Une expédition foireuse ?

Silfurion n'eu pas le temps de reagir et après cette phrase.
sa vision des humain aussi noirs que les Skarg changea.
un seul mot, un seul qui n'était pas un reproche.

-humain,je etre nvrée de vos soldat tués, moi pas être arriver assez tot. alors moi continué a defendre vous.

il sortit un de ses pistolet de poing et dit a l'arrivant

-arriere, homme imprudent ou je te vide de tes entraille

c'était la premiere fois qu'il prononcait clairement une phrase

Enrigane qui était en tête de marche s retourna et vis la scène. Il s’approcha et reconnu le chasseur.

Enrigane : Et bien Shi !!!! Toujours en quête de la meilleure façon de tuer du Skarg. Il va falloir vraiment que je t’apprenne un jour ques que c’est la chasse.

Puis des oiseau s’envolèrent comme si ils étaient effrayé, Enrigane se retourna en se baissa.

Enrigane : Et merde, avec toute tes conneries on c’est fait repéré.

Plusieurs mouvements, puis des grognements s’entendirent tous autour d’eu. Il regarda les deux hommes et leur dit.

Enrigane : Il va falloir régler vos probleme plus tard, on a de la visite.

D’un seul coup un Skarg sauta en direction d’Enrigane…

L'albinos paru surpris d'entendre le son d'une voix humaine. Il cligna des yeux plusieurs fois, la bouche entreouverte, semblant répèter les mots de l'homme qui le tenait en joue. Il ne prêta pas attention au Skrag. Visiblement, rencotrer un autre humain d'aussi près datait d'il y a bieeeen longtemps.
"Je... je... je suis... Shi..."
Ces mots semblaient le frapper, il s'en était souvenu spontanément, sans pouvoir l'expliquer.
Toutefois, lorsque les oiseaux s'envolèrent, il retira sa lame et plongea immédiatement dans le couvert de la végétation, avant que Aq ne puisse réagir. Puis il ajusta le Skrag bondissant d'un couteau dans l'oeil, avant de dégainer sa seconde arme et de chercher des cibles, sans cesse en mouvements dans les branches basses, silencieusement et adroitement, comme c'était son habitude...

[HRP] Hé ho s'il vous plait si vous voulez que je suive soyez gentil et évitez de me servir dix réponses dés que je reviens de ma semaine à l'internat ! Encore heureux que je me sois connecté de maniére exceptionnelle bien sûr mercredi sinon j'aurais plus le fil ![/HRP]

Sebastian ne les avait pas vu venir. Le couvert de la forêt et la nuit tombante se prêtaient trop bien aux embuscades à son goût, et l'idée d'entrer dans cette grotte ne lui plaisait pas du tout, surtout sachant que c'était un skarg qui le leur avait conseillé... Du ciel, il annonça :
Je ne vois pas Libria d'ici, et j'ai bien peur qu'avec tout ça j'ai perdu de vue la direction à prendre. Je pars en reconnaissance un peu plus loin. Si je ne suis pas revenu d'ici une heure, inquiétez vous, et...
Il se posa et tendit à Enrigane un pistolet de détresse.
Des fois que je passe sans vous voir... Ou que vous ayez un probléme...
Il lui adressa un clin d'oeil.
Pour le reste je compte sur toi. Fais gaffe, je n'ai guére confiance en tous ces gens...
Sur ces mots, il s'envola de nouveau et partit en direction du Nord.

Et sa parle, on discute "patati patata" , on tue du skarg mais le fait qu'Aq avait l'épaule en sang n'avait pas effleuré ces compagnons.
Il se tourna vers le skarg rebelle.
"Dit moi l'ami tu n'aurais pas des bandages, moi j'ai déjà tout utilisé depuis longtemps. Se tournant vers le reste du groupe. Vous aussi si vous avez des bandages ce n'est pas de refus."
Ils n'eurent pas le temps répondre que 5 skargs et 3 raptors sortirent de leur cachette. Aq maudis sa malchance et tira ses dernière balles sur les assaillants. Pendant se temps Enrigane tirais flèches sur flèches touchant à chaque foie mais l'endurance exceptionnelles des skargs rendait les traits mortels quasiment inutiles.
Sans aucune pitié pour ces anciens compagnons Silfurion Edjonovah tirait de petites rafales grâce à son fusil d'assaut. Le fou (c'est comme ça qu' Aq avait surnommé Shi)"dansait au milieu des reptiles les blessant le plus possible. Malgré le fait que les assaillants soit plus nombreux, il furent vite abattu.
C'est Aq qui pris en premier la parole.
Bon ! Bravo a tous .... mais maintenant quelqu'un peu me donnait un truc pour que mon épaule arrête de pissait le sang ........ Un ou deux chargeurs ne seraient pas de refus aussi.

