La ruelle de l'avenue Sainte Thérèse

L'ambiance au sein du bar etait bonne,les deux bouteilles furent servis en peu de temps.
Irvin regardait Azirel qui semblait amusé par les personnes autour d'eux.
Nombres de regards etait braqué sur elle, ele devait avoir du succès avant sa naissance pensa-t-il.

Lorsque la premeire bouteille commençais a se tarir Azirel invita Irvin a danser.

Il semblait assez geneé...il ne connaissais pas les danses et les coutumes de cette époque...

Je l'entrainais dans des pas de danse simple , voyant qu'il n'arrivait pas suivre
je sussurais à son oreille :laissez vous guidez par la musique et par moi....
Je pris de l'assurance et tournait sur moi même avant de revenir
près d'Irvin et de continuer la danse.

Je me séparais de lui pour allez parler au musiciens.
Au bout de quelques seconde il hocha la tète et je rejoignais
Irvin.
La musique fut douce , celle d'un piano et d'un violon aussi
mélancolique soit-il.
_ ça vous plait ?

Je souriais et lui murmurais.
pas ici voyons ... si vous me mordez ici sa va faire désordre ...
rien que de m'embrasser voila quelques couple qui détourne la tète.
Les gens d'aujourd'hui son très pudique .

Reussi ça l'avait fait taire.
Je payais le barman et l'entranais dehors,
on finissa par attérir dans une ruelle sombre et étroite.
On ne peut pas mordre n'importe quand Irvin ...
plus en cette époque.

Je le sais bien dit il en sourient..mais vous n'etes que delicatesse et tentation ma chere il souriait de plus belle.

De plus je sais me tenir...je peu tres bien attendre,nous ne sommes pas des betes.

Il s'approchait d'azirel et lui caressait le visage...le regard d'azirel devint froid.

_ les hommes ne pensent-ils qu'à ça décidément ?
Je soupirais un tentinet exaspérée.
_ et pour me mordre il faudrait que j'aille manger dabord.

C'est vous qui avez l'esprit mal tourné ma chere...ce n'était qu'une caresse...
Il semblait vexé...c'était la premiere fois que l'on lui resistait et en plsu ce n'était pas son intension...

Bien allons nous nourire il sortat son arbalette a poing

J'hochais de la tète et on marcha dans les rues, en peu de temps on
tomba sur un couple.
Je recommençais à boire leur sang en surveillant les battements de leur coeur.
Il ne faut pas les tuer ...

Ayant fini je laissais le couple au sol et me relevais
qu'est-ce donc ?
jespèrais qu'il ne me demanderait pas de tuer un humain...
l'ayant été je refusais de tuer mes ex-semblables.

Une femme sublime faisait son apparition.
Habituellement il aurait tuer sa victime mais ici il décida de jouer un tour a la gangrel.
Il rangeat son arbalete de poing en direction de la femme.

Regardez en admirez.

Une fois haut niveau de la femme il l'interpelat,elle semblait choqué qu'un homme tel que lui l'interpele quand tout d'un coup il passa sa main devant les yeux de la jeune femme et elle eu l'air beaucoup moin farouche et se collait a présent a Irvin qui regardait Azirel avec un étrange sourire,ses yeux rougeoyant dans le noir il mordit la femme.
Une foi repus il sussura quelque chose d'innodible a l'oreil de la femme qui s'allongeat a terre et s'endormis.

Il repartirent ensuite tous deux en direction de leurs "demeure" Bras dessus bras dessous.

Alors? impressioné?

Je restais bec dans l'eau.
Que lui avez vous fait ?
Une touche de jalousie me mettait en tète
mais je la refoulais immédiatement.
Je ne préfère pas être vu ... sa me porte préjudice

Il souriait devant el pique de jalousie d'Azirel.

Et bien je n'est pas agit par mes propres moeyn...j'est utilisé ma force de persuasion dit il en la regardent,c'est un sort psychique assé puissent qui s'appelle le charme personne.

Il la prit par la taille.Ne soyez pas jalouse ma chere,vous etes la seule a mes yeux dit il en rient.

Je lui repondis à voix basse.
je n'aime pas trop que vous vous moquiez de moi ...
c'est assez mesquin !
Je baissais moi même la tète, qu'elle honte
de ressentir de tels sentiments.

Irvin etait visblement content de lui,il avait réussit son coup,pour le grand déplaisir d'Azirel .

Vous n'aimez pas cela? vous aprendrez a jouez de toute ambigueté tres vite ma chere dit il en sourient.

Il la regardait abisser la tete.

N'ayez pas honte d'exprmiez se que vous ressentez,dite le en toute circonstance...vous verrez tres vites que les vampire son de grand charmeur...dumoin je le suis il souriait de plus bel.

Je soupirais.
de grand charmeur ! comme les humains, nous n'en sommes pas
très différent au fond.
Nous ressentons nous pensons et nous agissons à peu près comme des humains.
Mais je ne tiens pas à apprendre ça, je ne veux pas charmer les hommes.

Cela evite bien des désagrément croyez moi...vous ne pourez vous nourir éternellement de jeune puceau...

Il semblait songeur

Il y a la force aussi...mais c'est plus fatiguent...Savez vous vous battre ma chère?
Le combat est un important vous savez...tout comme la magie

_ je sais me battre, mon vrai père m'avait enseigner le maniment de l'épée, de l'épée lourdre et des dagues.
Je remontais mes manches pour lui montré les deux dagues accroché à mes deux poignets.
(hrp : a la blood rayne)

Le silence régnait à présent, le long recit que Djynn avait fait semblait avoir remlpi la salle de son et de bruit anciens, dés qu'il eu fini de parler les sons se turent et le silence reprit son droit. L'enfant regardait toujours le vampire droit dans les yeux, pas une fois il avait détourner son regard bleu; il avait interrompu deux fois Djynn au court de son récit, la première pour lui ordonner de se détende, car Djynn se sentait comme un domestique pris sur le fait d'un chapardage de nourriture, baissant la tête devant le maitre de maison. La deuxieme pour lui demander des précision sur la première rencontre avec Azirel, celle-ci encore humaine.
Le silence était aussi menaçant qu'un orage d'été, puis Deyonnu quitta le perchoir, d'un bon souple il atteri doucement au sol. et se plaça devant Djynn visiblement satisfait du récit du Chasseur.

-Je voit... Marmonna-t-il, et maintenant ? Ou est cette petite vampiro ? L'accent mis sur le mot, prononcé en italien, lui donnait une intonation étrange presue mystique, et quand on connaissait les rumeurs qui couraient sur Deyonnu, on pouvait trouver cela normal...

-J'imagine qu'elle est avec cet étranger... Dit faiblement Djynn, il s'était attaché à la grangel, même si le peu de temps qu'ils avaient vecues ensemble ne soit pas vraiment important.

-Moui, dans un bar Dit distraitement l'Enfant, ils dansent, l'homme tentent de l'impressioner. Il éclata de rire comme si il riait à une plaisanteie que seul lui pouvait perçevoir.

Le soleil allait bientot se lever.

Et bien nous en reparlerons lorsque nous aurons le temps ma chere lui dit-
il en lui montrent l'horizon.
Il faut nous hater si nous ne voulons finir tous deux en poussière...

Et ils courèrent tous deux en direction de leurs "tannière".

En peu de temps on arriva à notre domicile.
Dedans il y faisait plus frai que dehors ou la matiné était devenu tiède
pour nous les vampires. L'air devenu trop lourd je n'étais pas m'econtente
de se peu de fraicheur.
Enfin à l'abris ...