Comme des fantomes ..

Il était là,toujours au rendez-vous, pour cette ocassion, qu'il attendait depuis longtemps...
Il sorti une cigarette et la fuma, puis prit une gorgée d'alcool fort et alla voir les personnes qu'il connaissait, il discuta longtemps de divers sujets, puis il s'asseya sur une chaise, ralluma une cigarette, et remit son Katana en place..

Il regardait cette jeune femme, assise en façe de lui. Un moment plus tard, il se décida à allez la voir, puis il enclencha une phrase, puis deux, même s'il était de nature timide... ils étaient du même clan, mais il ne la connaissait pas.
La discussion dura quelques temps, puis Bayushi voulant lui offrir un verre, l'emmena au bar, et se raluma une cigarette...

Isil accepta d'aller boire un verre, non pas parcequ'elle avait soif, mais parceque la compagnie de cet homme était agréable. Trouvant les bavardages incessants de leurs paires gênant, elle lui proposa d'aller s'aérer sur le balcon. Balcon qui donnait sur un grand jardin à la flore importée de nombreux pays.
Ils disutèrent encore, faisant progressivement connaissance.

Ce bal, sans vous, serai d'un ennuie que je ne peux décrire, dit t'il avec sourire, en montrant ses dents d'une blancheur éclatante
Ils discutèrent de nombreux sujets : de leur enfance,des différents clans et de leurs incessantes querelles
Bayushi sortit son Katana et le posa sur un banc du balcon, puis comme à son habitude, sorti son paquet de cigarettes et en proposa une à la jeune femme qui l'accompagnée...

- Non merci, refusa Isil avec un sourire. Je ne fume pas.

Son regard se perdit un instent dans l'obsucurité de la nuit, et, un fuguace instent, elle pensa à la lumière du soleil, à sa chaleur, qu'elle ne sentirait plus sur sa peau.
Elle s'arracha à sa contemplation pour regarder le Katana de Bayushi.

- J'aimerais bien me mesurer à vous lors d'un duel au Katana, dit-elle avec un sourire franc. Vous semblez avoir une maîtrise de cette arme.

Oui, je serai honoré de faire un duel avec vous, j'ai passé toute ma vie à m'entrainer au sabre. Essayait le, vous verrez son incroyable légèreté dit il, en inclinant la tête
Si votre charme, n'a d'égal que votre maniement au katana, je ne pense pas à un duel facile...

Il n'avait pas fait autant de compliments de toute sa vie, et il commençait rougir...

Isil lui dédia un sourire ravi bien qu'une légère rougeur tenta ses joues bien pâles. Elle pris le Katana qu'il lui tendait et le soupesa puis s'écarta de Bayushi et fit quelques mouvements avec avant de lui rendre.

- En effet, il est d'une incroyablement égal, dit-elle avant d'ajouter d'un air pensif, sans réelement s'adresser au vampire. Il a du être forger avec soin... (Elle se repris et posa sa mais sur le fourreau de son épée) Je ne possède qu'une rapière, mais elle me suis depuis bien longtemps... Elle se nomme Peine.

Effectivement, qu'elle belle objet de mort, du sang à du couler le long de cette lame, beaucoup de sang..., dit il en se léchant la lèvre inférieure.

Prit d'une pulsion il avança vers elle, comme pour la mordre, mais il s'arreta net, cette beauté, ce charme, ne pouvait être troublé, puis s'approchant, il lui fit un baiser sur la joue droite. ce n'était pas ses habitudes, mais il était comme attiré vers Isil et s'excusa de son comportement...

Ce geste était peut être la chose la plus douce, qu'il lui était arrivé de toute sa vie. La soirée n'était qu'a sa moitié mais battait son plein, Bayushi voulant reprendre un verre de saké, lui proposa de rentrer un instant, sur le chemin il lui prit la main comme pour ne pas la perdre. Il tenait déjà beaucoup à cette jeune vampire qu'il ne connaissait pas depuis longtemps et dès qu'il posait les yeux sur elle, son coeur se mettait à battre de plus belle, il n'avait jamais eu pareil sensation avant...

il lui chuchota quelques choses dans l'oreille, puis la prit délicatement dans ses bras, et partit dans ses songes le plus lointains, il ferma les yeux...

Cet instant, bien qu'éphèmere avait quelque chose de très fort, puis buvant un nouveux verre de Saké, il se tourna vers elle, est dit en souriant :
"J'ai oublié quelques chose d'important, je me nomme Bayushi et vous chère demoiselle ?"

Puis il porta son verre à sa main et le bu cul-sec, attendant sa réponse...

- Je me nomme Isil, messir, répondit-elle avec un sourir, vous semblez lire dans mes pensées.