Apres le violant affrontement, Enrigane s’approcha du soldat et sorti de l’une de ses sacoche une pommade tirer de plante et aussi quelque boue de tissu en bandage.

Enrigane : Met sa sur ta blessure, serre bien le bandage et vite on ne doit pas rester ici, d’autre vont venir.
Nous allons marcher encore 20 km puis on s’arrêtera pour prendre du repos.

Enrigane sorti les flèche des cadavres des Skargs et les remit dans son carquois. Pendant que le soldat se soigner Enrigane monta en haut d’un arbre pour voir mieux les alentours, puis il redescendît et donna une direction.

Enrigane : On va vers le Nord Est de cette position selon les étoiles, on va se diriger vers l’avant poste le plus proche.

en marchand, l'enuie se fit vite sentir et Silfurion voulant absolument les aider dit d'une voix sombre

les Skargs sont bien plus fort que vous n'en doutez,
comme vous le remarquez, je parle maintenant parfaitement votre langue, car les Skargs augmente leur capacité intelectuelle et phisique avec la heusse de leur sentiment et de leur combativité
je peut vous renseignez: leur base pré-principale se trouve a 200km de votre base principale et quelques centaine sont a a peine 10 km de celles ci.
elles sont toute cellé et sous terres, mes frères ont deja creusé plusieur tunnel sous votre cité.
attndez encore 1an et attendez vous a voir deboulé des centaines de millions de Skargs...

L'homme sauvage avait disparu depuis déjà une dixaine de minutes. Tandis que le groupe continuait d'avancer à travers la forêt, Forin sauta d'une branche et attérit au milieu du chemin, juste devant ses compagnons.

"Skrags proches, trente. Pas rester là. Moi connait une planque. Peux dormir là-bas. Vous d'accord ?"

Enrigane : Trente !!!! Je suis fort, mais trente on ne pourra pas se les farcir. J’ai repéré un temple pas loin d’ici quand j’ai regardé au dessus des arbres.
En avant, avant qu’ils nous rattrapent.

Enrigane commença à courir a travers la végétation, tous les autres le suivire.
En quelque minute ils étaient tous arrivé se fameux temple.

Enrigane : On va pouvoir les prendre en embuscade.

Enrigane entra dans le sombre temple arc en main prêt à tirer. Il arriva dans une grande salle, la lumière de la lune passait par des trous dans le plafond. Plusieurs statues ornées la salle, certaine était cassé, Elle représenter des raptors et d’autre des homme. Enrigane alla sur des hauteurs pour dominer la salle.

Enrigane : Placez vous et planquer vous, attaqué qu’une fois que j’ai tiré.

Au loin en entendait une troupe qui arrive dans le temple.

Forin reconnut le temple une fois rentré à l'interieur, une vague de tristesse l'envahi : c'était l'endroit où il s'était caché pour échapé au patrouille de Libria, à dix-sept ans après s'être enfhuis de lla prison de la ville.

"Je connait souterain, passage secret. nous y conduire. Nous à l'abris là bas, eux pas connaitre."

Puis il courut vers le mur du fond, sauta par dessus se qui semblait être un autel et se baissa
quelque secondes plus tard, un bruit sourd se fit entendre et un pan du mur coulissa dévoilà un couloi secret sombre et humide. Il se dégageai de la nouvelle issue une forte odeur d'eau de champigons, de moisissures et d'humidité. L'homme sauvage sourit :

"Sa masquer notre odeur, les skrags pas pouvoir nous repérer !"

Puis il s'engoufra dans le couloir un torche éteinte à la main. Soudain de la poussière tomba du mur et un grincement se fit entendre. Le pan de mur commencait doucement à se refermer.

"Vite, pas possible de l'ouvrir de l'interieur."

le mur tremblais toujours et un filet de poussière tombait en permanance dans l'ouverture qui se refermait lentemant, mais tout de même trop vite.

Une embuscade ! Bien sur, "Je suis fort, mais trente on ne pourra pas se les farcir." avait dit Enrigane. En tout cas s’il peu pas se les farcir c'est à cause de ces chevilles trop grosses ! Et puis j'aurais fait quoi? Sans munition et à moitié blessé. Sûrement regarder le « chasseur » se faire dépecer

Se fut les pensées d'Aq pendant qu'il rentrait dans le temple. Il commença à chercher un bon coin pour l'"embuscade" quand il vis l'homme sauvage ouvrir un passage secret. Le soulagement se lut sur le visage d'Aq pendant un moment puis quand il vit la porte se refermer tout expression avait disparut de son visage. Il courut avec les autres vers le couloir, il utilisa ses dernières forces pour se lancer dans le sombre passage.

