La page blanche au écrit de sang [recueil de poèmes]

Eteind la lumière de mes yeux et je pourrais te voir...
Enlève le son de mes oreilles et je pourrais t'entendre...
Brise les os de mes jambes et je pourrais te rejoindre...
Je n'ais pas besoin de suivre tout ces couloirs...
Car tu es en moi pour toujours...

Je veux être forte car il ne faut pas renoncer,
Et même si des combats tu sors bléssée,
Je veux continuer à croire en l'amitié.

Je veux être forte parce que à fuir,
A ceux qui me sont cher je n'ais fait que nuir,
Croyant quand fermant les yeux ça allait finir.

Je veux être forte parce que j'ai peur,
Mes yeux suivent les minutes et les heures,
Le temps qui me restait en bonheur .

Mais finalement être forte ce n'est pas l'affaire de la force,
Car tes coups peuvent être arrêter même par la plus fine écorce.
C'est juste savoir encaisser,
Après la bataille pouvoir se relever.
Et puis savoir bien entendu accèpter,
Tout simplement ce que l'on est.
Ne pas avoir honte des mains tendus,
Ne pas avoir honte d'être soutenu.

Je ne le comprend que maintenant mais ...
C'est un peu trop tard pour les regrets !
Car ce n'est pas le même chat qui,
Poursuit la petite souris

Notre amour n'a d'égal que notre perversité
Et vu comment tu me regardes
Et que je pose mes yeux sur toi
Tout deux nous savons
Que cette amour est grand

Malgré que je sois frivole
Que chaques soir sous la lune
Quand je reviens toujours un peu plus souillée
Tu me regardes de tes yeux dorées
Et m'enlace dans tes bras

Parce que chaque nuit que je passe me fait rêver
Car tu es là à mes côtés
Soudainement je n'ais plus peur et je n'ais plus envie
De au petit matin quitter ton lit
Au drap taché d'éffluve et de sang.

Tes morsures ont toujours eut un gout de paradis
Je me demande encore pourquoi
Tout les soirs je te quitte
Pour une autre victime à la chair tendre
Alors que toi seul pourrait me suffir

Est-ce l'envie charnel qui me guide ?
Ou juste cette inlassable envie
De te faire languir tout en sachant
Que peut être tu me regardes dans les bras d'un autre
Et moi qui souris... suis-je si cruelle ?

Ou toi juste bien trop gentil ?
En faite ce n'est rien de tout cela
Car je sais parfaitement que toi et moi
Sommes si pervers à l'extrème
Que la tromperie sublime notre amour

Je veux que tu calines,
Même si ma taille n'est pas très fine,
Peut être même que ça te dérange,
Mais moi ça me démange,
Enlace-moi,
Bien fort contre toi,
Tes bras autour de mes épaules,
On inverse les rôles,
S'il te plait ne me regarde pas,
S'il te plait ne me force pas,
A honnêtement te raconter,
Pourquoi j'ai mouillé,
Ton t-shirt de mes larmes tièdes,
Comme si je demandais ton aide,
Je voulais simplement,
Qu'on me serre tendrement,
Je voulais juste pleurer,
Contre une épaule non concernée.

Le soleil se couche et j'aimerais entoner un air nostalgique.
Je sais que c'est sa mort mais là dedans rien de tragique.
J'ai l'impression que comme toujours tout était déjà écrit.
Je répète mes erreurs et la scène recommence à l'infini.
Je me vois encore regarde le soleil qui se couche.
Et je me demande qui de moi ou de l'écran fera mouche.
La première fois ce fut moi et ensuite au tour de l'écran.
Chacun sont tour cette fois c'est moi le gérant.
Un simple clic et me voila plongé dans le noir.
Vous me tuez lentement ce n'est pas difficile à voir.
Cependant vous êtes tous aveugle régit par votre moral.
Et vous me la contez plus par écrit que par oral.
J'écoute vos sermons et ensuite je les subis.
Plaise à vous mes vacances sont déjà finis.

