mission prioritaire : survivre ...

Le transale survolait l'ocean pacifique, John se mettait de la peinture sur son visage tout en regardant son équipe. Il partait avec un sourir confiant. Le point de largague etait proche, il etait impassiant de sauter en Halo a 10 000 metres d'alititude. Il regardait le largueur et fixa la lumiere rouge et attendait le voyant vert.

La nuit était froide, mais nuageuse et la carlingue de l'appareil crépitait lorsqu'une bourrasque de vent se faisait sentir.
Le saut n'allait pas être de tout repos, mais toute l'équipe était entraînée à sauter de jour, de nuit, sous la pluie, dans le vent, etc...

La mission était secret défense, il avait dit à sa famille et à ses amis qu'il partait en campagne en Asie et avait fait son testament au cas où.

Il écrasa la clope qu'il venait de fumer, il fumait toujours une clope avant de partir au combat, c'était un peu la clope qui donnait du baume au coeur et du courage pendant la mission.
Il fut sorti de ses songes par son chef qui briefé les membres du Squad. Il devait sauter juste avant le container qui transportait de l'armement dont une Minimi pour le soutien et sa M24 s'il devait allez en reconnaissance avec son fusil de sniper, mais aussi des munitions et de l'équipement.
C'était dangereux pour lui car si une bourrasque de vent imprévus venait à arriver il avait toutes les chances de prendre le container dans la tête ou pire dans son parachute...

Le saut allait bientôt commencer et il vérifia la sécurité de ses armes, il regarda aussi que ses chargeurs était plein et à portés de main en cas de riposte, il attendait plus que le voyant vert.

On entendait les resonnance des moteur du transal, quelque petit secousse.
Puis uen vois retenti par les hautparleur de la soute de largague.

Pilote : Espace aerien de Bornos Surna en vue.
Nous survolont la zone a 10 000 metre d'altitude.
Condition entycyclonique OK.
CAVOK (visibilité parfaite)
Largague dans 20 minutes.

Le largueur se mi au milieu de la soute.

Largueur : Vérification de l'equipement.
Enlevez la goupille de securité du parachute principal
Depresurisation de la cabine en cour.

Tous le monde executé les ordres avec abitude.
John s'assurait que son materiel etait bien attaché pour une derniere fois.

Pilote : Largague dans 10 minutes.

Largueur : Mettez vos masques.
Connenion des tuyaux d'oxygenne au connecteur interne.

Pilote : Largague dans 5 munutes.

Le voyant rouge passa a l'orange.

Larguer : Depresurisation terminé.
Verification de l'apport d'oxygene.
Ouverture de l'écoutille arriere.

L'écoutille s'ouvra et l'air s'engoufra dans la soute. Le vent souflé tres fort. John regardait droit devant lui il etait le premier à sauter. On pouvait observer un beau coucher de soleil au dessus des nuages.

Largueur :Temperaturer -46°C
Activation des bouteil d'oxygene de secour.

Tout etait enfin pret. L'adrenaline commencait a monter et l'envi de sauter etait grande. On entendait les vetement claquer contre la peau par la puissance du vent.

Pilote : Largague dans 2 minutes

Largueur : Preparez vous !!!

Tous le monde s'avancaient, juste devant l'ecoutille.
John regarda tou ces hommes puis se retourna vers le couché de soleil.

Largueur : statu OK, je feu vert est donné. Largague dans 10 secondes.

Le voyant passa au vert.
John s'avanca sur l'ecoutille, au bord du vide.

Largueur : Compte à rebour 5 , 4 , 3 , 2 , 1 !!!

John se laissa tomber par son poid et parti en saut de l'ange. Puis une dernier voi se fit entendre.
Pilote :Ouvrez vos ailes et que dieu vous garde!!!

John se mi en position droite pouer pourfendre l'air et traversait les nuages.

John : Le dernier a terre pays sa tourné au retour de mission.

Axel sauta en troisième, les tours étaient déterminés par les grade de chacun, le plus gradé sautait en premier et ainsi de suite, sinon ils tiraient à la courte paille pour désigner leurs places.

Il sauta la tête la première en saut de l'ange, puis colla ses mains sur son corps pour prendre un maximum de vitesse, l'altitude baissa peu à peu mais la température du vent était toujours négatif, il avait enfin atteint la vitesse de 65 mètres secondes.
La chute libre allait duré entre 2 à 3 minutes pour les moins lourds, dont il faisait partis, il avait grandement intérêt à se dépêcher s'il ne voulait pas finir dernier ou de déclencher son parachute au dernier moment.