Bayushi, voyant qu'elle avait elle aussi bu son verre, l'invita à se joindre à ses cotés au virvoltement des robes dans la danse, chose qu'Isil accetpa volontier, bien qu'elle eu un instent peur d'avoir perdu la main au niveau de la danse.

- Vous dansez admirablement bien, dit-elle à Bayushi dans un murmure.

Il n'avait pas danser depuis quelques temps, mais il se devait d'être irréprochable ce soir, la danse fini, il reprit la main d'Isil et allèrent se placer sur un des nombreux divans que la pièce comptée, puis s'approchant de sa joue, il lui refit un baiser, puis un autre...

-Je vais vous dire un secret que je garde depuis longtemps, j'aime voir tomber le sang, mais je ne raffole pas spécialement du gout de celui des humains, certains diront que c'est une tare, mais pas pour moi, même si je suis un vampire.... ,lui dit Bayushi, puis finissant sa phrase, il l'embrassa...

- Ce n'est pas une tare, répondit Isil avant de l'embrasser à son tour. Juste une différence. (nouveau baiser). Sinon ma tare serait de ne pas aimer le sang au goût de la peur... Quel sang aimez-vous donc?

Je n'aime pas le sang humain en grande dose, je prefère le sang animal... lui dit il en la regardant dans les yeux

Ses yeux était magnifique, avec un effet brillant aux bords extrème de la pupille, ce qui la rendait encore plus mysterieuse et envoutante. Il tombé de plus en plus sous son charme et il esperait qu'il n'aurait pas à le regretter...

Ombre se sentait de plus en plus irrité. Pour tout arranger, une vampire -une gangrel, selon lui-, ne cessait de le fixer, sans même prêter attention à son cavalier qui pourtant semnlait beaucoup plus ouvert que lui-même. Il marmonnait entre ses dents :
Arrête de me regarder... Me regarde pas... Y'a rien à voir...
Mais rien n'y faisait, la gangrel continuait à le regarder fixement de ses yeux sombres.
Ombre finit par se détourner.
Ca va, t'as gagné, ma grande...
Il se dirigea vers ses quartiers d'un pas trainant, les sens aux aguets.

Umbra sourit, puis ramena son attention sur son cavalier qui n'aretait pas de lui parler, elle cessa de danser, le complimenta comme étant un piètre danseur, puis pretexta d'en avoir la gorge seche. L'homme lui sourit et se proposa d'aller lui chercher un verre. Umbra se dirigea vers l'escalier, regarda son cavalier puis s'eclipsa en haut des marches. L'endroiut se présentait comme un long couloir, éclairait par des petites chandelles modernes.

*C'est mignon ..*

Elle se dirigea vers une porte, et l'ouvrit legerement, afin de regarder : en effet, elle était occupée par deux jeunes gens prenant plaisir a gouter le sang de chacun. Elle sourit puis referma la porte et se dirigea vers une seconde, l'ouvrit entièrement et y entra, avant de refermer la porte. La pièce était dans un noir total et le vent vola un frisson a la femme ; elle regarda la fenetre, grande ouverte, dont les rideaux volaient. Ce qui lui fit poser la main sur sa garde fut la sensation de ne pas être seule dans la pièce ...

De son côté, Ombre rentra de suite dans la suite d'ami somptueuse qui avait été mise à sa disposition le temsp de sa visite, et se coucha sur le lit sans autre forme de procés. Il mit ses mains sous sa nuque et réfléchit longuement aux évenements en cours. Il tira un épi de blé de sa poche et le porta à sa bouche, puis il le mastiqua machinalement. Il sortit également son couteau papillon favori et joua avec tout aussi machinalement, mimant, couché, diverses attaques, défenses et gestes d'esbrouffe face à un invisible ennemi.
Le soleil allait bientôt se lever... Il ne pouvait même plus sortir du manoir pour regagner son refuge, ou même aller autre part, là où il se sentirait mieux... Il n'était pas vraiment à l'aise avec tous ces vampires, et en plus il avait presque du mal à se concentrer à cause d'un couple, dans la chambre au dessus de la sienne, qui émettait moults bruits suspects.
Ombre soupira. Sans doute des jeunes vampires sans beaucoup de cervelle : même lui, bien que jeune, avait vite compris que quand on était vampire, on n'usait pas de son sang avec aussi peu de parcimonie. Même, les plaisirs humains ne revêtaient plus de sens à ses yeux. Il en avait peu goûté de son vivant, alors ces actes l'attiraient encore moins de sa "non-vie".
La "non-vie"... Ombre soupira, mélancolique en se souvenant des premiers mots de son "pére" :
Bienvenue dans la non-vie, petit...
A son humble avis, à présent, Ombre pensait que le "bienvenue" était plutôt ironique... Il comprenait vie, et la perpective de la non-vie qui l'enchantait alors le dégoûtait à présent...
Sale non vie... murmura t'il.