Entrée déplacée dans "Le Poignard du Temps".

Un hurlement s'amorçait, le june garçon qui faisait face à Biorn hésitait, le centaure, un grand sourire au lévre et épée à la main était sur le point de le tailler en piéce, et le terme n'avait jamais été aussi vrai de la vérité.
Biorn regarda encore une fois le jeuneau, quel acoutrement quand même, ses vetements étaient si... étrange, il ressembalit à un gnopme, un amoncellement de tissu qui devaient certainement porteger du froid plus que des coup. Drôle de monde tout de même, quelques secondes plus tôt il était sur le point d'occirent un adversaire (de paille) et maintenant il faisait face à un humain habillé de telle manière qui ressemblait à l'épouvantail usé qui lui servait de cible. Faut dire que l'humain ne semblait pas moins surpris par l'apparition du centaure, tout en armure, un casque negligement poser sur son don d'équidé, une épée d'argent qui pourrait le trancher en deux sans effort.

-M*rde, z'êtes qui vous ? Vous sortez d'ou ?! Hurla presque l'humain.

-Foutredieu tonna Biorn (il adorait ce mot, même si il ne connaissait pas vraiment son sens), Qui est tu insolent, tu parle au fier Biorn, le Chevalier centaure. Mesure tes paroles en ma présence !

-P*tain ! Comment qu'il parle ! Fit l'humain vraissemenblement remis de sa surprise, ah ouaiiis, d'accord t'es un de ces type qui va au carnaval, trop bieeeen ton déguisment man ! Il tira une bouffée d'un objet qu'il tenait dans sa main, une espece de... truc, impossible à définir. Puis pris appuie sur l'un des immenses murs qui les entouraient, visiblement plus détendu.

-Un carnaval ? Fit le centaure, qui venait de paser du mode fiers chevalier à celui de môme.

-Près d'la mairie, attend, c'est pas tout de suite, fit-il en voyant que Biorn bougeait pesament, l'armure cliquetat dans ses mouvement lourds. En plus, tu dois crevez d'chaud sous cette armure, et ces fausses jambes...

L'insulte frappa de plein fouet sur Biorn, fausses jambes, l'insolent, il allait bientôt se rendre compte qu'elles n'étaient pas fausses, mais plus vrai que ce monde fou. D'un lent, mais implacable assaut, il empala lourdement l'humain, se plaquant au mur, projeter par son propre poids. Lorsqu'il recula, il tremblotait faiblement, il avait tué, pour la première en trente sept ans d'existence, il venait de tuer sans raison valable, cela faisait-il de lui un parjure, apparemment... non.