Mais une forte bourrasque de vent vint gâcher la partie, elle la percuta en pleine axe, et lui fit faire un salto non voulu, mais sa crainte se réalisa, le contenair lui aussi fut touché, ce qu'il l'entraîna carrément en dehors de la zone de largage...

"Chef... On à un problème, le contenair ce dirige vers les côtes, je répète le contenair ce dirige vers les côtes, ça nous prendra des jours à le retrouvé..."

Il regarda sa montre altimètre elle noté 1000 mètre, encore 300 mètres et il devait déclencher son parachute pour amorcer sa descente...
900 mètres.
800 mètres.
700 mètres.
Il tira sur la sangle et son parachute se déploya sans problèmes malgré la légère secousse qui en resulta.

Il se posa sans accroc sur la zone, elle était situé en aplomb de l'île, c'était un emplacement stratégique très utile. Il décrocha son parachute, prépara ses armes et ses affaires en attendant que les retardataires arrivent.

Je me réveillais avec l'impression qu'un immeuble m'était tombé sur la tête, ce qui était presque le cas. Les murs autour de moi... non ce n'était pas des murs, ce qui expliquait le côté "flottant". C'était du tissu. Des tentes de l'armée. Je n'avais aucun apriori contre les militaires, mais je n'aimais pas leur camp dressés à la hate, leur inconfort total et leur bouffe dégueulasse. Je soupirais et bougeais le bras gauche lentement.

Ahhhh ! Putain ça fait mal !

Plutôt surpris, je me rendis compte que j'avais un plâtre au bras gauche et quelques bandages sur le corp.
Je me souvenais bien de la scène, d'abord, le mur qui tomba, inexplicablement, après une explosion tout aussi inexpliquée... Puis la chute. Longue, vertigineuse par moment. Au fur et à mesure que les plafonds cédaient sous la structure, je perdais des étages, parfois deux à la fois. Puis parfois des pans de mur restaient accrochés et me retombaient dessus un peu plus tard... Une horrible chute,j'en réchappé miraculeusement.
Je pensais soudainement à une chose qui me semblait importante, mais sans réussir à mettre une idée dessus, c'était juste une impression... Puis je me souvins. Mes années de travaux sauvegardées dans les disques dur des ordinateurs... mon visage se crispa, mais l'espoir que les disques dur aient survécu à l'éboulement m'évitèrent de pleurer.
Il était temps de bouger un peu, je tentais de me lever mais un médecin intervint, habillé en blanc étonemment, il venait surement de l'hopital situé dans le base militaire principale.
Il m'intima de rester coucher sous peine de m'amputer le bras.
Je souriais, au moins l'humour était toujours de la partie et j'aimais rire. Mais je savais qu'avec mon âge avancé, il valait mieux écouter l'avis des médecins. Je ne referais pas deux fois cette erreur.

John se posa, ca chute se passa sans probleme. Mon son aterrissage moin, son parachute c'etait prit dans les arbres. Il etait suspendu par les harnets., il etait qu'a 5 ou 6 metres du sol. Il se souleva en l'edant d'une sangle pour decrocher l'autre, puis il se trouva suspendu par qu'une seul, il fit pareil pour l'autre, et lassa pour tomber, il se atteri avec grasse.
Puis il verifia son materiel. Pris en main son M15A4.

John : A toute l'équipe regroupement.

Puis il vit Axel et se dirigea vers lui.

