Fouille dans une pharmacie

Bambou était partie peu de temps après le levé du soleil. Tandis que la majorité des survivant essayait de se regrouper dans les rues ou dans les quartiers "riches" de Seattle, elle se contentait de rester à l'abris des cadavres ambulant en restant dans des vieux appartemants qu'elle reussissait à crochetter.

Son enfance difficile lui avait forgé le caractère et lui avait par la même occasion donné des reflexes qu'elle n'aurait jamais eu si elle avait vecu une petite vie de gosse de riche, à l'abris de la maltraitance physique et moral. Les nombreux coup qu'elle avait reçu par le passé quand elle resistait à son beau-père lui avait permis d'apprendre à eviter sans problème les zombis dit "marcheur" ainsi que les "penseurs" dans certains cas. Quoi qu'il en soit, Bambou avait des reflexes défensif mais sans en oublier les reflexes offensif. Son arc fetiche lui avait sauvé la vie à plusieurs reprises, à commencer en se "debarrassant" de son ex petit amiJosh, qui ne put s'empecher d'essayer de lui dévorer la lèvre au lieu de lui poser un doux baiser pour l'accueillir chez elle après une dur journée de travail.

La jeune fille se trouvait actuellement en rade de pensement. Bien qu'elle ne soit pas bléssé pour le moment, il était toujours nécéssaire d'avoir une trousse de soin sur soi depuis que les cadavres se mirent à devenir hyperactif.

- Et merde ... Depeches toi Bambou !! Si un penseur se pointe tu es vraiment dans de sales draps ...

Bambou se parlait souvent à elle même. C'est une habitude qu'elle possède depuis déjà plusieurs années qui lui permet de garder son sang froid dans les situations les plus critique.

La jeune fille se doutait que la recherche de compresse de gaze ne s'avererait pas facile. La totalité des magasins de la ville avait été pillé, et depuis que la ville de Seattle s'était transformé en sorte de bunker, la loi était devenue "chacun sa merde". Elle avait récupéré quelques vivres à cette période, mais le temps passait et les cadavres continuaient de déambuller. Hors, ce qu'elle possédait ne lui suffisait pas pour rester plusieurs semaines tappit dans un studio blindé.

- Cool !

Bambou venait tout juste de trouver une boite de survie avec des pensemants ainsi que du fil chirurgical, des aiguilles et un spray désinfectant.

Une porte qui grince ...

Non, Bambou n'avait pas revé, une porte à l'intérrieur de la pharmacie venait de s'ouvrir. Elle ne la voyait pas mais son ouïe ne l'a trahissait jamais... Elle n'était donc pas seule ...
Gardant son calme, elle prit une flêche dans sa main droite et se cala en face d'une porte d'où semblait provenir le bruit, prête à décocher une flêche sur la première créature qui l'ouvrirait.

La porte ne s'ouvrit pas mais vola en éclat... Un gaillard d'un mètre quatre ving dix projetait en arrière s'effondra sur le plancher. Un desert pointé vers l'arrière salle d'où l'homme venait il tira deux coups. Rapide et efficace. Un râle et plus rien.

Putain de ta mère la pute ! l'a bien failli m'avoir cet fils de chienne ! Jura l'homme en se relevant. Il épouseta sa veste en cuir et rengaina le desert dans son holster.
Oh... Sean venait d'apercevoir la jeune fille... Il avait porté la main à son holster en découvrant une personne mais son attitude n'avait pas l'air excessivement agressive. 'Scuzes pour l'entrée fraccassante mais le bouffeur en avait après ma jambe où je sais pas trop quoi...

Bambou gardait son arc et toute son attention sur le mort qui jonchait le sol. Elle ne s'était pas trompée ... Un cadavre ambulant rodait bien dans les parages jusqu'a ce que ....
La jeune fille releva la tête et vit un homme assez grand et plutôt mignon. Il était un peu plus vieux qu'elle et avait une musculature plutôt impressionnante pour une jeune fille aussi fine qu'elle.
Elle braqua rapidement son arc sur lui, prête à tirer au moindre faux mouvement qu'il pourrait commetre, quand il se mit à parler.

- 'Scuzes pour l'entrée fraccassante mais le bouffeur en avait après ma jambe où je sais pas trop quoi...

Bambou laissa échapper un rire nerveux. Elle était seule depuis plusieurs semaines voir des mois. Cette personne était le premier être vivant qu'elle côtoyer depuis que Seattle s'était transformé en bunker.

- Qui ... Qui êtes vous ?... demanda t elle, hesitante. Que faites vous ici ? Est ce que vous avez l'intention de me violer vous aussi ? Ou de me manger tout comme eux ?

Bambou donna un léger coup de pied au zombie qui était toujours à terre.
La jeune fille garda le jeune homme en joue à l'aide de son arc, tremblant de peur, tremblant face à une situation qu'elle ne contrôlait plus.

