La page blanche au écrit de sang [recueil de poèmes]

Goutte

Perle écarlate au gout cuivré
Petite goutte qui est tombée
D'une chair toute meurtrie
Peut être une qui vie se finit
Elle vient de toucher le sol
Tacher le blanc d'une oréole
Goutte de sang termine ici
A jamais tombe dans l'oubli
Elle transportait un lourd fardeau
Et sous son poids mourrut sitôt

Je disparais

Ca y est tu m'oublies
Je disparais petit à petit
De ton esprit
Je suis partie ...
Et de ton coeur
A la bonheur ...
Mais y ais-je un jour été ?
J'en à me le demander
Effacée des livres
M'as-tu oublié pour vivre ?
Ou par haine ?
Ton coeur toujours en peine...

Dans mon délire,dans ma folie !
Je tisse encore aujourd'hui
Des sentiments d'amour pour toi
Peut être ne le sais-tu pas
La musique tonne encore de son glas
Il fait de mon existence un sinistre trepas
De mon amour le pire des supplices
Le vieil enchanté au milles délices

De douleur,
De haine ou de peur,
De sacrifice,
Utilise tout ses artifices...

J'ai imaginé mon propre piège,
Pour m'enfermer dans un rève,
Ou nous sommes ensemble....
C'est si beau j'en tremble !
Que nous, sans douleur,
Mon Dieu faites que cela dur des heures !


Mais je disparais ...
D'en toi
Je disparais...
Pourquoi
Je disprais ...
Je n'ais pas su te dire je t'aime
Amour,jalousie,haine
Tous c'est mélangé !
Pour nous mettre tout deux à l'apogée...

Mon coeur lâche ne sait plus
Comment aimer,il s'est dépourvue
De sensibilité,de pitié,
De sens et de gaieté,
Il ne fait que pleurer !
Car dans la liste il ne sait qui aimer,
Tant de gens à apprécier,
D'amour à partager,
Mais jamais renvoyer ...
Le maléfice est jeté...

Non ce n'est pas de ta faute,
Non ce n'est que la notre,
Manipulateur du destin,
Nous voulions tisser nos desseins,
Et ce fut l'echec final !
Apportant avec lui le mal !
Vous êtes pour moi l'incarnation de la liberté
Mais la vérité n'est-elle pas que vous êtes de pierre ?
Une paix qui est non fondée,
Mon existence à refaire entière

Entendez ma prière,
Je serai prête à me jeter à terre,
Brisez le moule de la création !
Sinon d'autres comme moi apparaîtrons....
Je n'aurais du naître...
Je veux disparaître...


Devenir invisible
Ou ne plus exister
Avoir une présence tangible
Dans le rêve que j'ai crée

Mais tout est iréel
N'ayant sa pareille
Démence m'emporte dans sa danse
Une nouvelle fois elle me balance
Dans sa lave surchauffée ...
Enflammant encore mon âme carbonisée

Esprit malade demande clémence,
Prie pour ne pas ajourner l'audience,
Elle attend le moment fatidique
Oui la succube abdique

J'attend ma punition : l'anathème
Plaise au Diable je fus amante du Blasphème
Dans un ultime soupire je deviens sereine
de ton coeur je ne désire plus être la reine

Qui marche seul renonce à ses envies;
Moi qui dès lors sombre dans l'oublie
Raye moi,raye mon nom du carnet
Un nouvel homme en toi naît

Le violon donne son derniers accord
De ton ombre,de ton coeur,de ton corps,
Je m'attache à contre sens
Je m'éloigne de l'entrence

Que quelqu'un me dévore
Mon coeur qui est mort
Ne bat plus, c'est arrêté
L'horloge cessa de tourner


Si tu vas bien je serais forte
Gardant la souffrance qui ma tué
Maintenant ferme la porte
Pour ensuite jeter la clé.

