L'évènement (RP libre)

Zarhea sourit à Silfer : elle avait adoré la manière dont il avait éludé la question du jeune homme. Elle se tourna vers ce dernier :

-Je crois que vous ne saisissez pas bien l’importance de ce que nous tentons de vous dire. Je comprends que vous soyez méfiant, tout ça est nouveau pour vous. Comme le dit Silfer, votre vie ne pourra plus jamais être la même, et vous ne pourrez pas rester neutre dans le conflit. Vous devez choisir un camp. Je ne vous cacherais pas que je souhaite vivement que vous deveniez l’un des notres. Mais nous ne voulons pas vous forcer, pour des raisons d’éthique…

Zahrea eut du mal à ne pas sourire : une princesse des Enfers parler d’ethique, voilà qui était inhabituel ! Mais elle poursuivit, l’air de rien :

-Et aussi tout simplement parce que votre gardien ne se laisserait pas faire.

Elle caressa distraitement un autre chat qui avait grimpé sur ses genoux.

-Pour répondre à votre question sur notre identité, c’est un peu compliqué à expliquer. Nous sommes des entitées supérieures, capables de choses que l’esprit humain est incapable d’appréhender. Ce qui vous habite est une entitée supérieure un peu différente et plus rare, qui est incapable de vivre par elle-même, et qui a donc besoin d’un autre corps.

Elle cessa de parler, faisant mine de chercher ses mots. Elle faillit sourire de ses propres paroles :

-Je crois qu’il est important de préciser que les deux camps en conflit ne sont pas bons ou mauvais. Nous avons juste une nature et des opinions différentes qui font que nous sommes en guerre. Quel que soit votre choix, vous ne vous placerez ni du coté du bien, ni du coté du mal.

Elle regarda Silfer.

-Si vous êtes d’accord, jeune homme, Silfer va pouvoir observer la créature qui vous habite.

Zahrea poussa un cri de rage en voyant l’ange s’envoler avec son protégé. Pendant que Silfer parlait, sa colère montait petit à petit. Cet être ne devait pas lui échapper ! Il représentait une menace pour l’ordre démoniaque. Son bâton d’ébène, Karel, apparut dans sa main. Il semblait vibrer, réagissant à la rage de sa maîtresse. De fins liserais rouges parcouraient le bois noir. Le bleu des iris de la princesse s’assombrirent et prirent une couleur violet foncé.
Elle se tourna vers Silfer, dont la métamorphose la fit sourire. Elle lui répondit d’un ton sec :

-Ne soyez pas stupide, Général Silfurion ! Vous croyez que je vais laisser un ange de cette puissance m’échapper et nuire aux miens ?

Elle se dirigea vers la fenêtre et se hissa sur le rebord. Elle se tourna une dernière fois vers la Splitswordien :

-Nous ferons en sorte de ne pas nous gêner. C’est à celui qui le tuera en premier.

Elle sauta. Deux ailes pourpres, longues et fines, apparurent dans son dos et déchirèrent son chemisier de lycéenne, laissant son seul soutien-gorge couvrir sa poitrine. Un bouclier magique presque invisible épousait son corps et faisait miroiter sa peau : il atténuait les chocs physiques et magiques, sans pour autant être infaillibleElle se propulsa vers le haut en quelques battements à une vitesse vertigineuse.
Son arme devenait de plus en plus rouge, et vibrait plus intensément. Des lames apparurent aux bouts de l’arme.
Elle atteint en quelques secondes le toit de l’immeuble où se trouvaient les deux êtres. Elle fondit directement sur l’ange, prêteà l’empaler de sa lame.