Holà calmos ma poule dit il alors que l'arc se pointait vers lui.

Ce que je fais ? bah je suis comm' tout le monde j'tente de survivre dans c'te bronx ! J'ai roulé durant deux semaines pour arriver ici... Soi disant un bon bunker... Mais je crois qu'ils me laisseront pas entrer ces fils de putes... Z'on jamais aimé les mec dans mon genre au gouv' !

Il regarda la jeune femme. Le viol c'est quand on est pas consentante mam'zelle ! Et pour mon repas j'ai un burger dans mon pick up... A moins que t'es autre chose à me proposer de mieux je crois que s'a f'ra l'affaire !

Bien que pas très fin Sean comprit que la jeune donzelle n'était pas tranquille. Il leva les mains bien en évidences.
Je suis pas manchot mais j'aurais du mal à prendre mes armes rapid'ment comme ça... Baissez ton arc et on pourra parler tranquillement. J'ai mon pick up à deux pas et dans une ruelle tranquille que j'ai barricadé. Je m'y terre depuis deux jours alors j'avais pris mes précautions... Si sa vous dit on peut faire un bout de chemin ensemble. t'en penses quoi ?

Ah ouais moi c'est Sean

Suite aux paroles du jeune homme, Bambou baissa son arc doucement, sans le lacher pour autant.

- Sean ... Ok, enchantée Sean. Moi c'est Bambou.
Elle fit une pause de quelques secondes tout en baissant la tête avant de reprendre la parole.
- Je n'ai pas vue grand monde de vraiment vivant depuis que les morts se reveillent ... Quand le chaos a commencé à s'installer, je me suis retrouvée rapidement toute seule. J'ai vue des violes, des meurtres ainsi que des parents zombies bouffer leurs petits enfants. Je n'ai rien put faire pour les aider ...

Bambou sentait les larmes lui monter aux yeux et baissa la tête. Elle n'avait toujours pas oublier sa voisine de 8 ans l'implorant d'ouvrir sa porte d'entrée, l'implorant de ne pas la laisser seule dans le couloir sachant que ses parents ainsi que les trois quarts de l'immeuble étaient contaminés.
Non, Bambou ne l'avait pas oublié, et n'oublirait probablement jamais la façon dont elle avait laisser mourir une petite fille de 8 ans sans tenter de faire la moindre chose afin de la sauver des griffes d'une morte certaine.

La jeune fille releva la tête et reprit.
- Un pick up ... Ca peut être sympathique. Je pense être bien placé pour savoir que c'est pas ce qu'il y a de mieux que de se déplacer à pied ici. Pour ce qui concerne le bunker ...
Elle pouffa de rire.
- C'est pas la peine de rêver, j'ai déjà vue des hommes des femmes et même des enfants se faire tirer dessus alors qu'ils essayaient d'entrée et étaient en bonne santé ... À première vue en tout cas ...Sinon, faire équipe pendant quelques temps peut être une bonne idée. Cependant j'ai crocheté un appartement à 10 minutes d'ici. Je reste dedans depuis quelques jours, il me reste de quoi manger pour deux ou trois jours. Tu n'as qu'a venir avec moi ! Tu auras au moins un toit et des murs pour te protéger de la pluie.

Bambou lui fit un sourire.Elle était seule depuis si longtemps ... Un peu de compagnie ne devrait pas lui faire de mal. Surtout que Sean était plutôt bien batti et à deux, ils ne devraient pas avoir de problème avec 'les autres'.

La jeune fille le regarda, puis son sourire s'estompa. Elle le fixa et eu un regard bien sombre. Sean la regarda lever son arc et tirer une flèche ... Qui frola le visage du jeunne homme et alla se planter dans un cadavre qui se trouvait derrière lui, pret à le mordre. Le zombie tomba, raide "mort".
- Je crois que tu en avais oublier un ! Dit elle en riant.
La jeune fille marcha en direction du zombie et s'accroupie devant lui, puis lui arracha la fleche du visage. Après l'avoir essuyé sur les vetements du defunt, elle le placa dans son carquois puis elle se retourna en direction de Sean.

- On va à ton pick up ?

La flêche siffla à son oreille. Il avait eu raison de se méfier la petite tirait bien...

Ouais j'ai vu aussi des truc pas bien jojo. Mas je suis pas bien étonné. Mort ou vivant l'être humain n'a rien d'un saint...


Sean repensa à sa vie d'avant. De petite frappe pour le compte des gangs... Il avait déjà tué... Et pas que des morts... Il avait tremper dans ce que l'humanité avait de plus louche et de plus malsain.

On va prendre le pick up. Je défoncerais le barrage que j'ai fait dans la ruelle et on ira à la planque. Y'a un supermarché à une rues d'ici. Il est pas vraiment sur mais j'ai reussi à baisser le store l'autre jour. Depuis il grouille beaucoup moins. Ou pourra récupèrer des provisions... En grand nombre...