Dragon mûr Nombre de messages : 450 Date d'inscription : 26/03/2006

Alice ne savait pas depuis combien de temps elle était restée dans ce petit placard... Dans la pénombre des couloirs du complexe scientifique, elle savait que ces choses rodaient. L'odeur de sang lui donnait la nausée, et elle s'imagina l'état des lieux. La vision de ses collègues la traversa et elle retint ses sanglots car le moindre bruit pouvait la perdre. Parfois, Alice entendait le passage des monstres dans les couloirs, et jamais, elle n'avait été découverte, pourtant la jeune femme était consciente que tôt ou tard il faudrait sortir. Alice déglutit à cette pensée, le courage lui manquait trop. Elle jeta un coup d'oeil à son arme, un M9, quelle n'avait pas encore utilisé. Un terrible frisson la traversa, et si jamais les secours ne venaient pas? La tentation de se tirer une balle dans la tête était grande, cependant, encore une fois, le courage n'y était pas. Alice se sentait si misérable... Cette fois-ci elle sentit des larmes chaudes couler le long de ses joues pour se perdre aux coins de ses lèvres, mais soudain, des bruits de pas la forcèrent à se reprendre, elle retint sa respiration jusqu'à presque s'étouffer et ne fit pas un geste. Alice fut soulagée d'entendre les pas de ce monstre s'éloigner... Une question dans son esprit lui noua le ventre: et si jamais j'étais prise? La jeune femme savait que ce n'était pas une solution de rester ici car la soif et la faim la tenaillaient, et, que la probabilité d'être découverte devenait de plus en plus clair. C'était décidé, il fallait sotir d'ici coute que coute. La chose positive dans cette histoire, c'est que la jeune femme était encore dans la partie en surface du complexe. Elle se raccrocha à cet espoir. Alice poussa enfin la porte du placard, le grincement de celle-ci lui sembla être un bruit tonitruand. Avant de sortir et de se mettre à découvert, elle inspecta les alentours. Malgrès l'obscurité, elle pouvait remarquer les taches sombres de sang coagulé sur le sol.. Cet instant lui sembla être une éternité et elle redouta que sa vessie ne tienne pas le coup. Enfin, Alice se retrouva à longer les couloirs, l'arme à la main, déterminée à fuir...

Axel leva la tête et regarda en direction de son Chef :

"Tout le monde est là chef, mais on ne peut pas en dire autant du contenair, il à du atterrir dans l'eau, le GPS est complètement naz, il à du prendre un coup... Il nous reste plus que la radio pour joindre la base, heureusement on nous à donné une carte de l'île avant de partir. Normalement on doit être dans cette zone (en montrant la croix rouge) et le container doit se trouver ici (en montrant la croix noir), on doit être à quelques kilomètres à pied de la première base (en montrant la base J)"

mission prioritaire : survivre ... Ilebm10bc4

Il prit une cigarette à un des membres du squad et l'alluma à l'aide d'un Zippo puis continua son rapport :
"Je vais appeler la base pour leur faire part des derniers événements"

Il prit la radio satellitaire, l'alluma et enclencha la conversation :
"Ici Bravo Squad, à QG , Tête de Pont établie, nous avons perdu le colis, je répète nous avons perdu le colis, à vous."
-"Bien reçus Bravo Squad, je repète Bien reçus, Commencez la reconnaissance des lieux, à vous"
-"Bien reçus"

"Chef, je vais commencez la reconnaissance, je vais voir de plus près la Base J, je reviens dans 2 heures maximum, je reste en contact radio permanent, je prend mon arme, même si pour l'observation ,elle ne me sera pas utile, je le prend quand même on sait jamais...
Puis personne ne sait ce qu'il se passe sur cette île, c'est le moment de vérité"

Il prépara son équipement, il se débarrassa tout ce qui était superflus pour faire le moins de bruit possible, il se maquilla le visage de noir, scotcha un deuxième chargeur sur celui de son Mp5 et laissa tout le reste à part des jumelles infrarouge et un viseur laser.

Il partit en direction de la base sous la surveillance de ses équipiers restés en haut. Il traversa une forêt dense par endroit et désertique par d'autre, il en profita pour renseigner son chef, quelques dizaines de minutes plus tard, il escalada une butte de hauteur moyenne et s'allongea sur le sol à couvert, il retira la sécurité principale de son arme en laissant la secondaire qui se trouvée à côté de la gachette.
La base était désertique :
"R.A.S , Major, la Base est vide, aussi vide qu'un putai...

Il resta bouche bée, il n'ut pas le temps de finir sa phrase qu'une chose, un animal, peut être un homme était passé devant une des portes de la base, il n'avait pas bien vu, il était loin, son coeur se mit à battre de plus en plus fort, l'adrénaline était monté, il serra encore plus fort son Mp5 et se mit en position de tir :
"...Chef, j'ai... j'ai vu un truc, je serais pas le définir mais j'ai vu quelques chose, qui marchait vite, comme dans un film chef, ça ne présage rien de bon, je reste sur place...je fais un rapport dans 5 minutes..."

Il sentit son coeur battre à toutes vitesse et pourtant il en avait fait des missions d'infiltration ultra-risqué :
"Ca ne peut pas être pire qu'en Irak " disait il tout bas, comme pour se rassurer...

