Les ecrits à l'encre rose du roi démon et de l'ange succube

Dernière édition par le Jeu 8 Mar 2007 - 20:17, édité 1 fois

Et la femme avança
Et de ses gracieux pas
Elle se dressa contre le roi
Son regard aussi brulant que le magma

Toi démon qui me désir
Toi ô roi martyr
Je t'ais mise au supplice
Tu attends mes délices
Mais n'est-ce point vain,
De supplier ainsi ton gain ?

Elle lui releva tête,
le fixa et se mit en quète
de glisser ses fin doigts
dans la magnifique chevelure du roi.

il regarda bientot cette ange
qui se tenait contre la fange
et en posant ses doigts sur elle
lui dit tout tout bas elle d'un corps tel:

je ne vien pas chercher mon pain
ni a ce qui m'appartient
je veut seulement a qui je tient
avoir douceur et desaroi

et la tu est devant moi
crois tu seulement que tu pourras
bléssé autant le coeur d'un roi
et d'un regard me faire tient

pourais-je seulement te contredire
moi qui voit la une martyr
venue combler ce que tu sait
ce que tu crois tenir en toi

quand il posa ses yeux sur elle
il crut qu'il était posseder
et voulu surement la broyer tel
une pecheresser mais qui voulait peut etre l'aider

Sais-tu à qui tu tend la main ?
Tu veux aider une catin ?
Est-ce moi la martyr,
Pitoyable être capable du pire ?

Je ne suis qu'un reflet d'ambre
Qui contre toi peut être tendre
Ou bien le pire de tes vices
T'entrainant dans les abysses

Je sens que tu me veux
Que le soleil se couche pour nous deux
Tu veux me salir
Comettre en moi le pire !

Son visage était près du sien,
et ses mains glissaient sur ses reins.

Je me ferais tienne,
et de ton corp je serais la reine !

je suis peut-etre le roi du mal
qui est capable du pire des drame
d'un souffle je bat des ocean
et d'un doigt je peut toucher le temps

helas tu te presente a moi
toi qui saurait me rendre heureux
laisse moi me poser des tes bras
et te faire decouvrire l'extase

le 7eme ciel je t'y monterait
six pied sous terre je l'empecherait
mais seulement croire a notre amour
me fait revenir a l'age fourbe

où j'étais le plus puissant
avant d'en être arrogant
ou j'étais respecté
et nul n'osait croire a mon dernier

ou l'on ecoutait mes histoire
jusqu'a en devenir sourd
mais mon pouvoir j'en ai fait le tour
je nle croyais, il est trop tard

La délicieuse femme
l'ecouta avec attention
Et dès qu'il eut finit son drame
Fit monter l'émotion.

Que dois-je en dire ?
Que tu accèptes de me réjouir ?
Tu désirs de mes sentiments
Mais je préfère les amants
L'amour ma toujours punie
Et son fleau maudit
Me brula les ailes et la peau
Me consumma jusqu'aux os

sa voix se perdit en tristesse,
perdant de sa folie et son ivresse.

il regarda sa bien-aimée
perdu par d'amours passionner
il voulu la reconforté
mais il n'savait comment l'embrasser

-mais maintenant fini de se plaindre
j'en ai fini de me jeindre
je veut t'aimer par tout moyen
et tu aimeras sa c'est certains

tu connaiteras les milles plaisir
tu te croiras surement perir
et mille douceur tu connaiteras
comme ressucité ici bas

il prit ses frèles mains de jeune femme
les embrassa a en perdre ame
puis remonta jusqu'a son cou
saurait-il la prendre comme un loup

Elle se laissa saisir
Prête à accepter le pire
L'enlaçant attendrie
Dans un élan d'émoi elle le mordit
Ses crocs fendirent sa chair
Elle lui pencher la tête en arrière
Pour pouvoir se délecter
Du sang qui ruisselait en mince coulée.

