La quête pour le Sang

Warrior regardait l'homme du coin de l'œil, sa tête était toujours lentement baissée...

Tu as déjà fait preuve de traîtrise, pourquoi viendrais-tu dans notre groupe. Dénoncé quelqu’un qui sauvait un mebre du groupe, c’est méchant… surtout que cet homme avait des idées derrière la tête. Alors j’ai fait ce qu’il y avait de mieux, sinon il se serait passé des choses… pas bien. Mais j'ai la nette impression que tu a des tendances un peu suicidaires, parce que j'ai une dent contre toi...

Le guerrier resta la a le regardé jusqu'a ce que la cheftaine pris enfin la parole. Même s'il avait tué l'ivre aussi pour son plaisir personnel, le guerrier savait rien qu'en le regardant, que l'homme attendait sagement la baronne.

Au fait Madame, reprit-il, faite ce que vous voudrez, je ne lui ferais rien tant qu'il n'aura espérer faire quelque chose. Par contre si tu sais regagné ma confience, tu n'aura plus rien a craindre. S’exclamât-il en regardant cette fois, le traître.

*Tien donc, la première fois que je laisse une chance a quelqu'un*. Il se répéta dans sa tête:
*ne me dis pas que le sentiment que j'éprouve pour la cheftaine...me rendrait plus gentil. Non la gentillesse ce n’est pas pour moi, mais ce qui est fait est fait.*

Une dernière chose, le guerrier remonta la tête, si vous voulez quelqu'un en première ligne pour la défense de notre groupe durant notre voyage, dite le moi.
Warrior était aussi impatient qu'un enfant avant son anniversaire a l'idée de fendre des cranes et de faire giclé le sang des nombreux brigands qui peuples le chemin.

Stop, STOP, STOP, STOP !!!!
Non mais ho, où vous croyez vous? C'est la première fois que mes hommes se chamaillent, et ce sera la DERNIèRE ! Nous ne sommes pas sur un champ de foire, et je vous rappelle même que nous allons bientôt aller sur un champ de BATAILLE !!!

Je regardai tour à tour Warrior et les Scorpions. Je sentais que ce voyage ne serait pas de tout repos.

On peut régler cela à l'ancienne, dis-je avec un sourire carnassier

Mes hommes, excepté Warrior, la Baronne et Sylvain se mirent à scander

Duel, un duel, duel, un duel !

Je jaugeais du regard Warrior et le chef des Scorpions qui ne s'était pas encore présenté. Lequel de deux refuserait? Je souhaitait qu'ils acceptent le duel, mais je doutais (surtout du chef des Scorpions)... Je réclamais le silence.

Nos duels incluent une part de pitié. Celui qui demande grâce, hélas pour lui, doit servir l'autre qui la lui aura accordé s'il le désire, jusqu'à la fin de la vie d'une des deux vies. Si le vainqueur refuse la grâce, il peut tuer.

Je m'approchai de la Baronne.

Vous allez enfin voir un peu de sang couler, ma Soeur. Tenter d'étudier les deux styles de combat, je sens que cela sera instructif, s'ils se battent...

Je regardais avec fierté Warrior. J'étais heureuse qu'il fût de mes hommes. Au moins, on ne pourrait nier que nous étions de bon combattant. Le chef des scorpions fut touché en premier. Mon sourire s'élargit.

WarrioOoOoOoOor, hurlais-je en levant le poing.

Mon cri fut repris par toute la bande, même par Sylvain et la Baronne. Les dix-huit poing levé, les dix-huit voix mêlées me donnèrent des frissons dans les dos. C'est moi qui dirigeait tout cela. Je regardai mes hommes. Warrior, chef du conseil, mon ministre des combats malgr sa violence ; Eliphas, mon chef stratège, roi des tactiques imparables. Puis tout mes combattants, le cuistot qui se battait avec ses ustensiles (couteau, poêlons, etc.). J'étais fière de ma bande, et fier d'en faire partie. Me dire que j'avais grandi parmis eux après la mort de mon père qui était des leurs me réchauffait le coeur.

Warrior ! Warrior ! Warrior ! Warrior ! WaAaArrioOoOor !