Une fois à l'appart faudra voir ce qu'on fait... Perso j'avais pas beaucoup de famille avant et maintenant j'en ai plus du tout alors je suis aussi libre que l'air !

Sean ouvrait la voie dans l'arrière du magasin. Des réserves dévalisées de médics. Les survivants s'étaient servi.

Sean ouvrit une porte du pied. Son desert eagle en poing.
Reste là je vois si y'a rien qui pose un blème.

Dans la ruelle, rien. Un simple pick up un peu endommagé sur le pare boeuf. A l'intèrieur un bordel sans nom. Des munitions, de la nourriture et des fringues.

C'est bon. Sean ouvrit la porte du pick up et mit tout ce qu'il y avait sur le siège passager à l'arrière.
Scuze c'est un peu ma baraque maintenant...

Le jeune homme passa le premier, laissant Bambou en arrière et en "sécurité" (bien que l'on ne soit réellement en sécurité nule part dans cette maudite ville ...). La jeune fille sourit en le regardant prendre son rôle de protecteur au serieux.

Au bout de quelques secondes, elle l'entendit l'appeler, l'invitant à monter dans son véhicule. Chose qu'elle fit, son arc en bandouillère et la boite de survie à la main. Au passage, elle croisa 3/4 zombies en pleine décomposition sur le sol. Ils était là depuis un petit moment apparament. Elle ne se géna pas de leurs donner des coups de pied en passant tout en chantonnant une chanson. Bambou pouvait donner l'impression de prendre tout ça à la légère ...
C'était un peu le cas ... Comme la plupart des survivants de la planète, croiser où tuer un zombie était devenue le sport quotidien le plus pratiqué au monde ! Du moins ... Pour ceux qui n'avaient pas les moyens d'avoir un appartement dans les quartiers riches et sécurisés ... La jeune fille en était également venu à dédramatiser la chose. Tant qu'elle ne se trouvait pas dans une situation où elle n'était pas en position de force bien sur.

Arrivée devant le pick up, Sean prit la parole :
- Scuze c'est un peu ma baraque maintenant...
- Y'a pas de mal, lui repondit la jeune fille, ça roule et c'est le principale. Et puis de toute manière mon appartement du moment est bien pire que ça ...
Ils se sourirent mutuellement. Bambou reprit la parole :
- Nous n'avons qu'a passer au supermarché dont tu m'as parlé tout à l'heure. Vu que nous sommes dehors, autant en profiter plutôt que de ressortir demain ou après demain.
Le jeune homme la regarda du coin de l'oeil et asquieca.

Il prit la direction de la rue du supermarché, tout en défoncant une baricade et fauchant un zombie au passage, qui vint s'écraser sur le pare brise avant d'être projeter en l'air, ce qui provoqua un éclat de rire de la jeune fille. Bambou sauta sur elle meme, telle une enfant, en applaudissant dans ses mains et riant.
- Encore !! Encore !!
Sean enclencha ses essuis glace ce qui eut pour effet de décoler quelques morceaux de viandes collés au verre.

Moins d'une seconde plus tard, la voiture s'arréta devant un petit supermarché.
Les deux survivants regardèrent les alentours avec attention. La rue était totalement déserte, et le magasin le pairaissait aussi à travers le grillage de fer ... Mais etait ce qu'une apparence trompeuse ?...

Bambou s'exclama en sortant du pick up et prenant son arc à la main :
- Bon bin, quand faut y'aller ... Faut y'aller !!

[HRP] On continue sur le meme topic ou on en fait un nouveau ?? Si tu penses que c'est mieux d'en faire un nouveau pour expliquer l'on change d'endroit, je te laisse le faire : ) [/HRP]

HRP On continue ici, t'imagine le fora avec un lieu par chaque personne et chaque aventure /HRP

Tout en conduisait Sean se demandait, surpris, quelle âge pouvait avoir cette jeune fille qui s'amusait de tout... Ca...

Il grogna de dégout lorsqu'un morceau de viande colla à l'essuie glace et laissa une trainée de sang sur le pare brise.
Et putain je suis bon pour gâcher de la flotte avec s'te merde !

Il descendit et ferma avec précaution le pick up. Les marcheurs n'avait aucun moyen de le toucher mais un autre survivant pouvait le leurs piqués... Trois semaines auparavant Sean avait butés une dizaine de gars qui en voulait à sa tune et à son armement.

L'entrée sécurisé est juste là. Dit il en montrant une sortie de secours. Devant une vielle barrière empêchait d'atteindre la porte. Le super est surement occupé, au mieux par des marcheurs, au pire par des survivants comme nous. Ne leurs fais pas confiance ils nous tueront sans aucun remord. Si tu n'ose pas tirer met toi à couvert et laisse moi faire le ménage.