Zahrea n’avait pas eu le temps de prévenir Silfer que leur adversaire était loin d’être ce qu’il croyait. Elle vit l’onde de choc arriver sur eux. Le hurlement des lames lui vrillait les oreilles, mais elle en fit aisément abstraction : elle avait l’habitude des cris de douleur.
La princesse prit son bâton à deux mains et le fit tournoyer à une vitesse impressionnante. L’onde de choc heurta son arme, provoquant un choc, mais la princesse ne vacilla même pas. L’onde s’était évanouie.
Pendant ce temps là, elle hurla en Splitswordien à Silfer :

-Ce n’est ni un ange, ni un démon ! Il dit s’appeler l’Apocalypse !

En disant cela, elle comprit subitement.

-Il représente la fin des anges et des démons ! Il est destiné à tous nous éliminer !

Mais elle n’avait pas le temps de mieux s’expliquer. Elle fondit sur l’Apocalypse à une vitesse imperceptible pour des yeux humains. La créature se prépara à parer son coup de bâton. Mais Karel se fendit en deux : Zahrea se retrouva avec une épée effilée dans chaque main. Elle franchit sa garde et lui porta un coup vicieux au niveau du cou.


HRP: en même temps pendant un combat on peut pas trop se permettre de faire des posts longs^^

Zahrea poussa un soupir exaspéré ; encore une autre anomalie…C’était agaçant. Lorsque Ragnarok fit apparaître un autre petit dragon, Zahrea sentit la gemme qui abritait Cerbère vibrer contre son sein. Elle passa distraitement un doigt dessus.
La princesse caressa son arme, qui était devenu bâton. Son visage était serein, mais ses yeux pourpres et étincelants trahissaient sa détermination et sa colère. Elle parla, plus pour elle-même que pour Silfer :

-J’en ai assez de ces monstres qui foutent la merde chez moi.

Elle se tourna vers son protecteur.

-Maintenant, on passe aux choses sérieuses.

Sans prévenir, elle fondit en piqué vers le toit où se trouvaient les deux anomalies. Elle fit tournoyer son bâton. Elle murmura :

-Langue de Feu.

Une traînée de flammes bleues jaillit du bâton et se précipita vers Ragnarok.

Ragnarok ne s'attendait pas à trouver un démon avec une épée légendaire en sa possession, Apocalypse en avait une, Excalibure restait introuvable, et il n'en restait que très peu dans ce bas monde. Créations des humains associé avec les sorciers pour se défendre contre les voies célestes et démoniaques.

L'anomalie mit ses deux mains à terre, l'épée était trop grosse et trop puissante pour l'arrêter, il faudrait la dévier, ou bouger avant qu'elle ne l'atteigne, du bâtiment sortir d'épais mur qui se mirent en travers de l'arme, mais celle si les défonça comme si ce n'était rien.
Des armatures d'acier et de fer se mirent en travers de son chemin mais l'arme les découpa comme de simple papier.

L'ange sauta de sa place, mais l'arme vira de bord et se dirigea vers lui, alors allait s'entamer une course poursuite, les armes légendaires possédé toute la vie car crée à partir de l'âme d'une vierge la plupart du temps, celle si était trop brut, mais pour l'instant il ne réfléchit pas à comment était composé cette arme, plutôt à comment l'éviter.

D'autre éclair jaillir de ses doigt, mais ceux si s'évanouissaient sur la lame de l'arme, se faisant petit à petit rattraper il décida à son tour de se téléportait, la même lumière que tout à l'heure entoura le personnage qui se volatilisa, il ne reviendrait pas de sitôt, mais quand il redescendra, sa sera avec toute une armé, une arme comme celle si intéressait beaucoup les anges.
Le petit chien était resté la, sans comprendre et n'agissait pas.

_________________________

Pendant que le jeune homme fuyait, comme lui avait ordonné Edil Garden, il ressentait son cœur lui faire mal, et une douleur à l'épaule survint presque immédiatement, il était fatigué, très épuisé, à bout de force, il se cal contre un mur au 6em étage de l'immeuble, ce dernier était désert.
Une lueur faiblarde illumina le couloir et son ange revint, en se retournant il ne vit pas la personne qui l'avait protégé, mais un démon blessé et d'une mine horrible.
Apocalypse parut vouloir s'approcher de lui mais le garçon recula, se trainant sur le sol, les deux personnages était presque dans le même état, le sang en moins pour l'humain.