Vampire

Soupe de sang
Je bois et déguste mes dents
Perle de vie
Ce soir se termine ici
Sur ta chair tendre
Mes crocs fendrent
Tes yeux révulsés
Et ce goût cuivré
Une odeur amère
Qui doucement se perd
Ombre de la nuit
Dévore ton âme détruit
Te donne l'éternité
Et le droit au soleil de te bruler
Corps glacial
A la beauté fatal
Dépourvue de chaleur
Mais qui ne se meurt
Vampire au dents blanches
Toi même entre dans la danse

Souffrance d'un ami

Lui qui souffre dans l'ombre de son coeur,
Mais qui accèpte tant de moi,
Lui qui ne semble n'avoir jamais peur,
Mais qui toujours m'aida,
Lui qui porte son fardeau,
Sans jamais fléchir,
Lui qui parle avec ses mots,
Sans jamais reflechir,
Lui il s'appèle Hugo,
Je ne pourrais vous mentir,
Lui est l'un des plus beau,
Homme de l'avenir,
Gentil ou méchant,
Brute ou galant,
Simple et élégant,
Froid et aimant,
Seul le destin lui porta tort,
Et l'amour le trahissa,
Et dans ce corp,
La douleur naissa,
Vraiment injuste est sa punition,
Qui lui envers les autre fut si bon,
Il l'est dailleur encore,
Il est devenu fort,
Pour pouvoir son fardeau porté,
Pour ne jamais cèder,
A la vie qui est cruelle,
Je me demande pourquoi,
Le destin lui porte querelle,
Je me demande pourquoi,
Hugo à du souffrir comme ça,
Et je prie pour que ça s'arrète là.

La réalité est l'endroit même ou s'achève le rève
Le rève est au coeur de la réalité
Et dans ton coeur est la vérité
Peu importe si ta vie est bien brève
Car chaque humain peut revenir à la vie
Si il a assez d'imagination
Si il devient sa création
Alors l'humain est infini

Mais l'humain mérite-t-il
Une telle faveur ?
Ces êtres presque toujours vil
Qui ne semble n'avoir jamais peur
Au fond nous sommes dominant
Sur la nature et les animaux
Nous sommes les plus dégoutant
Sur cette terre d'eau
La planète bleue est un réservoir
Des pires abominations du monde
Des êtres au savoir
Nous sommes les plus immondes

Heureusement il y a des exeptions
Qui eux on gardé un semblant de raison
Et ceux là on droit au bonheur
Nos vies ne sont pourtant pas moin que la leur
Mais eux on regardé la vie d'un oeil plus doux
On été plus juste comparé à nous
Eux sont encore en vie
Et auront donc au moin une chance d'un jour être heureux
Les humains sont des être fini
Qui se sont tuer entre eux

Pour eux je n'ais plus de pitié
Ils peuvent se plaindre d'être mal-aimer
Mais d'abord qu'ils regard leur main
Souillé depuis tant de matin
Ils sont l'avènement
De leur propre chatiment
Et tant que le soleil, la terre et la lune
Seront au dessus de nos tête
Nous ne serons que des prunes
Dévorées par nos bêtes

Les heures passent

Un jour est passé
24 heures à me tourmenter
Deux jours sont passés
48 heures en pensant que ça aller s'arrêter
Trois jours sont passés
72 heures avec une douleur inchangée
Quatres jours sont passés
96 heures où je t'ais délaissée
Cinq jours sont passés
120 heures à pleurer sans cesser
Six jours sont passés
144 heures à me questionner
Et enfin sept jours sont passés
168 où on ne c'est pas parler
L'heure tourne et nous inlassés
De continuer ce jeu au gout salé
De la solitude alors que nous savions
Que je t'offrais mon abnégation

Je rêve encore de lui
Trois fois déjà
Je le revois la nuit
Avec beaucoup d'effroi
Je suis perdue
Dans un épais brouillard
Pourrais-je être secourue
Avant qu'il ne soit trop tard
Mais en ais-je réellement envie
Ou alors est-ce que ça me plait
Alors je souris
Et en même temps je crierais

Est-ce que tu vas me laisser toute seule ?
M'abandonner derrière toi ...
Est-ce que je devrais porter le deuil ?
Que tu sois partit sans moi ...
Ou que tu ailles je veux te suivre
J'ai besoin de toi pour vivre
Je croyais que c'était réciproque
Mais au fond toi tu t'en moques
Tu as disparu bien loin
Je ne t'attendrais plus le matin
Je ne te verrais plus demain
Je ne sentirais plus ton parfum
Est-ce mieu ainsi ?
Que mon âme pour toi soit tomber dans l'oubli ?
Que insaississable tu t'en ais allé,
Que inexorable j'ai cessé de t'aimer.

couper les ...