Sean déplaca la barrière est poussa la porte. Le super était encore légérement éclairé par trois ou quatre néon défectueux qui grésillait. Dans la pénombre l'on discernait les étales vide de toute nourriture.
Les rayon sont vide depuis longtemps mais la reserve est encore un peu pleine. Si il y a du monde c'est là qu'ils sont...

Reste derrière et jette un coup d'oeil derrière toi régulièrement.

Un grognement dans une étale à leurs droite. UZI aux poings Sean se tourna. Un homme d'une quarantaine d'années une jambe salement mordue se traînait au sol.
A l'aide implorait t-il, son visage se décomposa lorsque Sean pointait son PM vers lui. La rafale déchira le silence et la t^te de l'homme.

Il était perdu ne nous attardons pas, la détonation va rameuté pas mal de monde...

Sean et Bambou poussèrent le rideau de plastique de la réserve...

[HRP] Désolée si je fais court, mais mon PC à planté quand j'avais presque finis mon texte ... Je suis un peu dégoutée et j'ai perdue de l'inspiration >_<


- Le super est surement occupé, au mieux par des marcheurs, au pire par des survivants comme nous. Ne leurs fais pas confiance ils nous tueront sans aucun remord. Si tu n'ose pas tirer met toi à couvert et laisse moi faire le ménage.

Tels furent les paroles de Sean qui s'abattirent comme une sentance aux oreilles de Bambou. Elle n'avait jamais tué personne de vivant... Et un flot de souvenir lui revint tels un souffle glacial d'hivers sur son visage en larme.

C'était la nuit. La jeune fille venait de sortir de son club de tir à l'arc ou elle avait pu récupérer quelques flèches ainsi que son arc compound fétiche. Sa famille étant pauvre, Bambou avait toujours souhaité avoir une profession glorieuse. Elle avait toujours été une élève exemplaire et ainsi, avait pu obtenir une aide pour joindre un club d'activité. Celui du tir à l'arc ... Mais dans cette chaude nuit d'été, son attention fut rapidement attiré par une morne plainte ... Oui, non loin d'ici, une jeue fille se trouvait en danger ! La jeune fille se mit à courir, dans cette direction. Après une minute de recherche, elle tomba devant un immeuble non luxueux ou quatre individus se battait dans le hall. La jeune fille regarda par une vitre cassé et disingua trois jeunes hommes brutalisant et déshabillant une jeune adolescente. Instinctivement, Bambou ouvrit la porte du hall en passant sa main à travers un carreau brisé, et fit son entré en mettant un des jeunes aggresseurs en joue.
- Relachez la ! S'exclama t elle.
- Non mais tu sors d'où toi ?! Tu veux prendre ton quatre heures ? Les mecs, attrapez moi ce morceau de viande !
Bambou n'eut pas le temps de décocher une fleche sur chacun des garçons, et seul celui qui lui avait répondut s'en prit une dans la cuisse en gémissant de douleur et jurant. Les deux autres attrapèrent la jeune fille et l'immobilisèrent sur le sol.
- Butez moi cette salope !
Bambou regarda la jeune adolescente observant la scène sans réagir, puis elle partie en direction du premier étage discrètement. Celui qui avait toujours une flêche dans la cuisse la retira d'un coup sec, puis voulu s'approcher de l'adolescente qui s'était enfuie.
- Putain !! Eric, va me la chercher ! Moi je suis occupée à me faire un pensement ...
"C'est maintenant ou jamais !" Pensa Bambou. Tandis que l'autre jeune garçon était sortit du hall pour s'aventurer dans l'immeuble, et l'autre était beaucoup trop occupé à penser sa plaie, la jeune fille se trouvvait avec le plus empoté des trois. Celui ci pénait déjà à l'immobiliser et une seconde de relache permit à Bambou de lui donner un coup de poing et de se saisir de son arc et d'une flêche. Pris de panique, celui ci leva les mains et se dirigea vers la porte d'entrée. Après être sortie, la jeune fille se dirigea vers le bléssé et lui dit :
- Pars et je ne te ferais rien.
Celui ci se mit à rire aux éclats et la regarda.
- Tu deconnes j'espere !
Bambou recula d'un pas, regardant sans rien dire le zombie qui se trouvait derrière le jeune homme pret à le mordre. Tandis que celui ci était occupé à l'insulter, il se rendit compte que trop tard qu'il venait de se faire mordre. La jeune fille en profita pour s'éloigner d'eux le plus rapidement et se dirigea en direction du premier étage.
Elle monta les marches trois par trois en courant, et n'eut aucun mal à retrouver le dernier agresseur étranglant la jeune fille. Malheureusement, elle arrivait beaucoup trop tard... Elle resta dans l'ombre quand le jeune homme descendit les marches sans voir Bambou. Elle se retrouva à nouveau seule et se mit à pleurer, de fatigue mais aussi de tristesse. Cela faisait la deuxieme fois qu'une jeune fille mourait par sa faute. Elle avait voulu la sauver d'un viole, au lieux de ça, elle l'avait vu mourir par la main d'un homme.