Amour chose abjècte,
Qui n'est pas concrète,
Qu'on ne peut toucher ou saisir,
Qu'on ne garde pas toujours par plaisir.

Amour sentiment doux,
Qui nous attire vers vous,
Qu'on peut ressentir dans notre poitrine,
Qu'on ne peut nier être la source de nos rimes.

Amour qui nous détruit,
Qui détruit notre coeur petit à petit,
Qu'on fuit comme la peste,
Qu'on ne peut empêcher de dévorer nos restes.

Amour qui nous enlace,
Qui nous enivre d'un instinct salace,
Qu'on embrasse doucement,
Qu'on ne peut qu'aimer tendrement.

2007

L'année s'achève dans un soupire de tristesse
On repense à toutes ces choses qui encore nous blessent
Je me demande bien comment sera l'année nouvelle
Dans laquelle nous volons à tir d'aile

A vrai dire je n'en sais vraiment rien
Y penser serait de notre part bien vain
On ne qu'espèrer qu'elle est plus de gaieté
Que celle ou notre Sysy est décèdée

Pour moi cette année ne fut pas que sous le signe de la mort
Elle fut sous le signe de la vérité qui dévoila mes torts
Le monstre que je suis fut tatoué du symbole de la traitrise
Mon âme que l'on disait blanche fut prouvée grise

J'ai aussi quitter la vie de plusieurs personnes
Leur noms encore en moi résonnent
Cependant il est bien trop tard pour regretter
Ces gens-là et les actions passées

On ne peut que se souvenir d'eux
Et de la manière dont on leur à dit A Dieu
Je me souviens encore très bien d'elle
Je veux que son souvenir perdure de plus belle

Car même sans vivre elle m'a apporter un bonheur
Celui de revoir celui qui longtemps m'a dérobé le coeur
Elle m'a aussi tendrement accordé
De pouvoir à nouveau ressentir , donner , apprécier

La chaleur humaine qui se dégage autour de moi
Chaleur avant que je ne ressentai pas
2007 s'achève avec une triste douceur
Une année qui s'en va mais nous laisse sa douleur.

J'aimerai croire qu'il y a encore quelques choses à sauver
Malgré qu'après tes dire je t'ais détesté
Je ne pourrai m'empêcher de toujours t'aimer
Un souvenir dans coeur noir depuis longtemps condamné

Incertain de tes sentiments je ne sais comme réagir
De peur qu'une action déplacée amène le pire
La douleur est pire et je commence à en patir
Si tu savais comment tu m'avais manqué à en mourir

Sysy les retrouvailles que tu avais apporter
Se sont doucement mises à dégringoler
En moin de deux semaines ensembles passer
Nous nous sommes à nous séparer

Comme quoi encore une fois le bonheur m'a poignarder
Je pensais ne pas t'avoir assez aimer
Mais finalement c'est que tu n'as pas su me pardonner
Ni même comprendre ces 5 mois sans se regarder

Je me suis sentie infiniment triste
Quand tu as commencé à déroulé la liste
De mes anciens pêchés
Ce que j'étais censée oublier

Ce fut une douleur au coeur
De lire de nouveau ces malheurs
Qui nous on fait nous quitter
Qui nous on fait tant pleurer

Pourtant je ne peux t'en vouloir
Car à tromper tu ne peux plus me croire
Je ne peux pas te blâmer
Que quand je sombrais de m'avoir aimer

Oui je suis préoccupée, je n'en n'ais pas mangé aujourd'hui.
Mes pensées sont embrouillés, et la faim est partie.
Et je fus grondée, par la gentille Lily.

Mais bon que lui dire ? Je suis juste stressée
Elle qui s'attend au pire , je ne sais la rassuré
Comment lui dire , qu'il occupe juste mes pensées ?

Donne moi encore un peu d'amour.
Laisse moi choire dans un etat médicamenteux.
Ne fait pas se lever le jour.
Ce soleil qui ne brille pour nous deux.

Tu as toujours fait des sacrifices.
Encaissé des douloureuses.
Pour accèpté mon âme et mes vices.
Et pour me rendre heureuse.