Oui retiré moi les ailes
Que je ne puisse plus m'envoler
Couper moi les ailes
Je ne veux plus y retourner
A quoi bon s'enquicher
Pourquoi donc aimer
Ce paradis maudit
Ou tous cette ange vit
Je préfère rester à terre
Ne pas retourner dans les airs
Car à quoi maintenant
Que plus personne ne m'y attend.

Je suis à ton service

Je suis la mord-sith de mon Roi
Je lui obéïrais toujours
A la protection à la droit
Et une certaine dose d'amour
Je lui suis fidèle
Et mes ailes au plumages noirs
Le protègeront tels
Un tombeau d'un soir
Je te jure allégence
Mais protège moi de la démence
De mes autres personnalité
Et en retour je te suivrais
N'importe ou tu iras j'irais
Et si par malheur il arrivait
Que tu viennes à disparaitre
Alors comme un oiseau qui vient de naitre
J'avancerais en dehors du nid
Pour découvrir ou fini la vie

Nous les succubes nous aimons les hommes.
Ils succonbont vite à leur hormones.
Mais nous préférons les solitaires.
Contrairement au téméraire.
Ceux qui se laisse désiré.
Qui deviennent un prix à gagné.

La difficulté attisée.
Le jeu devient plaisant.
Et après avoir dévorées.
Leurs âmes d'amants.
Après avoir gouté.
A leur sang enivrant.
Entre nous succubes avide de corp.
Nous contons l'histoire de leur morts.

Mon masque c'est brisé,
En milles morceaux c'est éparpillé,
Plus jamais on ne le reverra,
C'est tant pis pour moi,
Je l'ais fait partir,
Pour le meilleur et le pire.

Il n'y a plus personne ?
Y a-t-il encore quelqu'un ici ?
Dans cette pièce qui resonne,
Y a-t-il encore une autre vie ?
Est-ce que ça recommence encore.
Toujours et encore, encore ...

Non c'est faux il y encore quelqu'un.
Même si le soleil ne s'est pas levé ce matin.
Encore quelqu'un ma rassuré de présence.
Et dans la pièce je ressens sa faible essence.

Tes longs silence lourd qui ne cesse de perturber.
Cette glaciale ambiance qui nous a tous les deux figée.
La jalousie a-t-elle amplit ton coeur si pur ?
Te conduirait-elle à un destin si dur ?
Parce que tu as le droit ne pas me croire.
Je pense quand même que tu dois savoir.
Et si je te dis tout.
Ce n'est pas pour t'assailler de doute.
Je ne veux rien te cacher.
Mais comment dire alors qu'après.
Tu deviens aussi silencieux qu'une tombe.
Pensées impénétrable et sombre.

Dans ce monde il y a un gentil Monsieur Panda,
Qui quand je vais mal est toujours là.
Il joue au foot Monsieur Panda.
Et je le soutiens même si j'aime pas cela.
Il a les cheveux longs Monsieur Panda.
Et quand il veut les couper je lui defend de faire ça.
Il est tétue Monsieur Panda.
Et il est protecteur donc on s'en plain pas.
On l'adore Monsieur Panda.
Même si defois ça va pas.

Le pardon, voila une chose que j'accorde tout le temps.
Mais immédiatement c'est pas souvent.
Il faut toujours un temps pour que je digère,
Ce qui ma vexée alors qu'on me supplie m'indiffère,
Car c'est comme ça je ne peux pas tout de suite pardonner.
Après il y a ceux qui ne comprenne pas ce qu'ils ont fait,
Et devant leur questions je place un silence,
Marquant le debut d'une entrance.

Rien ni fait rien ne changera ma rancune.
Inébranlable même contre votre fortune.
En colère je ne t'écouterais plus,
Jusqu'à la fin je ne t'en veuille plus.
Ce n'était pas pareille avec moi ?
Après une nuit tu as fait ton choix.
Mais je ne fonctionne pas comme ça.
Certain on attendu des jours des semaines et des mois.
D'autre son tombée dans l'oubli .
Car au final ils sont parti.
Attend deux jours encore
Et si ce n'est plus c'est pas la mort.