- À l'aide !...

Ces paroles venaient de la sortir de ses pensées. Elle n'eut pas le temps de réagir et vit Sean achevé un homme d'une quarantaine d'année. Bambou resta sans voix. L'homme qui l'accompagné était extremement dur, bien plus qu'elle en tout cas ...
- Tu ... l'as tué !
Sean ne répondit pas.
La jeune fille s'accoupit à terre et prit la main du défunt.
- Votre père qui etes aux cieux .. Euh .. Non. Notre père ... Hum ...Oh et puis merde ! Il est mort, il est mort point barre.
Elle commença à lui vider les poches et ne trouva rien d'intéressant si ce n'est un tube de vitamine C, que Bambou mit dans son sac. Puis elle se releva et observa Sean sans rien dire. Celui ci venait tout juste de pousser un rideu en plastique, et la jeune fille le rejoingni rapidement, passant après lui.
La réserve avait effectivement encore des vivres en stock. Plusieurs cartons étaient empilé un peu partout. Les deux jeunes gens se firent un sourire et Bambou lui dit :
- Bon bah ... On inspecte la zone, on tire sur tout ce qui bouge et on fait le plein de provision. Ensuite on ...
Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase que son pied buta contre quelque chose se trouvant à terre ce qui provoqua sa chute. Un zombie !! Celui ci commença à se hisser sur elle et se dirigea en direction de cou afin de la croquer ! La jeune fille qui ne pouvvait en aucun cas utiliser son arc, pensa à son couteau qui se trouvait dans sa bote. Elle l'attrapa d'une main tandis que l'autre tentait de garder le marcheur à distance, lui ayant empoigné la machoire en pleine décomposition. Bambou, couteau dans la main droite, écarta le zombie de son visage et lui planta son couteau dans l'oeil, puis continua de le poignarder un peu partout. Elle finit à califourchon sur le zombie femelle et continua de la poignader au cou, dans les yeux, dans la poitrine jusqu'a ce qu'une paire de main l'attrapa sous les bras pour la remettre sur pied... Sean.
- Tu crois qu'elle ne se relèvera plus ? lui demanda t elle, craintive.

l'homme n'eu pas le temps de repondre car un homme d'une trentaine d'années et de taille moyenne au cheveux blond entra dans la reserve en courant
bougé vous les jeunes il ya une vingtaine de zombies qui envahissent le supermarché , dit il avec son accent russe
l'homme et la femme pointere leur armes sur le nouveau arrivant
du calme je suis pas un ennemi mais par contre il y en a plein dans le super en ce moments je suis passé par ici car il surrement avoir une sortie de secours
l'homme et la femme ne baisserent pas leur garde mais 3marcheurs entrerent derriere l'homme

Les trois zombie avançait vers Bamboo, Sean et le nouvelle arrivant lorsqu'un bruit assourdissant se fit entendre. Les fondation de la bâtisse commencèrent à vibrer et de la poussière tombait d'une peu partout, puis plus rien. Après une courte pause confuse, la petite troupe de marcheurs continua son avancé, ils étaient à moins de deux mètre derrière Vladimir et guère bien plus loin des deux autre occupant du bâtiment.

Des coups de feu retentirent dans le silence et des voix s'élevèrent, sur le coup on aurait pu croire à des penseurs, mais après quelques paroles reçu, tous auraient conclus à des voix d'humains "saint".

-Décendez moi ces horreurs! Cria la première voix. Johnson, l'escalier!

-Reçu!

-Barnes, maintenent! Hurla la voix du début.

Une autre explosion se fit entendre, puis plus rien. Pas le moindre bruit, pas même un écho lointain. Tout à coup, les coups de feu reprirent de plus belle, mais cette fois-ci les voix se firent plus inquiètes et moins calme.

-Lieutenant-caporal, il sont trop nombreux, commença la voix la plus proche, nous n'y arriverons pas.

-On se tire de là. Johnson, attention!

Un cris perçant retentit parmis les coups de feu

-Barnes, tuez le avant qu'il deviennent comme eux. Commanda la voix du lieutenant-colonel. Partez de votre côté sinon il vont nous avoir tout les deux.

Un ultime cris de douleur se fit entendre suivit d'une salve de balles. Le silence était revenue, à l'esception de nombreux grognements et quelques paroles à peine articulées. Des marcheurs, en grand nombre. Il arrivaient vers la bâtisse où se trouvaient Bamboo, Sean et Vladimir.

Soudain, un militaire entra rapidement dans la pièce et sursauta à la vue de survivants. Ils armes de ces derniers se braquèrent sur lui, mais il n'y prêta pas attention, car il y avait plus urgent à faire. Il s'approcha des trois rescapés et dit:

-Il faut partir maintenent. Ils sont au moins une trentaines et nous n'arriverons pas à les stopper ainsi armées. Mais, avant prenez tout ce que vous pouvez, car vous aurez besoin de vivre et de médicaments.