Dedans il faisait sombre et sa puait.

Enrigane ne savait pas comme il allait se débarrasser de tous ses Skarg, peu être en tuer 5 ou 6. Quand il vit le passage secret s’ouvrir il eu aussi un très grand soulagement. Il courut avec tous les autre vers le passage et s’infiltra dans le passage noir.

Enrigane : Et bien, on a une chance pas possible, sérieusement, je ne savais pas comme on allait se faire tous ses Skargs.

L'albinos renifla, avant de déclarer, avec visiblement une grande confiance en lui :

"Trente Skargs, ce n'est rien. Il aurait suffit de bien choisir le terrain."

Puis il se baissa, et sans mot dire, se couvrit de la substance visqueuse et puante. Il dégageait déjà l'odeur de la forêt. Et maintenant, il sentait l'odeur du passage. Mieux même, avec ses vêtementset sa peau salis, il s'y confondait, hormis ses yeux.

Le passage était maintenant totalement fermé mais heureusement tout le monde était là. Le silence ne dura pas longtemps : les skrags entrèrent dans le temple et fouillèrent la salle. Ne trouvant rien ils finirent par repartir.
Le groupe commençais à s'habitue à l'obscurité, l'homme sauvage rompit le silence et demanda à voix basse :

"Vous avez du feu ?" (attention, il ne fais pas la liaison : vous avez)

Il brandit sa torche éteinte et attendit une réponse positive, en espérent qu'elle arriverait.

Silfurion avança cracha un enorme glaire, pris 2 pierres et avec les etincelles, sa salive s'alluma
-cela dure 4heures au maximum, sa sent mauvais, mais c'est une grande source de chaleur.
il faut que je vous informe sur la mission "fin du desert" de mes frère, celle qui choisira le destin de cette guerre.

Enrigane s’assit et rangea son arc. Il examina ses blessures avec la lumière produite par la torche. Cela n’était pas joli à voir, mais il avait connu pire. Il souffla un peu et regarda le Skarg.

Enrigane : Alors on t’écoute…

Il pris le pistolet de détresse que le flyhunter lui avait donné, il regarda si il y avait bien une fusée. Des la sorti de ses temple, il devra la lancer pour donner leur position au Flyhunter. Le soldat avait vraiment besoin d’être évacuer vers Libria et donner les informations au sujet d’un temple qui appartenait au Ancien. Puis il en profita pour affûter ses armes en attendant l’histoire du Skarg.

Lhomme sauvage s'assit égalemnt et attendit que le skrag reprenne la parole. A part l'odeur, le feu était agréable, mais bon, Forin avait le nez bouché donc, heureusement pour lui, il ne la sentait pas très bien. Décié à vider son nez, ayant eu de nombreuse experancie où son odorat lui avait sauvé la vie, il sortit une feuille de le sacoche de sa fronde, se moucha et la jetta dans le feu. L'odeur n'était pas si horrible que ça seule, mais additioner à celle des moisissures et champignons... Foin ne serait pas étonner qu'un de ses compagnons vomisse avant la fin du récit du Skrag.

Silfurion prit la parole sur un ton grave

-le projet "fin du desert" dans votre langage sera la fin de votre race si je ne vous met pas au courant...
comme je vous l'ai dit, les principales bases de mes frères sont enfouies sous terre et encercle votre cité principale sans laquelle vous ne pourriez survivre, mais le pire et que notre Q.G principal est juste en-dessous de celle-ci...
vous ne l'aviez surement pas trouvez, car elles est enfoncée a plus de centaines de vos kilometres et nos appareilles très sophistiqué on surement bloqué vos appareils de fouilles.
ce massacre ce deroulera surement dans quelques mois.
je peut vous indiquer quelques renseignement sur leur manière d'attaquer, mais sans trop de sureté.
nous aurions pu essayé de chercher les plans de l'attaque, mais il est au Q.G avec des millions de mes frères assoiffés de sang.
j'aurrais pu peut-etre m'infiltré avec mon grade de xenos: generale en chef ou marechale si vous voulez, mais...
il decouvrit son bandage a l'épaule, qui montrait, une marque encore fumante et rougeoiyante
cette marque me l'interdit.
c'est la marque de la honte, le pire chatiment de mes frère et mon dernier souvenir de ceux ci...
vous devez vous depechez humains, je ne sais quand cela va commencer.