"Tout ce qui m'arrive revient à toi aussi, nous sommes liés"

Ishizu recula encore, bien qu'il est eu mal partout, un ange ne pouvait pas dégagé une telle aura maléfique, il ne voyait même plus ses ailes, l'anomalie parut s'énerver.

"Si tu ne me prêtes pas ton corps nous allons mourir tout les deux"

L'ange déchu se mit à deux pas du jeune homme, ses yeux exprimant la colère et l'envie de posséder un nouveau, il attrapa le garçon par le col et le plaque contre le mur, le soulevant du sol, il lui fit bien comprendre que rien ne l'arrêterait.
Au moment ou le garçon crut que tout était fini et qu'il allait tombé dans l'inconscience des petits cercles entourèrent quelque chose pendu à son cou, l'objet avait une forme ronde et de petite aile blanche ressortait de celui-ci.
Apocalypse lâcha le garçon et parut horrifié de ce qu'il se passait.

"Ne réagit pas avec lui, si tu obtient un deuxième ange gardien tu ne le supporteras et tu me supprimera"

Mais il n'eut pas le temps d'agir que son corps se réduit en poussière, une poussière noir qui formait un petit tas sur le sol. Ishizu ne sut pas ce qu'il venait de se passer, il ne comprit pas tout de suite les paroles de son ancien protecteur, puis il vit une main tendue, comme pour l'aider, il se retourna et vis un homme lui sourire gentiment, six ailes, beige-dorée dont les extrémités était grise dans le dos.
Il émanait de lui une chaleur bienveillante et rassurante, sur son torse un tatouage d'un rose rouge était dessiné, il était presque nu, seule un voile dorée semi transparents recouvrait sa taille et se terminait en voletant derrière lui, mais pourtant cela ne laissait rien voir, à son cou un amulette, ses oreilles en pointe soutenait deux boucles d'oreilles assez lourdes mais surtout des plus étranges, il ne semblait pas pouvoir parler mais s'il avait put il aurait une voix puissante et forte, à son bras droit, un ensemble d'argent lui donné un air distingué.
Le jeune homme attrapa la main de l'ange qui l'aida à se relever, bizarrement il se sentit bien, même mieux qu'il ne l'avait jamais était, comme si le nouvel arrivant lui prodiguait sa santé.

Zahrea faillit pousser un cri quand l’éclair transperça l’armure de Silfer. Quel imbécile ! Elle aurait bien réussi à éviter les éclairs sans son aide suicidaire !
Avant qu’elle ne puisse faire quoi que ce soit, Ragnarok s’était téléporté, pour éviter la gigantesque lame du démon. Elle se précipita immédiatement sur le corps de son protecteur, qui gisait au sol, à moitié conscient et très mal en point. Du sang dégoulinait sur le sol depuis le ventre du démon. Zahrea poussa un juron très vulgaire en langage démoniaque. Elle devait agir vite.
En s’agenouillant, elle força Silfer à s’allonger sur le dos. Elle marmonna quelques mots en Splitswordien, et l’armure s’évanouit, exhibant l’horrible blessure. La chair était brûlée en de nombreux endroits. Heureusement qu’il était un démon, sinon il serait déjà mort.
Zahrea continua de parler, mais en ancien démoniaque, cette fois. Des petites flammes orangées jaillirent de ses mains et furent immédiatement absorbées par la blessure. Elle grimaça : son sort de soin allait lui pomper plus d’énergie que prévu, à cause de la gravité de la blessure et surtout à cause du peu d’expérience de la princesse dans ce domaine. Il lui arrivait très rarement de soigner quelqu’un.
Pendant que les flammes faisaient des allers-retours entre ses mains et le ventre de Silfer, elle était penchée près de lui et pestait contre lui :

-Imbécile ! Pourquoi tu t’es mis en danger alors que j’aurais pu m’en sortir seule ! A trop vouloir me protéger tu vas finir par te tuer ! Je sais que ma vie est plus importante que la tienne, mais si tu meurs, qui d’autre que toi sera assez fort pour m’aider à me battre contre ces saloperies d’anomalies ?!