Ce matin je l'ais encore vue,
Elle qu'un jour j'ai connue.
On me dit qu'elle continue sa vie,
Que de tout ça elle c'est remit.
Mais quand j'y pense j'ai oublier son visage.
Je la regarde mais je ne vois qu'un mirage.

Femme osée elle savait me plaire,
Mais pour l'avoué je ne savais que faire.
Car au final j'ai bien compris,
Que de tout ces mots que je lui ais dit,
Aucun d'entre eux n'a sut correctement,
Faire de moi son amant.(e)

Homme ou femme peut m'importe,
Car je l'aurais toujours aimé de la sorte.
Mais voyez-vous j'ai ouvert la cage de la colombe,
Et elle partit avant que ses plumes ne tombent.
L'oiseau m'a laissé quelques plumes pour rêver.
Même si dans me rêves je ne fais que la regretter.

Ces photos ont toute brulée,
Et ses écrits ont été jetée.
De loin maintenant elle me semble si floue.
Toujours est que c'est ma faute et je l'avoue.

Cela va être dur je le sais.
Je me demande si j'y arriverais.
Au mieu je vivrais,
Au pire je mourrerais.

C'est pas si grave non ?
Oublier les bons moment que nous avions,
Vécus ensemble avant.
Ca passera avec le temps.

Lache ou idiot c'est décidé.
Dès lors je laisserais,
Quelques secondes pour le pleurer,
Comme un être décédé.

Car pour lui un jour le fus.

Je me sens seule
Bien que je l'ais toujours été
Une volante feuille
Porter par le vent d'été
J'avais bien un homme
Que ma colère à fatigué
Tout le monde accusa mes hormones
Qui avait déjà bléssé
Je suis fatiguée
Comme le jour ou j'ai décédé
Et je me demande ce qui me retient
De recommencer sur ce chemin
Plus personne ne m'attend au loin
Plus de bonjour le matin
Je repense à cette homme qui me traita en princesse
Qui tout les jours n'avait de cesse
D'accepter toute mes pires et grandes faiblesses
Il était inculqué de la sagesse
Malheureusement il aimait une traitresse
Qui comme toute vil ogresse
Déchira son coeur comme du tissu
Jusqu'à ce qu'il regrette d'avoir vécu
Ais-je vraiment aimé ?
Defois c'est à se le demander
Pourtant ce garçon que j'ai chéri
Bel amant qui m'a trahi
Avec elle ma meilleure amie
Comme tant de fois je suis partie
N'emportant presque rien
Car douloureux souvenir me serait vain
Il a laissé dans mon coeur
Une affreuse présente douleur
Pourtant je ne lui en veux pas
De finalement avoir fait de moi
Une drôle d'aguicheuse
Même pas belle allumeuse
Juste un peu dangeureuse
Irresponçable chasseuse
Il avait surment raison
D'oublier mon prénom...
Le temps coula sous les ponts
Avec devant moi tant de nom
Hommes et femmes
Ils consumèrent doucement mon âme
Me rendant tellement heureuse
Grande famille chalheureuse
J'avais besoin d'eux
Autant que je voulais qu'ils soient heureux
Sauf qu'à mon devoir j'ai failli
Et nombreux coeurs on périt
Un homme me cru morte
Plus tard m'insulta à la porte
M'injurant très fort
Moi qui l'avait abandonné à tort
Doucement j'avais commencé
Moralement à me tourmenter
Physiquement à me scarifier
Des cicatrices sont apparus
Un mois plus tard je mourru
Désormais cela est du passé
Même si morte et entérrée
Je continue de briser
Le coeur de ces hommes détestés
Pourtant l'un d'entre eux
Un ange si précieux
Me fit de tendre aveux
Alors il n'y eut plus de jeu
Car de nouveau j'aimais
Cet ange ma soigné
Mais me reprocha mes mesfaits
Déjà il m'avait jugé
Finalement je le degoutta
La moutarde au nez me monta
Les démons et les anges ne s'aiment pas
J'aurais du m'en souvenir cette fois