John : reste en position. Nous arrivons.

Ils traversérent la jungle pour arriver enfin à Axel.

John : mettez vous en position et verouiller un perimetres.

Il commenca a remper jusqu'a Axel et pris les jumelles.

John : Alors quesque tu as vu ??

IL ratissait grasse au jumelle toute la base sans voir un signe de vie.

John : aucun garde sur les miradors, aucune patrouille mais les lumieres son allumé. De la fumé sort de la cheminé de l'un des barraquement.

Tout c'était bien passer jusqu'à maintenant, rien d'anormal à signalé pour l'instant. Le sergent première Classe Cobb avait sauter en quatrième de l'avion, il avait laisser sa place a Axel.
Ils avait fini par retrouver la base qu'il cherchais. Par contre, a par la fumé, rien ne laissais croire a la présence de quelqu'un, ou de quelque chose.
- Major, je la sens pas celle-là. Pourtant vous me connaisser, j'ai pas l'habitude de m'en faire mais, là. C'est pas normal.

John : Tu a peur Cobb ??
Bon arretons les plaisanteries, en foramation je veus une distance de 5 metres entre tous le mondes, nous descendons vers ce campement. Axel part en eclaireur, nous gardons contacte radio.

Le groupe commenca a s'engouffrer dans la jungle sombre et terrifiante en direction du campement militaire

Cela faisait des heures et des heures que l'incident était arrivé. Des heures car la femme n'avait pas eu l'occasion de sortir de ses fourneaux depuis. La peur de l'inconnu, puis l'angoisse de revoir cette scene horrible. C'était aujourd'hui ou jamais.
En effet, elle était en train de chantonner tandis que ses larbins travaillaient, comme d'habitude, quand l'un des scientifiques debarqua mains nues, et s'était rué sur l'un des cuisiniers les faisant tomber tous deux. Il avait aussitot enfonçé une main sur le visage de l'homme afin de le bloquer, puis de sa bouche il lui arracha la chair du cou, et tout ce qui se trouvait en dessous. Un spectacle horrible, même pour une femme qui avait passé la majeure partie de sa vie dans cette ile, et qui y avait égorgé des nombreuses betes afin de les servir au dîner.
C'est un colosse qui réagit plus vite que ses semblables, et qui enfonça un rouleau de tapisserie en travers du visage de l'autre, si bien que le scientifique en perdit un oeil. Pratiquement aussitot, une espèce de tentacule organique sortit de l'orbite, et l'homme s'en releva. Sous l'effet de panique, le personnel de cuisine prit la direction de la sortie, et l'humain infecté partit lui aussi a leur suite.
Totalement abasourdie par LA scène, elle était restée enfouie dans sa cuisine .. jusqu'a aujourd'hui. C'était aujourd'hui ou jamais. Elle s'arma de deux couteaux, les rinça doucement et essuya les lames sur son tablier. Elle chercha un fusil, eguisa la première, puis rangea le couteau de boucher sous son tablier, fourra aussi un gros jambon dans un sac, l'enfila sur on épaule et se faufila dans les couloirs du complexe scientifique (E).

*Il faut que je comprenne ce qu'il se passe ici ..*

Ceci étant pensé, elle enfouis son réel but , celui de trouver au plus vite une embarquation et de s'enfuir de cet endroit.

Le Groupe c'était approchait du poste militaire. John avait ordonné le deploiment pour securiser la zone, dans la cour aucune presence de vit. Puis, il ordonna de rentrer dans les fortification, le groupe avancait prudament, arme épaulé et rester le plus souvent à couvert, mais toujour aucune signe de vit, on pouvait remarquer quelque douilles et chargueurs éparpillé et du sang. John ordonna de fouiller les differents barraquements pendant que d'autre gardé l'exterieur et de rester en communication constante.
Il rentra dans un entrepot, il y avait des caisses en ferraille, en bois, des tonneaux et plein d'autre chose. Il y avait des traces de sang sur certain des murs et à terre. Quelque lumiere eclairaient la piece qui laissé beaucoup de zones d'ombre. Son coeur battait a un ritme éssé abituel. Puis un objet tomba à terre, John se dirigea vers le son, et trouva un militaire droit devant lui, il se tenait droit et titubé sa tenue taché de sang et la tété baissé.

John : A toute l'équipe j'ai trouvé un survivant, Axel venait me rejoindre.

John : Sergent, vous allez bien ? Nous somme l'équipe de secour.

