympa !

Hendrix : Moh ! Prends pas la mouche HG's ! Ahah !

Le caporal tenta un maximum de détendre l'atmosphère du détachement qui lui paraissait fort tendu. Après tout, c'est un peu son job.

Cobb continuais ses cercles autour de la zone de droppage quand il recu une com du sergent phoenix. Il lui répondit.
- Si tu veut jouer au poker phoenix t'est mieux d'arriver a temps pour le début de la partie. Aller, je te couvre le cul... pour le moment. Rire gras Aller, trève de blagues, je te préviens si je voi quelque chose de suspect. Une dernière chose les gars. Faite vite, et faite attention.
Cobb ordonna à Riggi d'aller patrouiller plus loin avec Millette. Étendre la zone de patrouille ne feras pas de tort.