Je sens le sang quitter mon bras.
La souffrance devient soudainement intense.
Un feu me consumant comme du bois.
Une torture vonlontaire sans sens.

J'ai laissé ma sensiblerie de côté.
Pour pouvoir saisir le compas.
Un outil qui ne m'appartenait.
Un outils qui pouvait être mon trepas.

Ce n'était pas aigu et ce fut dur.
De labouré mon bras avec ce fer.
Mais le fruit fut mur.
Et je pus constater ma chair.

Sanglant et doux à la fois.
Une tache rouge un peu allongé.
Mon coeur ne savait que dire à ça.
Mais mon esprit se mit à pleurer.

Je venais de recommencer.
Malgré que tu sois là.
Je venais de me saigner.
Alors que tu es avec moi.

Est-ce si difficile de comprendre les sentiments d'autrui ?
Est-ce si difficile de comprendre pourquoi la colère m'a pris ?

Je voulais...je voulais juste attendre encore un peu
Juste encore un peu pour que la peinture d'eux

Sur ma rétine encore arrêtée
Prenne le temps de s'imprégner

Dans tout les cœurs existant
Le souvenir de ces amants

Mais voila il recommence déjà sa vie
Il s'en va avec la gentille Lily

Les sombres pensées m'assaillent
Et doucement harcèlent et me font mal

Oui je me suis emportée dans un élan de colère
Oui j'ai dit des choses mauvaises et mes sentiment m'ont fait faire

Des choses blessantes à moi même
Encore du sang sortant de mes veines

Mais vos souhaits d'amoureux me dégoutent
Et me font plonger dans d'infini doute

L'aimais-tu ?
L'aimes-tu ?
L'oublie-tu ?
La remplaces-tu ?

Vos incompréhension me fait ressentir
De la haine, de la tristesse et bien pire

La nuit bien avancée il surgit des ténèbres,
Pourtant droit et haut son regard était faible,
Noble tenue car il était de haut rang,
Sa peau sous la lune avait la couleur de l'argent,
Il leva ses tristes yeux au ciel,
Et de sa plus belle voix parla à elle :

"Mère de tous je viens me confesser à vous,
Aujourd'hui encore je suis devenu fou,
Malgré votre visage tendre et apaisant,
La bête en moi a bien versé le sang,
Nous enfants de la nuit ne pouvons,
Sans vous mère et cette liqueur qui nous rend ivre,
Différents des humains nous fuyons Phébée,
Nous vénérons votre beauté à la nuit tombée,
Vampire que je suis je respect mes engagements,
Mère étant votre fils vous savez que je ne mens,
Lune si belle au trois apparence !
La fille m'enivra, j'en fus en transe !
De son goûteux sang je me délecté,
Les ténèbres et ma bête m'y ont encouragé,
Sinistre crime de votre fils,
Je la pleurai encore après que son sourire faiblisse,
Elle qui après vous avait kidnappé mon cœur,
Mes mains et mes crocs firent son malheur,
Pardonnez-moi mère, votre enfant à pêché,
Avide de sang, je l'ai assassiné,
Même votre sourire nacrée ne put m'en empêcher,
J'ai mis fin à la vie de celle que j'aimais.
Impardonnable je m'en vais me repentir,
Le soleil se lève et me fera mourir,
Sa morsure cruelle croquera chaque parcelle de moi,
Agglutinera mes cendres dans un petit tas,
Je pars ! je vais la rejoindre !
De mon triste sort il n'y a rien à plaindre,
Malgré mon crime je voudrais qu'elle me pardonne,
Et c'est pour cela qu'à la lumière je me donne,
Mère, lune , ça il exauce mon vœu,
Astre brulant te voici, je vous dis adieu. "

Le soleil matinal se leva,
De sa puissante clarté il chassa,
Les ténèbres sur la ville et dans le cœur,
Du vampire que voici et qui meurt,
Le sourire au lèvre il s'effondra,
Et sa belle au visage tendre il retrouva.