Elle criait presque, sûrement pour ne plus penser à l’inquiétude qu’elle ressentait. Pourquoi avait-elle peur pour la vie de Silfer ? Après tout, c’était normal qu’il donne sa vie pour elle, c’était les ordres de son père, et sa fonction. Mais l’idée de sa mort paraissait insupportable à Zahrea. C’est pourquoi elle préférer cracher sa colère sur lui plutôt que d’écouter ses émotions et les laisser transparaître.
Petit à petit, ses flammes faisaient effet, la blessure se refermait et son énergie se vidait.
La blessure se referma complètement. Zahrea poussa un profond soupir, ferma les yeux, et posa sa tête sur le ventre de Silfer. Elle respirait lentement, tentant de recouvrer des forces.

"Dieu, veuillez bien m'excuser de vous déranger ainsi, mais j'ai découvert un démon possédant une arme légendaire, si nous pourrions nous l'approprier cela nous aiderait grandement afin d'exterminer jusqu'au bout la race des démons et à faire renaitre de ses cendres l'ancienne Terre ou tout le monde n'avait d'yeux que pour vous et vous offrait sa dévotion ainsi que sa vie"

_________________________________

Ishizu loua une chambre d'un hôtel assez luxueux, son épargne le pouvant largement, il monta ainsi au troisième étage et s'assit sur le lit, ce qu'il venait de vivre était incroyable, ce matin encore il n'avait aucune connaissance sur ce monde magique et voila qu'en un instant et quelques heures il en avait trop appris.
Il se prit la tête dans ses mains et grogna légèrement, comme pour éprouver son mécontentement contre lui même, il avait bien failli mourir à cause de ce type, et voila qu'un autre ange venait à l'aider, il ne parler pas mais semblaient entourer d'une certaine bienveillance, en voulant partir il l'avait perdu de vu et ne l'avait plus retrouvé, il était maintenant tout seul.

Il se leva et entra dans la salle de bain, se posta devant la glace et se mira à l'intérieur, il ne vit qu'un homme dévasté par ce qu'il venait de vivre, il ouvrit les robinets et vit l'eau couler, ses mains formèrent une cuve et il humidifia son visage, il referma le tout et laissa couler les gouttes d'eau lentement dans le lavabo, il garda une main sur un des robinets.
Il réfléchit lentement à ce qu'il devait faire dans l'avenir futur, mais pour l'instant aucune priorité ne s'offrait à lui, il retira sa main du robinet et eu une sensation étrange que ce dernier n'était pas fait en argent, l'autre en tout cas n'était qu'en acier, et la différence était visible.

Il revint dans sa chambre et réfléchit un moment, quand il voulu allumer la lampe de chevet, celle si ne paraissait pas répondre à ses ordres, il regarda si l'ampoule n'était pas grillé mais elle semblait bonne, il posa la main sur le corps de cette dernière, il se sentit tout à coup très bizarre, il ferma les yeux et il pouvait voir dans son inconscient tout les fils connecteur de son esprit.
Cela ressemblait à une plaque noire recouverte de longue et fine marque grisâtre, comme des fils neuro-transmetteurs qui se dirigeait un peu dans tout les sens, se regroupant, se séparant, un seul d'entre eux semblaient rayonné d'une lumière jaunâtre, soudain un deuxième fil prêt de celui si s'alluma.
Le jeune homme ouvrit les yeux et dans ses mains trônait une lampe en argent, comment cela pouvait bien t-il arriver, ce qu'il avait vu était-il son esprit, est-ce qu'il se le représentait comme un circuit imprimé sans trous ni espace pour y installer une puce électronique ou une résistance quelconque.