Nous tapions sur nos boucliers avec nos épées, nos lances, nos gantelets. Nos chevaux ne bougeaient pas, parfaitement dressé, habitués à ce bruit.
Je regardai le jeune Bellemare, en espérant qu'il prenne partit pour nous, et se joigne à nos cris. Je lui lançai un sourire charmeur, me demandant s'il y serait sensible.

Je m'adressai maintenant aux scorpions, vous pouvez nous suivre, mais vous serez sous l'autorité du Conseil de Trois, ou partir. Je vous déconseille néanmoins d'essayer de venger votre chef, car il ne restera que la même chose de vous.

Je baissai mon regard vers le cadavre baignant dans son sang. Le liquide s'écoulait de sa gorge. Warrior le Sanguinaire avait honoré sa réputation. On aurait pu le dire aussi galant homme, car son geste m'avait profondément touché.

Nous vous suivrons, ma Dame, dit un des soldats.

Certains, en désaccord, partirent, mais sept restèrent. Ils prêtèrent le serment, nous étions maintenant vingt-cinq.
Je m'adressai ensuite au jeune croisé.

Et vous beau sire, nous suivrez vous ?

HRP/ Je suis désolé, mais vous avez fait mourir mon personnage et vous lavez controler sans mon accord. Je n'accepte pas que mon perso soit mort ainsi. ni que VOUS ayez dit qu'il avait peur et tout et tout. Mon personnage n'est pas un couillard et il sait ce battre. Je demande a ce que ces dernier RP soit effacer et recommencer par la personne a qui de droit. Les règles de la bonne séance disent que vous devez demander au propriétaire du perso avant de lui faire faire quoi que ce soit. /HRP oh1 et si jamais vous voulez vous plaindre quil navait pas de faiblesse, si au lieu de le tuer vous aviez attendu, vous auriez su qu'il en avait. Et pour le vol, si il le savait, c'était a acide cynique de lire la fiche persos et de bien me decrire, pour le dénoncement aux authorité cest fastoche, cetait son devoir envers le roi.

[HRP] Bah on a qu'a dire que tu n'est pas mort, et que en fait tu est encors en vie... et puis sinon faut suprrmié les messages, jusqu'a avant le message provoquant le duel. Parceque on a fait une super histoir qui marche bien, alors ne la gachons pas, donc il faudrait suprmié jusqu'au message provoquant le duel les admins svp.

Et puis deuxième point, je suis pas là la semaine prochaine.[/HRP]

[hrp] on peut très bien reprendre le duel... le problème, je suis d'accord avec toi Warmiles, c'est que Warrior t'as tué un peu vite. Je pense qu'il y aurait moyen de faire un duel à l'amiable, donc SANS morts. Il faut juste qu'un de vous deux plie, car j'aimais bien l'idée du Duel... Au moins, cela instrusais la baronne...

Mais je suis aussi d'accord avec toi quand tu dis que nous allons penser que tu es invincible, que tu vois et sais tout nos faits et gestes... C'aurait été marrant que tu ne remarques pas le vol... Au moins, notre petit mage d'argent s'entraînait et apprenait...

Mais bon, on ne peut pas en demander trop à un homme non plus...

Pfff, l'orgeuil et la virilité, quels affaires... [/hrp]

Warrior se leva tout de suite, tous ses muscles se contractèrent, son visage qui était déjà assez agressif était devenu celui d'un monstre. Il sorti sa hache:

Je vais te montré...

Avec tous ces muscles contracté, l'on ressentait la puissance à présent sortir de lui et la haine monté jusqu'au rouge de ses yeux. Il n’attendit même pas la réponse du chef.

AAAAAAAAAAAAAAAHHHHHH

Il courut vers lui en fesant des zigzags, qui boguait la terre et fessait ressortir la poussière du sol, cela déconcentra son ennemi. Warrior fit une légère feinte au scorpion, puis avec une vitesse inhumaine il enchainait des coups imparables par la cause de leur violence. Ses gestes étaient beaux et impressionnants, il semblait se battre avec plaisir. Le guerrier évitait et donnait les coups avec rages et simplicité.
Quelques secondes après les deux combattants se séparèrent, une flèche avait atterrit entre eux.