Ton sang est des plus enivrants
Me rappelant la fouge d'entemps

Elle lècha le liquide de vital
Prenant un plaisir à se mal.

le demon sentait l'extase
il passait ce moment a savourer cette rase
il lui prit le poignet
et le mordit sans hesiter
puis se delecta de ce liquide subtil
dans un mouvement vil

-le tien a une saveure qui se respecte
une douceur que je delecte
tu me rend fou et farouche
mais j'arrive bientot a ta bouche
je ne pouvais subir l'abandon de mes sens
mais les voila disparuent quand j'y pense
alors remplacer par la passion et la volupté
le choix maintenant inchangeable m'a dépacé
je te controle
tu me controle

Tu me domines
Je te domines
Je te mord
Tu me mords
Ainsi dans une ronde infernal
Eclairer par une lune pâle
Je me donnerai à toi
Et tu me chatiras
Autant que je te punirais
Par le corp et ses plaisirs
Je te ferai crouler sous les soupires ....

Ses lèvres joignèrent les siennes
Nuançant douleur joie et peine
Mélangeant une douce chaleur
Douceur au même gout que les pleurs.

le roi se delecta alors
de ce délice qu'elle lui offrait
et meme si le calme etait d'or
ses oreilles soufflais tel l'art d'aurnait

il lui rendit ce baiser
comme si elle l'avait mérité
et l'a mit sur ses genoux
pour rechauffer son corp a bout

-tu est plus belle que la nuit
et meme plus que l'infini
comment peut aimer un homme comme moi
qui tue,dechire et sans émoie

tu m'as conquis je te l'avoue
et je ne peut plus penser qu'a nous
et si tu viens a me quitter
je n'aurais raison d'exister

mais cessons de s'apitoyer
tu est la, je n'peut que t'aimer
je savoure tes levres et ta langue
autant que ma souveraineté tangue

La reine s'abreuva une nouvelle fois
A la source elle buva
A grande lampé le liquide rouge
Se délectant à la souche

Savoure tant tu peux
Prend moi autant que tu veux
Sauras-tu me m'avoir sans peine ?
Sauras-tu me faire reine ?

Prouve le moi
Prouve le moi

Une nouvelle foi
Elle l'embrassa
Partageant le gout du sang
Qui dans sa bouche était omniprésent.

la bète pris la belle dans ses bras
jusqu'a un lit il la porta
pour continuer cette scene d'amour
qui pouvait durée pour toujours

la belle sur le dos
lui a ses coté
il lui dit des mots
qui ne s'entende que pour aimer

tu est le monsttre qui m'a conquis
tu est ma bète surement promise
tu me fait chaud, la passion m'a prise
tu m'a geler , mon coeur se brise

je ne sais si je t'aime vraiment
tu me diras si je t'aime tant
je ne peut t'aime sa c'est certains
sans coeur, sans ame je ne le peut point

car tu m'as volé mon coeur
pour que je t'aime a jamais
et tu m'as brisé mon ame
pour que jamais je ne puisse vivre sans toi

Et toute la nuit ils bataillèrent
Mettant en oeuvre leur désirs pervers
Et toute la nuit ils s'aimèrent
Ne pensant plus qu'à se plaire

Le jour arriva
Et avec sa lumière chassa
L'obscurité et reveilla
La belle de ses draps.

Regardant la bète à côté d'elle
Qui avec une fougue sans pareille
L'avait prise cette nuit
Sans manquer d'envie

la roi se reveilla enfin
et regarda la belle qui le regardait aussi
et pensa a cette nuit ou il avait assouvit ses envie
et ou il avait put l'aimé comme jaimais il ne le fit

puis il l'embrassa encore
posant ses mains sur son beau corp
et il la regarda encore
les yeux brulant et plus encore

c'est sans dire que tu m'a éblouit
et sans dire que j'ai put oublié
tout ce que ce monde m'a fait vivre
et enfin ce jour je peut t'aimer.

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