Forin ne réagit tous d'abord pas. Puis, il brisa le silence, il alluma sa torche et dit :

Moi peux vous conduire dehors rapidement. Sortie pas connue des Skrags. Puis nous irons (pas de lianson) dormir. J'ai fait planque sure pas très loin ! Skrags pas savoir comment bien monter aux arbres, nous à l'abri là haut."

Puis, sans prévenir, l'homme sauvage s'avanca dans les ténèbres. Sa torche dans la main gauche brulait au passage quelques mousse et toile d'araignée. Puis l'homme tourna à droite et disparu dans un labyrinthe de couloir. S'appercevant bien vite que ses compagnons ne l'avait pas suivi, Forin fit machine arrière et revins au premier tournant. Attendant ses compagnons qui était toujours assis, en train de digérer la nouvelle que le Skrag venait de leur apprendre. Cela faisait une minute que le réptile avait fini son récit mais personne n'avait bougé, ils était toujours à plus de 50m de l'homme sauvage, qui, grace à ça torche, pouvait être vus sans problème.

Enrigane tout en marchant réfléchissait aux paroles du Skarg. Les Skargs avaient crée une base dans cette parti et juste en dessous de Libria. Mais les Skargs sont arrivaient des l’Ouest des région inconnu de l’homme, c’est la seul chose qu’il savait sur la guerre. Dans le noir percé par la flemme de la torche Enrigane regarda chacun des visages des personnes l’entourant. Puis il prit parole.

Enrigane : Bon, il faut avertir Libria de cella. Des qu’on sort d’ici on va tirer cette fusé de détresse pour que les flyhunter nous repère, mais si des Skargs sont a proximité, ils vont venir, cela sera une question de minute.

Puis il regarda le soldat.

Enrigane : Les flyhunter auront sûrement des munitions pour ton arme. Prend le tous ce que tu pour apporter, tu vas en avoir besoin.

Tous le monde s’arreta.

Enrigane : Nous allons tenter d’infiltrer cette base et faire notre possible pour au moins l’endommager, je sais que je suis téméraire, mais la c’est du suicide. Ce qu’ils ne veulent pas me suivre, je les comprendrais. Mais moi j’y vais.

Il reprise leur marche tous en silence. Au bout d’un moment ils arrivèrent tousse a la sorti de se passage, la sorti était caché par beaucoup de végétation et de racine. Il fallait presque se coucher pour sortir. Enrigane monta dans un arbre, sorti le pistolet de détresse et tira. Puis il guetta les environs et vit au bous de cinq minute un escadrons de Flyhunter arrivais vers eux.

Le groupe était arrivé à un croisement devant la sortie, à droite, ou le chasseur s'était déjà avancer, c'était la sortie du passage mais le couloir continuait tout droit et plongeait dans l'obscurité. La torche s'était éteinte et avait été jettée quelques mètres plus loin.
Voyant le chasseur partir, Forin dit :

"Moi veux bien vous conduire jusqu'à sous la ville, mais moi rien devoir à ville donc pas venir avec vous, juste vous conduire jusqu'à issue secrète. Mais maintenant, vous choisir."

Sa main montra le couloir de droite et la lumière.

"Soit sortir par ici et arriver vite sous la ville. Pas d'endroit sur pour dormir mais être devant entrée cachée demain matin au début du jour."

Sa main bougea et désigna le couloir sombre derrière lui.

"Soit par ici. Route plus longue pour sortir mais endroit sur où dormir, par contre VOUS être sous la ville demain à la fin du jour."

Forin avait étrangement insisté sur le "vous".