Le guerrier se retourna, il n'avait qu'une envie ôté la vie de son ennemi. Une soldat sorti de nul part et l'attaqua. Warrior évita le coup et lui trancha les côtés d'un coup radical.
Il regarda la cheftaine, que la fête commence... ils m'on trouvé, il faut partir. Ou sinon parté, je vais m'occupé d'eux. Le guerrier courra alors vers les hommes qui venaient vers lui. Warrior s'abaissait et tuait de façon très rapide ses adversaires, il captivait l'attention des croisés. Il se retourna:
Et de trois...Il laissa échappé un sourire, et se repris a contemplé la cheftaine qui l'observait.
Arrête...
Il regarda alors le chef des scorpions, si tu veut entré dans le groupe c'est maintenant le moment ou jamais...se dit-il, ton aide sera un signe de paix.

[hrp] je part demain, et revien la semaine prochaine, alors ne vous inquiété pas si je ne parle pas [/hrp]

(hrp) Dis donc, t'es gonflée ma fille !!lol! ma Juliette !!
nn, je trouve que ce serait bien pour le déroulement de l'histoire que l'un de vous deux perde au duel. Ça ne veut pas dire pour autant que l'un doit être ultra fort et l'autre super nul !!! Rien ne nous empêche de créer un duel très serré ... (hrp)

(Bon j'sais plus trop d'où partir mais je prend suite au dernier post de Warrior)

J'étais resté légèrement à l'écart avec Tornak. J'avais finalement réussi à convaincre nos deux écuyers qu'il serait mieux de chevauché vers leur maison.

Effectivement me dis-je, Warrior de nôtre côté est un avantage précieux. Et cette chef semble savoir où elle va.

Je serrai mes jambes sur mon destrier et me rapprochai de la cheftaine.

- Ma Dame, dis-je tout en inclinant la tête. Mon épée sera vôtre pour purifier ces terres des infidèles et mon bouclier à votre disposition pour défendre votre splendeur.

C'était un serment que je pronnonçais en tant que templiers lorsque j'offrais mes services à quelqu'un.

Warrior après avoir tué les quelques soldats qui l'avait attaqué, se dirigea vers le nouvel aventurier. Il rangea sa hache tout en l'inspectant.
Bonjours... dit-il d'une voie non accueillante.
Il ne dit pas un mot de plus et repartie parmi les croisés.
Il se retourna encor un fois:
Dépêché vous nous n’avons que peu de temps, a moins que vous vouliez attendre les renforts, cela ne me dérangerait pas… Il jeta un petit regard sur la cheftaine.
*Je suis tombé amoureux !*

Je regardai ce guerrier, son caractère impulsif était un problème. Il ne semblait guère apprécier la présence de deux nouveaux templiers. Même si j'étais confiant de mes capacités au combat, je ne voulais pas chercher de trouble. J'en informai Tornak. Je retournai par la suite près de la cheftaine.

- Je crois que Warrior a raison ma Dame, nous devrions quitter rapidement les lieux pour ne pas avoir d'ennui. Après tout, qu'est-ce qui nous retient encore ici?

Mandorallen était abasourdis. Cettte homme avait chargé avec un tel rage qu'il l'avait pris au dépourvus. Il n'avait même pas pu répliquer décemment. Enfin. Ils avait été attaquer et il n'avait même pas eu le temps de réagir que le fou les avait tous éliminé. Il arrêta ses pensé sur une seul.
- ATTENDEZ. Je vous comprend de vouloir que je prouve ma valeur voilà donc ce que je ferai. Partai et je vous rejoindrai, ces bandits n'était pas seul pour attaquer un groupe aussi important que celui-ci. Ils doivent avoir un camp non loin d'ici. Camp qu'on a peut être pas encore repérer. Moi et mes hommes, se chargerons d'eux pour vous. Si nous réussissons, vous nous accepterez dans votre groupe. Si nous échouons, nous seront fort probablement mort alors...
Sur ces mots, Mandorallen monta Borag et parit avec ses scorpions. Il devait retrouver le camps d'une bande de bandits et ramenai une preuve de leur défaite a la chef du groupe. Ce ne serais pas chose facile mais il réussirais.