L'homme commença à prendre ci et là devers objets en espérant que les trois autres personne écouteraient son conseil, car en autre cas ils mourraient.

[HRP] Pas de nouvelle de Cassiel, je prend le relais. [/HRP]

Bambou regarda les deux intrus avec insistance avant de s'exclamer.

- Non mais j'hallucine ou quoi ?!! Je reste pendant des mois toute seule en compagnie de mon arc et des zombies qui ont la chance de croisé ma route, et là .... BAM !! Y'a tout un groupe d'être vivant qui refait surface !! Et puis de toute façon ... C'est pas quelques zombies qui vont me faire peur ... Inutile de paniquer pour si peu.

La jeune fille bouscula les hommes pour sortir de la pièce, afin d'aller jeter un oeil dans le magasin et dans la rue. Arrivée à ce stade, elle resta silencieuse quelques secondes tout en regardant les autres hommes armés tirer un peu partout.

Bambou revint sur ses pas et s'exclama :

- Ok c'est bon ! Allez y ! Paniquez tant que vous le voulez !!

La jeune fille remit son arc en bandouillère et ouvrit son sac en vitesse tout en se ruant sur les divers cartons restant. Elle y attrapa une bouteille d'eau ainsi que quelques paquets de biscuit, sa nouriture quotidienne depuis plusieurs et longues semaines.
Son sac fut rapidement plein ... À vrai dire, il n'était pas réellement très grand non plus. Quand elle fut prête à partir, elle reprit son arc et une flèche en main et s'adressa à l'homme qui venait d'arriver dans la pièce :

- Et maintenant ?... On sort, on leur defonce la gueule ... Et après ?...

L'homme observa un petit moment la jeune femme, puis continua à prendre tout ce qui pouvait s'avérer être utilie plus tard. Bamboo sembla fort offusquée que le militaire daigne ainsi l'ignorer, amassant des fournitures insolites tel: une bouteille de phosphore en granules et une quantitée surhuamaine de bateries. Enfin, le militaire répondit à son intérrogation.

-Non, ils nous extermineraient en moins de cinq minutes si l'on tentait pareil manoeuvre. Nous devons partir et aller chercher une arme pour vous et des munition pour les autres. Nous avons installés une armurerie à l'intersection de la rue Terry et Stewart pas loin de l'ancienne station de bus. Avec de la chance, nous trouverons là un véicule. Il est grand temps de partir.

L'homme prit son sac et passa rapidement par la porte principale d'où il se faufilla discrètement vers le nord-est, suivit des autres survivants. Les quelques soldats de sa compagnies encore vivant et sain étaient voués à une mort certaine et ne pouvaient être sauvés. Il prirent donc la direction de la station de bus, évitant le plus possible les chemins trop petit, auquels il est difficile d'échapper lors qu'un attaque de marcheurs. Pendant le trajet, personne ne parlait, l'homme décida donc d'aléger l'atmosphère extrêmement tendu en parlant un peu, mais tout en évitant de faire trop de bruit. Il dit donc, à mi-voix:

-Je suis le colonel Charles Barnes, et vous? Observant le reste du groupe.

Entendant du bruit, un jeune home de 23 ans sortit d'un immeuble, il avait les yeux bleu gri et les cheuveux châtin clair coupé court. Il ressemblait à un freluquet à côté des soldats. Il avanca vers le goupe en plissant les yeux, une main pour cahcher la lumière du soleil qu'il n'était probablement pus habitué à voir. Il continuat de marcher et remarqua ue tous s'était arréter. Il s'arreta également et leva les mains en disant :

Tirez pas, tirez pas. J'uis pas contaminé comme tous les habitans actuels de la ville ... non ? Ca doit faire un bon mois que j'uis planqué dans un appart miteux alors juis pas trop au courant des nouvelles !

Le jeunne home continua à parler à une vitesse impréssionnante ce qui énerva vite les militaires. Voyant qu'il commencait à saouler tout le monde, le jeune home se tûit mais agita les mains et tapota du pied contre le sol, bougeant en permanace. Il attendait visiblement une réponses du groupe, ce qui ne tarda pas...

La voix hyperactive et emplit de panix du jeune homme résonna dans les rue. Se tournant afin de voir de qui il s'agissait, Barnes vit une parsonne maigichonne, se cachant les yeux du soleil. Sur le coup, le militaire pointa son M1 directement vers la tête de l'homme, mais quand il parla clairement, lui disant qu'il était sain, il abaissa son arme et courru vers ce dernier. Le colonel sauta par-dessus un amoncellement de débris divers et monta le court escalier de l'appartement. Il observa de plus près le survivant et confirma enfin, d'un mouvement de la main au autres membres du convoi. S'avançant vers le maigrichon, il le tappa violament à l'arrière de la tête.