Il s'approcha vers l'homme en mettant son arme à son epaule.
En arrivant à un metre de lui, l'homme leva la téte et hurla quelque chose d'horriblement aigu, sa bouche etait pleine de sang et ces yeux blanc. Il sauta sur John en lui tenant son bras gauche et son epaule droite, John etait plaqué contre le mur, l'homme essait de lui mordre la gorge, John attrapa le coup de l'homme et se mi a lui donner des droites, L'homme serait tres fort les membre de John, puis des tentacule sortirent de la bouche de l'homme, John ne s'avait pas quesqui se passait, les tentacules enrouerent autour du coup de John et commencerent à l'etrangler et casserent les micro qui se tenait au coup. John eu pour la premiere foi peur, mais il se debattait encore et tennait la tete de la creature au loin. Il essaillait de crier mais aucun son ne sorti, les tentacule sérraient de plus en plus fort et la creature hurlait. Tous les deux tomberent à terre, John pris son M9 de sa cuisse avec un peu de mal. Puis tira deux balle dansle corps de la creatures, le sang coula sur lui, mais la creature ne reagissait pas, l'arrivait de son equipe le tardé. Puis il reussi a metre le canon dans la bouche a travers les tentacule, et tira plusieur coups, 5 en tous, le sang gicla partous, John avait le visage couvert de sang et autre morceaux. La creature lacha prise et John pu lui foutre un coup de pied pour sorir de son entreinte. Mais la creature etait encore vivant et toujour aussi combatif pendant que John toussait tous se qu'il pouvait et reprennais ses esprits.

Dragon mûr Nombre de messages : 450 Date d'inscription : 26/03/2006

Alice longeait les murs du couloir, son seul objectif était la sortie. Elle espérait réellement qu'il fasse jour dehors, car, Alice savait que la nuit n'allait pas être un avantage pour elle, surtout que la jeune femme était consciente de son sens d'orientation presque inexistant, d'ailleurs, elle s'étonna de pouvoir se repérer dans le complexe malgrès le changement radical de décort... Son coeur battait si fort qu'Alice redouta que cela attire les monstres, encore une fois la scientifique s'imagina être prise et elle en eut des sueurs froides. Alice fixa un instant son arme, histoire de se rassurer, la jeune femme ne regretta pas de l'avoir prise sur le cadavre d'un agent de sécurité. En passant devant les cuisines, Alice se rappela sa faim, cependant sa volonté de sortir était plus forte que son estomac, si la jeune femme s'en sortait vivante, elle aurait tout le loisir de manger et de boire. Soudain, une silhouette qui semblait lui tourner le dos, se dessina. Alice en eut le souffle coupé et serra son arme pour tirer, mais était-ce un ennemi ou un allié? Cette question la fit hésiter. Cet individu avait un sac à l'épaule, et plus la scientifique s'attardait sur sa silhouette plus elle pensait que c'était une femme.

"Ok chef j'arrive, je suis là dans 2 minutes, Cobb, tu viens..."

Il remit la sécurité sur son arme, sur que le danger était parti, mais c'était avant que les coups de feu n'interviennent, ceux d'un pistolet...

Il courra de toutes ses forces et vu son Major avec une autre personne à 5 mètre de lui, il se rapprocha et se mit en position de tir, prêt à faire mouche sur un éventuel ennemi. Son chef était pensé, il toussait fort, et l'autre était couvert de sang, de boyau et de tentacules, Axel fut comme tétanisé, le doigt sur la gachette ne tira pas. Il lui fallu que le homme viennent sur lui, pour que la première rafale parte en direction de son visage. La chose avançait toujours, il retira en direction du coeur et du ventre et lui mit deux courtes rafales dans les jambes, la bête s'écroula, elle saignait abondamment et l'odeur devint insupportable.

Il s'approcha prudemment, Cobb était derrière lui, la bête convulsé encore en vomissant du sang, il mit son arme en coup par coup et lui rajouta quelques balles, sur tout le corps...
Il se dirigea vers son chef couvert de sang, qui avait récupéré ses esprits et son souffle...

"Chef c'est quoi se putain de bordel, j'y ai laissé moitié de mon chargeur... et vous ça va ?"

Il s'alluma une clope, il était stressé, ses doigts tremblés...

"Si j'avais vu ça, j'aurais pris 15 chargeurs... ils nous ont rien dit au briefing, c'est une mission suicide..."