HRP/ Je suis désolé en passant de vous avoir laisser croire que je savait tout et tout le reste. Seulement, je n'ai pas apprécier que l'on prenne controle de mon personnage, qu'on le décrive mal, et qu'on le face mourir, sans mon consentement. Pour ce qui est des points faibles, comme je vous l'ai dit, si vous m'en donner le temps, je vous les révelerai. Vous verrez, il en a peu, mais il sont important.TRÈS important. / HRP

Bride abbatue mes braves. Si ce fou veut s'en charger seul, Dieu lui soit témoin et aide. Je ne veux pas nous mettre en danger pour quelques corsaire de la terre.
Allons, ventre au sol.

Je m'élançai, suivie de mes compagnons. Nous ne prîmes pas garde aux cris qui volaient et conitnuions notre route vers l'Italie.

Après deux jours à cheval, le groupe avait enfin atteint l'Italie.

- Nous voici en Italie, dit la cheftaine.

C'était pas si mal. Nous avions atteint l'Italie sans trop de problème. Je me demandais toujours ce qui s'était passé avec de Mandalloren puisqu'il ne nous avait point rejoint. M'enfin, je me contentai de suivre le groupe.

(HRP Lala.. c'est mort depuis 3 jours.. !! J'ai fais avancé un peu l'histoire..)

Au loin Mandorallen pouvait apercevoir le groupe de cavaliers. Il fit signe a ses hommes d'aller les rejoindre au triple galop. Ils arrivèrent quelque minutes plus tard.
Il alla voir la chef du groupe. Il s'inclina en arrivant devant elle et lui dit:
- Me revoila ma dame. Je suis désolé du retard. Nous avons eu quelque soucis en chemin. Comme vous pouvez le voir, trois de mes chevaux n'ont plus de cavaliers. Il désigna son épaule attelé. J'ai aussi eu un accident en venant. Enfin, c'est une autre histoire. Nous avons réussis à éliminé les bâtard qui vous ont attaqué. Il sortit un paquet d'un sac. Il défit le paquet et en sortit une main, sans son propriétaire d'origine. Elle était pleine bague.
J'ai tenu ma promesse ma dame.
Il s'inclina bien bas et salua la chef.

Tous fêtaient. Les scorpions s'était mêlé a la masse et buvait et racontait le combat qui eu lieu deux jours aupravant...