-Idiot! lui cria-t-il au visage. Tu veux des nouvelles, les voilà: Il y a de cela trois semaines, une brèche c'est faite dans le mur de protection et une quantité inconnue de ces horreurs ont pus passer et entrer dans la ville de Seatle. Je me dirige avec les personne que tu vois là-bas vers une armurerie militaire. Si tu veux vivre, suis nous!

Charles Barnes redescendit l'escalier, enjambant à nouveau l'amoncellement de décris et rejoingnit le groupe. Regardant encore quelques instant le jeune homme pour savoir s'il venait, mais celui-ci était là, immobile et pesque semblable en motricité, à un marcheur. Rien ne bougea et le militaire en déduisit qu'ils devaient partir, sinon, les zombies les retrouveraient.

-En avant. Fit-il aux autres voyageurs.

Vladimir n'aimait pas trop recevoir d'ordre mais bon le faite de retrouvé des hommes en bonne santé au lieu de zombies lui fit un peu oublier ceci le chef de ces hommes parlait avec la jeunes f emmes mais n'adressé pas la parole a vladimir ce qui ne le derangea pas .l'arrivée d'un nouvel homme fut surprenante il restait donc tant d'habitant vivants .il resta toujours silencieux puis fini par demander
c'est encore loin votre armurerie monsieur le colonel ?
la pluie commenca a tombé quand vladimir commenca sa phrase . Se n'était pas une petite pluie mais une grosse averse

La pluie commençait à ce faire de plus en plus gênante, d'autant plus que l'ombre des nuages ne leur faciliterait pas le voyage, cachant à leurs yeux, les zombies les mieux embusqués. Toutefois, le colonel sortit de son sac une carte de la ville et l'enveloppa dans un sac de plastique translucide. Pointant du doigt plusieurs points sur la carte en murmurant à lui-même, Charles se retourna lentement pour s'adresser au groupe.

-Il va falloir passer par des ruelles, parce que la route est détruite ici, ici et là. Pointant la section de Steward, où le monorail passe, ainsi que deux autres tronçons du boulevard. Il faudra aussi se tenir prêt à tirer pendant toute la traverse. Ça ne nous prendra que 2 ou 3 minutes au maximum, mais j'ai perdu un escadron de six hommes dans une ruelle comme celle-là et je n'aie pas envi de revoir ça. Vous, dit Garnes en pointant Vladimir, vous fermez la marche, moi je passe devant.

Vladimir accepta, un léger air de mécontentement fut visible sur son visage, mais rien de plus. Probablement dédaignait-il de recevoir des ordres. De toute façon, Charles Garnes ne s'y attarda pas bien longtemps et préféra plutôt se concentrer sur la traversée. Ce fut les minutes les plus angoissantes que le colonel n'avait jamais vécu, mais tous arrivèrent sain et sauf de l'autre côté. Soudain, le visage du militaire s’élimina. L'armurerie était encore debout, en plus d'être gardé par des militaires. Il courut vers ses collèges, laissant les autres un peu plus loin.

-Colonel Charles Barnes, moi et les civiles là-bas, nous avons besoin de fournitures militaires. Fit-il.

-Soldat 2e classe Flaymor. Servez-vous mon colonel.

Le colonel fit signe aux autres de venir à l'intérieur du bâtiment. Ils avancèrent de quelques mètres et entrèrent dans une salle, ayant une haute porte d'acier à verrouillage hydraulique. Barnes farfouilla dans une dizaine d'armoires d’aluminium avant de saisir une petite boite de carton qu'il lança à Vladimir.

-Ce sont des cartouches de fusil de chasse. Des Brenneke calibre 12. Ça suffira ?

Il continua en attendant une réponse de l'homme et trouva dans un container des rations de survie qu'il donna à un peu tout le monde. Puis, Garnes dénicha des munitions de M1 qu'il prit pour lui. Il lança aussi à l'homme maigrichon un Colt M1911 avec cinq magasins.

-Tenez, ça pourrait vous être utile.

-Je ne suis pas un tueur.

-Alors vous apprendrez à le devenir ou vous mourrez !

Finalement, Barnes donna des magasins supplémentaires de UZI à la jeune femme nommée Bamboo, au nombre de trois.

-Si réellement vous êtes un danger public, vous serez bien plus utile armée que non armée.

Se retournant vers le reste du groupe, il dit :

-S'il vous manque certaines choses, il serait bon d'y penser sur-le-champ. Vous pouvez vous servir.

Une jeune femme lui avait demandé de ce présenter alors, il s'exécuta :

Bob Freeman...

Puis il baissa la tête et pleura silenscieuxsement.

Quelques secondes plus tard il était à l'éarmurie et leColonel lui tendit une arme et des munitions, il potesta légèrementet finalement les prit et les mis dans son sac à dos. Puis il demande au Colonel tout en sortnt un P-228 de son sac :

Vous avez des munitions pour ça ?