John se tennait le coup et se le frotté, il avait des trasse bien visible. il enleva son micro cassé et prit la radio en manuel.

John : Rassemblement, restez sur vos garde.

Il prit la clope de Axel et tira dessus.

John : Oui ca peu aller. Je ne sais pas quesque c'est cette merde, mais pendant un moment j'ai bien cru que j'allais y passer.

Il se raprocha du cadavre en s'essuyant le visage et la veste du sang et autre morceau de chére.
Le monstre.

John : Ou esque qu'on c'est encore fourré.

Le reste du groupe arriva et decouvri la scene morbine qui galcé le sang de chacun d'entre eux. John redonna la clope a moitier fini a Axel.

John : Bon, apparament je n'ai pas revé ce truc n'est pas humain ou plus. La base est deserte, avez vous trouver quelque chose ??

Un soldat : Oui, deux cadavre, un sergent et un premier classe dans une piece brricadé. Il ont du vouloir repousser cette creature, mais leur tentative furent veine. Mais le hic dans tous ca, c'est que ces soldats se son fait tuer par plusieur individu, il y a plusieur trace de pats faite avec le sang.

John : Et merde, Bon on va aller au centre militaire principale en esperant ne pas recroiser ces choses. Axel, trouve nous un vehicule, on part d'ici. Je veux que la zone soit securisé, mais pour toute securité pour ne pas tuer un survivant, utilisez les somations. Si l'individu ne repond pas au bou de la troisieme, vous avez ordres de tirer.

Le temps passe lentement lorsque l'on est allongé sur un lit de camp en train de se faire soigner. Que nous reste-il a faire dans ces moments la, à part draguer les infirmières militaires ? Surtout à mon âge... Je rigolais intérieurement.
L'une d'entre elle arriva justement pour me faire une piqure d'anti-inflamatoire pour mon bras, une faible dose de morphine pour calmer la douleur. Presque aussitôt, mes yeux se mirent à rouler et mon état se fit comateux. J'eut tout juste le temps d'admirer le magnifique arrière train de l'infirmière qui s'en allait. Et aussi le temps de voir une étrange chose noire monter sur la table de chevet et tenter de monter sur le lit. Apercevant cela, complètement glacé d'effroi, je n'eu tout d'abord aucune réaction. Puis, voyant que la créature ne s'intéressait pas vraiment à moi, je tentais de me calmer et de ne pas bouger. Le monstre passa son chemin et sortit de la pièce. J'eus à peine le temps de me lever en urgence, titubant sous l'effet de la morphine que j'entendis un cri dans la pièce voisine. Un cri suivit d'affreux gargouillements, qui rapellaient trop le bruit d'une trachée coupée qui crache du sang... Entre l'affolement et l'état de défonce dans lequel j'étais, la réalitée en prenait un coup.
Je me mis donc à courir en dehors du camp, j'apercevais les restes du complexe et me demandais toujours comment ces créatures avaient pu faire un trou aussi énorme dans la structure... Le bâtiment s'était éffondré sur la quasi totalité de sa surface et les dégâts dans les souterrains devaient être encore pire. Seuls subsitaient les cuisines qui étaient situées au rez de chaussés et quelques étages au dessus, à moitié en ruine. Malgré tout, l'entrée des cuisines était bloqué par un énorme bloc de béton et le reste était carrément ensevelit sous les décombres. Il était même dur de dire si l'intérieur des cuisines n'était plus qu'un amas de débris et de corps. Je ne savais pas quoi faire, je me sentis soudainement ridicule d'avoir eu si peur,la créature n'était peut être qu'un hallucination. Et le cri ? Tout cela avait l'air bien vrai...
J''hésitais, à mi chemin entre le camp militaire dressé à la hate aux abord du complexe et le complexe scientifique lui même. Un militaire s'approcha de moi et me demanda si je cherchais quelque chose:

- Vous cherchez quelque chose, quelqu'un ? Son regard se fit sombre et il continua: Vous savez, si l'un de vos proche est enterré la dessous, je vous suggère d'essayer de l'oublier, parce que nous ne creuseront pas jusqu'au 22ème sous sol...

Mon esprit scientifique reprenant le dessus, j'oubliait jusqu'aux effets de la morphine pour me concentrer sur ce qui importait vraiment:

- Avez vous pu ressortir les ordinateurs des décombres ? Les données qui étaient dans mon disque dur sont d'un intérêt crucial pour le monde entier !