Mandorallen venait tout juste de passer une colline quand Kradaj, son éclaireur l'avertit de la présence du camp ennemi. Il y avait plusieurs tente et les hommes se reposaient. Ils décida de les prendres le plus vite possible. Quelque chose clocha dès le début, les gardes les virent arriver et ne firent rien. Ils les laissèrent venir.
Le combat commenca à l'épé. C'était une mêlé comme les autres. Les lames s'entrechoquais, mais celles des scorpions gagnaient d'avantage. Surement a cause de l'expérience. Puis, une flèche sortit de nulle part frappa un jeune scorpion directement a la poitrine, il était mort avant même de touché le sol. Une autre se planta dans l'épaule de Kadaj qui grogna de douleur mais continua a se battre.
Puis, plus rien. Aramak, tomba sous les coups d'un adversaire plus fort que lui. Le contrebandiers fut punis par Mandorallen qui lui coupa net plusieurs artères. Mais quelque chose clochais. C'était trop facile. Beaucoup trop facile. Mandorallen aurait du sonner la retraite mais ne fit rien. Il continua a se battre quand le chef sortit soudain de sa tente. C'était un homme gigantesque, il faisait plus de deux mêtres, il avait une épé batarde a deux mains une masse d'arme ainsi qu'une hache de guerre. C'était un vrai monstre. Il frappa de sa masse d'arme le jeune Kolian. Le plus jeune des scorpions mourrut le crâne écraser par la force de l'impact. Le pauvre...
Mandorallen mit alors le chef des contrebandiers au défis. Ce dernier accepta. Le sol était déjà tremper de sang et une parcel de terrain fu choisi pour le combat.
Les deux chef eurent le temps de parler avec leurs hommes avant le début du combat. Jamais on a su ce que le chef des contrebandiers adit au sien, mais Mandorallen prévint ses hommes.
- Si jamais Dieu a choisi pour moi de mourir aujourd'hui, je veut que vous partiez le plus vite possible. Ce combat nous a déjè couter cher. Sachez aussi que j'ai été heureux d'être votre chef.
Puis il se retourna et fixa son adversaire. Les deux hommes se jaugèrent du regard. À première vu, Mandorallen n'avait aucune chance. Ne sait-on jamais.
Un homme demanda au jeune sergent s'il voulait une autre chope de bière. Il refusa poliement et alla s'assir un peu plus loin afin de continuer a réfléchir.
Le géant attaqua le premier. Il décrivait des moulinet avec sa masse d'arme tou en avanca a une vitesse fulgurante. Mandorallen en fu étonner, le géant était beaucoup plus vite qu'il ne le pensais. Il évita de justesse un coup qui aurait sans doute été fatale. Il tenta d'embrocher l'homme dans le bas du dos mais celui-ci évita abilement le coup. Mandorallen tenta alors de passer derrière l'homme sans trop de succès non plus.
Le contrebandiers se débarassa de sa masse d'arme et pris sa hache de guerre. Il tenta d'empaler le jeune sergent qui pouvait facilement éviter les coups. La hache de guerre étant très lourdes, cela ralentissait le guerrier. Il s'en débarassa donc aussitôt et prit son épé.
Le scorpion ne vit jamais le premier coup arriver qui lui taillada le bras. Le sang coulait beaucoup de la blessure du jeune homme. Il prit donc sa deuxième épée. Ce combat était très serrer et très dur.
L'épé de limmense guerrier était très rapide, surement pas autant que les deux du jeune sergent mais c'était très impressionant étant donné la taille de l'homme et de son arme. Mandorallen réussis à éviter un coup violent de justesse en se tassant sur la gauche, le coup fit une énorme entaille a son harnois. Il profita de la perte d'équilibre momentanner du géant pour lui enfoncé une épé au creux de l'épaule droite. les deux combattant se rétablirent et prirent une pause. Lorsque le guerrier chargea le jeune scorpion qu'est mandorallen, il s'effondra a quelque pas de lui. Il demanda d'une voix cassante a cause de la douleur...
- Qu'est-ce que tu m'a fait sale batard? Comment as tu?
- La réponse est fort simple. Le coup que je t'ai donner a perforer ton poumon et a l'acérer la plus part de tes organes internes, le temps que le sang engorge tes poumons, est le temps que tu a mis avant de tomber. Tu vas maintenant te noyer dans ton propre sang.
Sur ce dernier mot, le géant mourrus, mais les hommes de ce dernier n'en avait pas fini pour autant. Ils attaquèrent les scorpion de plus belle. Le combat fit rage pendant plusieurs minutes encore. Ce qui sembla des heures pour tout le monde. Un dernier scorpion mourra avant la fin du carnage. À trois, s'élevait les victimes chez les scorpions, pour 32, chez les contrebandiers. Le combat leurs avait couté très cher.
Les épaules du sergent Mandorallen s'affaissèrent quand le dernier contrebandier mourrus. Il marcha d'un pas lent, très lent vers le chef de la bande et lui trancha la main, qu'il mis dans un sac. Voilà la preuve de sa réussite.
Tous montèrent sur leurs chevaux et se remirent en route. Mandorallen pris la tête de la colone seul, et il se mit a pleurer.
Depuis deux jours, Mandorallen ne savait plus quoi penser. Il se tenait a l'écart de tous et le regardais festoyé quand soudain. il se prit la tête dans les mains et pleura. Il pleura toutes les larmes de son corps. Il était épuisé, il ne savait plus que faire, quoi penser ou encore comment réagire. Il se laissa donc pleurer. Que lui arrivait-il donc?

Belle petite fête en perspective. J'aimais mieux rester à l'écart avec Tornak. Pendant ce temps je m'occupais à nettoyer mes armes et mon armure pour qu'elle brille les couleurs de mon Saint Ordre.

- Ce groupe est étrange, me lança Tornak.

- Effectivement, mais je te l'ai dit, c'est le moyen le plus sûr d'atteindre Venise.

Je continuais à faire mes choses dans mon coin, jettant de temps à autre mon regard vers le groupe qui fêtait.