Pendant tout le trajet dans les bras de Silfer, Zahrea était restée à demi-consciente. Quand elle se réveilla, elle n’arrivait pas trop à distinguer le rêve de la réalité dans ses souvenirs.
Elle se redressa sur le doux canapé et regarda Silfer, qui était assit tranquillement à côté d’elle. En un rapide coup d’œil, elle s’assura qu’il allait bien. Elle se tourna vers la fenêtre : il faisait nuit. Elle bondit sur ses pieds ; elle avait retrouvé toutes ses forces grâce à un sommeil réparateur. Un sentiment d’urgence l’animait maintenant : les deux anomalies étaient maintenant quelque part dans la nature, et peut-être même pas sur Terre.
Elle se campa devant Silfer :

-Bon, j’espère que tu as récupéré parce qu’on a du boulot. Il faut retrouver ces deux anomalies, Apocalypse et Ragnarok, et les éliminer. Il me semble que tu m’as dit tout à l’heure que mon père était au courant et que le conseil du jugement dernier allait se réunir…Mais peut-être que mon père et le conseil ne pourront pas agir assez vite. Il faut leur avancer le travail.

Elle se tut, dans ses pensées, puis reprit :

-Ca risque d’être difficile…Elles doivent être loin de là, maintenant. Mais je crois savoir par où commencer les recherches : le garçon par qui tout à commencé.

[Hrp]Je suis vrament dsl du retard, j'avais pas mal de problèmes irl... mais voila je repost et j'éspère avoir plus de temps a vous consacré.[/Hrp]

Zarhea fit un petit sourire condescendant à Silfer et répondit calmement :

-Si tu sais ce que j’en pense, alors pas la peine de soumettre l’idée. Il faut quelqu’un sur le terrain pour commencer les recherches et surveiller l’évolution de la situation. Nous sommes déjà sur place, alors pas la peine de rentrer et d’envoyer quelqu’un à notre place. Mon père a largement le temps d’aller se faire foutre avant que je rentre dans les Abysses. Et arrête de me vouvoyer, c’est ridicule. On est compagnons d’armes, maintenant.

La princesse fit les cent pas dans la pièce, faisant tournoyer machinalement son bâton qu’elle avait fait apparaître.

-Mais c’est vrai que les recherches risquent d’être très difficiles…

Elle s’arrêta, soupira, puis fixa Silfer dans les yeux :

-Comme disent les humains, aux grands maux les grands remèdes…

Elle saisit son bâton à deux mains et ferma les yeux ; son front lisse se plissa ; le bois noir émit une lueur rougeâtre de plus en plus intense. Une sorte de sifflement sourd retentit, audible uniquement pour les deux démons. Zahrea ouvrit les yeux, la lueur et le sifflement disparurent.
Une dizaine de « plop » sonore retentirent. Une dizaine de petits démons ailés, qui n’avaient rien d’humain et qui n’excédaient pas 30 centimètres de hauteur apparurent dans le salon de Silfer. Ils saluèrent la princesse dans un langage démoniaque grossier. Elle n’en tint pas compte et leur dit sèchement :

-Je veux que vous ratissiez la ville et que vous trouviez ce garçon.

Elle leur envoya une image mentale du garçon en question et s’assura qu’ils l’avaient bien mémorisé.

-Surtout restez discret, ne vous montrez pas, même à lui. Dès que l’un d’entre vous le trouve, qu’il vienne immédiatement me chercher. Allez !

Les petits démons disparurent sans demander leur reste.
Zahrea se tourna vers Silfer.

-Ce sont mes serviteurs fidèles. Ils sont très efficaces en matière de recherche et de fouinage.