Le jeune homme de "20 et quelques" années tremblait légèrement et semblait proche de la crise de nerf.

Dans la nuit obscure et la pluies fouettent, un convois de plusieurs véhicule militaire s’approchait de l’armurie. Un char M-1 ABRAM en tête de convoi suivi de plusieurs VAB et HUMMER lourdement armée.
Devant la porte du camp militaire. Le char s’arrêta, puis le sas du haut de la tourelle s’ouvrit.
Le colonel Wesser en sorti. La pluies coulé sur son visage et elle avait éteint son cigare a la bouche.

Wesser : Je suis le colonel Wesser, je viens ici pour approvisionner ma devisions blindé.

Soldat : Oui, Colonel.

Les portes s’ouvrit et laissa entrer tous el convoi.
Un Major s’approcha du char. Wesser en sorti et plusieurs autre soldat sortirent des véhicule.

Major : Colonel, il y a déjà un autre colonel présent dans ce camp, il prend aussi des munitions.

Colonel : Bien, je vais sûrement le croiser a l’intérieur. Nous allons prendre tous se qu’il nous faut et nous repartons des qu’on a fini. On rejoint Seatle qui a était attaqué, on va donner du renfort.

Major : Bine colonel.

Le colonel suivit d’une trentaine se soldat entrèrent dans l’armurie et se dirigèrent vers les chambres fortes.

Bob alla chercher des vivres, une trousse de secours et une gourde d'eau qu'il alla ensuite rempir. Il croisa par hasard une trentaine de militaires trempés jusqu'au os. Il préféra ne pas les dérengers et continua son chemin. Une fois sa goudre remplie il retourna dans la salle où il était précédament.

Un autre militaire fit éruption dans la pièce, accompagné de soldats divers rangs. Sur le coup, Barnes ne reconnut pas l'autre colonel, mais bien vite il se rappela de lui.

-Wesser? John Wesser, de la 17e infanterie? C'est bien toi.

L'homme l'observa longuement, semblant ne pas savoir qui était Barnes, puis son visage s'éclaira, comme s'il venait de revoir quelqu'un qu'il croyait mort.

Trois mois plus tôt, une partie de la division de Barnes avait été envoyée en renfort à Sacramento, où il avait fait la connaissance de Wesser, qui était responsable de la défense d'un boulevard. L'équipe que Barnes commandait avait été rattachée à celle de Wesser et ensemble ils avaient tués des centaines de marcheurs. Puis, vint le jour où tout tourna mal. Le 17 avril pour être exacte. C'était une journée comme les autres, mais on voyait bien, au calme qui régnait, que quelque chose d'horrible allait se passer. Et en effet, cela arriva. Des milliers de marcheurs et une bonne quarantaine de penseurs prirent d'assaut le boulevard et plus particulièrement l’immeuble dans lequel l'équipe de Barnes se terrait avec celle du colonel Wesser. Charles dit à Wesser de partir et qu'il couvrirait ses arrières avec son équipe. Ce fut la dernière fois qu'ils se virent vivant l'un l'autre.

-Surprit? dit-il en souriant. J'en aie échappé de peu. Malheureusement, mes hommes n'ont pas eut cette chance. Après ton départ, j'ai ordonné qu'on évacue. Ce que nous avons fait sans le moindre problème, mais en passant dans une ruelle pour rejoindre le reste de notre division, un groupe de marcheurs nous a attaqué, tuant quatre de mes six hommes et mordant les deux autres. J'ai du les abattre. Le visage du colonel Barnes se fit triste, puis il se reprit ses esprits. Mais bon, c'est les risques du métier. Comment ça va?

vladimir s'ennuyer un peu. il s'est assit sur un coffre et a sorti une bouteille de vodka et en avala une gorgée puis de nouveau militaire entrerent dans l'armurerie .le colonel des nouveau arrivant et Barnes avait l'air de ce connaitre . Freeman refit sont apparition il etait parti remplire sa gourde d'eau.
Vladimir se leva et fouilla dans l'armurerie a la recherche d'une arme . après quelque sminute de recherche il la trouva mais comme il n'y avait pas de cartouches il jeta par terre . il rejoignit les deux colonels et dit

on va rester longtemps ici ?car je commence a me faire chier

Wesser etait heureux de voir son camarade vivant.

Wesser : Oui ça peu allé, j’ai perdu quelque hommes depuis. Mais la on va en direction de Seattle, les défenses sont tombé et nous venons refaire notre stock de munition, de vivre et tous se qu’il nous faut.
Tous les hommes qu’ils veulent venir seront les bien venu, nous aurons besoin de fine gâchette.
Bon a vous connaissez la manœuvre les gas.

Soldat : Oui colonel.

Les soldat se mirent au travaille et commencèrent a faire le ravitaillement du convoi.

Wesser : Bon nous partons dans une heure, je veux que tous le monde soient près au combat.

Wesser alluma un autre cigare.