En guise de réponse, il me reposa une question:

- Savez vous exactement ou pourrait se trouver votre bureau ? Si oui, dites le moi et une petite équipe ira chercher.

Dans n'importe quel coin du monde, le militaire m'aurait rigoler à la figure, mais sur l'île de Bornos Surna, les militaires conaissaient la valeur de notre travail et ne nous traitaient pas comme n'importe qui. C'était le côté agréable de la vie sur cette île paradisiaque... Je lui répondis simplement:

- Merci, je vais jeter un coup d'oeil et je vous tiens au coutant.

Il tira son casque en guise de salut et retourna vers les décombres côté cuisine.

Quant à moi, je grimpais sur les amas de débris à la recherche d'un indice quant à l'endroit ou pourraient se tenir les restes de mon bureau. De la fumée sortait d'un peu partout dans les ruines, des odeurs des produits hautement toxique s'en échappait et emplissait régulièrement mes poumons, me brûlant. Mais je finis par trouver. Un meuble en bambou, c'était ma marque de fabrique, personne dans le complexe n'avait de meuble en bambou ! Je retournais chercher le militaire et lui demandais de regrouper une petite équipe de recherche pour fouiller cette zone.

- Non.

- Je vous demande pardon ?

- Des fumées toxiques sortent de cette zone, je ne veux pas compromettre la vie de mes hommes.

- Entendu, je vais en refférer à vos supérieurs.

Rageux, je filais vers le camp. La dose de morphine finissait de se dissiper et j'entrais dans la tente du colonel sans même frapper. Il était entouré d'une petite dizaine de personnes et regardaient une carte sur une table. J'allais ouvrir la bouche, mais devant leur mine déconfite, je préférais me taire et attendre qu'ils aient finit. Je m'assis dans un coin de la tente et tendis l'oreille. Le colonel, après m'avoir suivit du regard jusqu'a ce que je sois assis, repris son discour:

- Je disais donc que nous avons perdu le contact avec tout les camp militaire annexe, ainsi que le centre radio, les petit ports et le port de sous marins. En gros nous n'avons plus de contacts dans la partie nord, est et ouest de l'île. Il nous reste le sud, et l'équipe qui vient d'être parachutée au sud ouest. Le camp militaire principal à été avertit et rapatrie tout les civils en son sein tout en filtrant les personnes infectées. Voila messieurs, vous pouvez disposer. Brûlez moi le parasite en sortant, je ne veux pas d'autres infections dans cette petite base, nous devons plier bagage d'ici 24h et rejoindre le camp principal avec un maximum de civils vivant et sains !

Les sous officiers saluèrent et sortirent. Seuls restèrent le colonel et son aide de camp. Je me levais et demandais au colonel s'il était possible d'envoyer une escouade récupérer mes disque dur dans les décombres. J'insistais bien sur le fait qu'ils contenaient des informations très importante pour le devenir de l'humanitée. Le colonel me regarda d'un air de dire: "mais qu'est ce que tu veux que j'y fasses moi... tu ne crois pas qu'il y a assez de problèmes ?". Mais il se reprit et m'écrit un court mot que je devais déposer au lieutenant Evings, qui dirigeais le travail dans les décombres.
Je me redirigeais vers les décombres et aperçut une chose dans l'herbe, à quelques de mètre de moi, noire et gluante. Effrayé, je n'y fis pas attention et passais mon chemin. Lorsque j'arrivais sur le lieu des recherches, je demandais le lieutenant Evings. L'homme qui se désigna était celui qui m'avait énervé quelques minutes auparavant... Je lui tendis le mot, il hocha la tête et emmena quatre de ses hommes avec lui. Ils prirent des masques à gaz et allèrent dans les décombres, à l'endroit présumé ou se situait mon bureau. J'allais m'assoir dans l'herbe en attendant qu'ils finissent et à nouveau, cette bestiole verte qui passait à quelques mètres de mois. Aparemment, j'avais de la chance, elles devaient avoir un objectif différent. Mais ce ne sera probablement pas toujours le cas.
Quelques minutes passèrent, puis, soudainement, des cris retentirent. Certains venant du camp, d'autre venant du groupe partit chercher les disques durs et d'autre encore, venant du côté de la cuisine. Apparemment, les créatures s'étaient donnée le mot pour attaquer à ce moment précis.

La femme trainait dans le couloir, couteau en main quand elle entendit un grincement de semelle sur le carrelage, tout pret dans le prolongement du couloir. Ele s'adossa au mur, la sueur perlant a nouveau sur son front, elle serra davantage la lame entre ses doigts puis pencha la tete de coté, juste assez pour regarder de l'autre coté du tournent : Rien. Rien de vivant tout du moins, car les murs étaient tachés de traces de sang laissées par des mains dont on devinait le corps auquel elles devaient etre ratachées au sol, sous un chariot contenant nombreuses seringues, ustensiles scientifiques et microscopes. Elle jeta a nouveau un coup d'oeil, se rassurant encore une fois puis se jeta en avant, couteau tenu de ses deux mains ridées, tremblantes. Elle avanca dans cette posture a l'air plutot comique a qui la regardait, et pourtant si peu assurée, se pencha sur le corps au sol, et étouffa un cri de degout quand, en soulevant le chariot a présent vide, elle remarqua la profonde entaille devisageant le malheureux. Elle se retourna et rendit tout ce que pouvait contenir ses trippes.
Elle resta ainsi, la tete penchée vers le sol et les yeux ne fixant aucun point sur le carrelage souillé, puis elle se leva brusquement, essuya sa bouche, racla sa gorge devenue brulante et assechée, puis revint a allure accelerée sur ses pas et tomba nez a nez avec une scientifique, pointant une arme dans sa direction. Elle garda son couteau en main, les yeux equartillés, ne sachant si elle avait a faire a quelqu'un qui avait sa raison, ou une personne étrange comme l'autre homme dans sa cuisine ...

Cobb avait été séparer du reste du groupe de sauvetage en tentant de faire une petite patrouille des allentours. Il avait trouver une entrer menant dans des couloirs souterrains, et avait tenter sa chance. Mais manque de bol, il s'était perdu. En tentant de contacter le reste de l'équipe il se rendis compte que son micro était foutu. Il avait donc pris l'initiative de continuer. Seul. Il avait entendu l'appel radio ordonnant le rassemblement mais il ne pu répondre.

Il avait vu ce qu'aucun homme ne devrait jamais voir. Une femme complètement nue se tenait debout dans un corridor. Il lui manquait un bras et elle avait les yeux vides. Il l'avait somer de se rendre, disant qu'ils allait la soigner puis, elle l'avait attaquer. Après un cours combat au corps à corps, Roy avait repousser la femme puis avait ouvert le feux. Il lui avait coller trois balles dans le torse. Elle est tomber mais, quand il avait tenter de se rapprocher pour examiner le corps, la femme s'était relever. Il du lui coller une balle dans la tête.

Après sa, elle ne s'était pas relever. Roy avait allors continuer en travers les corridors du complexe scientifique. En tournant un coin, il vit deux femmes debout face à face. Une tenait un pistolet semi-automatique Berretta M9 et l'autre un couteau. Cobb épaula son arme puis cria.

- Jetez vos armes et rendez-vous immédiatement. Ceci est votre première et dernière sommation. Rendez-vous ou je vais ouvrir le feu.

Il attendit allors la réponse des deux femmes. Il jeta un rapide coup d'oeil a droite dans un autre couloir. Une table roulante de scientifique était retourner et le corps d'un homme était allonger. Le visage défigurer par une affreuse ballafre.

Le corps de l'homme bougea allors et se releva. Il marcha vers Cobb. Le jeune sergent se retourna et visa la tête. Il appuya sur la détente. La balle passa en travers de la tête de l'homme. Roy se retourna a nouveau vers les deux femmes.

- Dernière sommation, rendez-vous ou je tire.

Par pitié mon dieu. Faite qu'une de ces deux femmes soit toujours humaine. Je veut revoir un humain.

L'equipe trouva un vehicul, une jeep.
Ils partient tous vers la direction du grand camps militaire.
La route etait sombre et ils avaient croisé des epaves de vehicule militaires en flamme.
John voulait rentrer en contact par radio avec le personnel de l'ile, mais il n'y avait aucun reponce. Malgré la vigilance du conducteur, le neant de la nuit avait camoufler des mines anti char sur la route. La Jeep sauta et l'equipe aussi.

John fut projetté dans la foret sous la violence de l explosion.

Son regard devenait flou et tomba dans les vaps. Il ne savait pas si son equipe etait encore en vie. Il essailla de se lever mais tomba a terre, il commenca a ramper vers la route avec l'espoir de trouve un de ces coequipier.