Une fois la phrase finie il dévisagea un à un les membres du groupe, fixant intanssément leur regard. Ses yeux n'exprimait que deux chose : mépris et tristesse. Une fois que son regard arriva sur le skrag, son expression changea : Ses yeux exprimait toujours de la tristesse mais un léger sourire était visible sur son visage. Le silence devenait pesant, tous ignoraitt ce que cet homme cachait derière ce regard étrange. Dès que Forin eut finit de dévisager ses compagnons, il baissa lentement ses yeux et regarda ses mains. Son regard était à peine visible mais ceux qui le voyait n'avait aucun mal à voir la grande tristesse qu'éprouvait cet homme. Soudain les mains poilues se fermèrent violament, les poings de l'homme se fermant le plus possible. Ses bras tremblait et tous pouvaient voir que l'homme qu'ils avaient en fasse d'eux luttait pour ne pas faire faire regaillir une émotion puissant refouflée en permanance au plus profond de l'homme. Personne n'osait parler, ne sachant pas tellemnt pourquoi. Peut-être de peur que les émotions de Forin regaillissent de façon brute contre celui qui aurait parlé, à moins que certain soit si concentré sur le sauvage pour penser à agir, ou peut-être qu'ils était trop occupé à se repasser les évenements vécu en sa compagnie afin de remarquer ce qui auait pu déclancher ce comportement, même s'ils ne pouvaient rien trouver, la recherche de ceux-là n'était pas veine.
Forin avait, depuis sa première rencontre avec le groupe, intrigué ses compagnons. Il semblait n'avoir jamais vus la civilisation, ou en tous cas pas depuis une dixaine dannée. Pendant leur voyage, il avait tous d'abord été un peu méfiant, puis petit à petit, son expression avait changé et il était devenus un compagnon joyeux, faisant lemaximum pour rendre service à ses amis... amis ? Qui pouvait être sur qu'il les considérait comme ses amis ? Peut-être était-il engagé par les Skrags pour éliminer certains membre du groupe que les reptiles jugeait génant. Peut-être devait-il éliminer le rebel, ou le soldat, dernier survivant d'un groupe ayant découvert un laboratoire contenant certainement bon nombre de secret. À moins qu'il doive éliminer le chasseur, un éclaireur expérimenté t discret doublé d'un redoutable guerrier. Ou alors il devait les éliminer tous.
Lors de l'afrontement avec les skrags avant que le groupe se dirige vers le temple, Forin avait disparu mystèrieusement et il était réaparu justa après comme par magie avertissant ses compagnons qu'un important groupe de skrag les avait repérés. Peut-être était-ce lui qui les avait avertis. Puis dans le temple, il avait ouvert le passage secret et y avait mener ces compagnons vers une sortie "secrète", mais peut-être les conduisait-il en fait vers une embuscade tendue par les skrags derrière cette sortite justement, ou bien, il devait semer ses "amis" dans le labyrinthe et attendre passiament qu'ils meurent de faim ou de soif. Ceci expliquerai pourquoi il avait porté ce regard plein de haine sur ses compagnons et avait souris joyeusement devant le skrag qui lui rappelait ses employeur et la récompense promise. Mais alors, pourquoi la haine de ce regad était-elle doublé de tristesse ? Peut-être qu'après la compagnie de ces hommes et de ce skrag, il avait des remords à les tuer, peut-être lui avaient-ils rappeler ce qu'était l'amitié ou même son enfance ? Si cela était vrai, cette colère était sans doute porté sur lui-même, sur lui qui allait tuer ou faire tuer ses seuls amis...

Tandis que la plupart des membres du groupe essayait de comprendre le comportement étrange de cet homme, ils furent tirés de leurs pensées par un agissement de ce dernier.

Forin ne tremblait maintenant plus, il était droit mais sa tête était toujours baissée. Etant dans le coisement, la lumière parvenant de la droite permettait de le voir nettement. Son système pilleux était vraiement développé, ses cheuveux brun et sales allaient jusqu'à sa taille. Mais, chose étrange, il n'avait ni barbe ni moustache. A pars ce détail, il ressemblait à n'importe quel homme ayant passé au moins dix longues années dans la nature et ses conditions de vie difficiles. La situation étant de nouveau statique, les membres du groupe allait continuer à penser à ce qu'ils allaient faire maintenant, si Forin resait planté là ils devraient certainement sortir du labyrinthe sans lui, mais comment faire...
Un nouveau mouvement de forin remmena de nouveau les rêveurs à la réalité. il avait redressé sa tête et était mainenant totalement droit. Son ragard qui ne fixait personne semblait regardé quelque chose d'invisible où beaucoup plus lointaint que les murs de ce souterrain. Ses yeux était d'une couleur étrange, un bleu gris qui alternait entre bleu et vert suivant la distance, la luminosité et l'angle selon lequel on observait l'iris de l'homme. Ces yeux étranges allaient bien avec se personnage peu commun, le rendant encore plus singuilier. Mais ce qui attirait l'attention du groupe ce n'était pas la couleur de ces yeux ni leur regard fixe mais ne fixnat rien, c'était les reflets argenté qui perlait ses yeux étrange. Tout à coup, Forin se laissa tomber en arrière, se retrouvant assis sur un bloc de pierre qui s'était détaché du mur quelques années auparavant. Pendant sa chute, l'homme avait détaché l'os de T-Rex accroché dans son dos qui lui servait probablement de gourdin. Mais contrerement à ce que certain membre du groupe avait certainement pensé, l'homme sauvage n'avait pas sortit son arme pour les attaquer. Une fois assis, Forin jetta l'os par terre. Se dernier roula et d'arrèta devant le groupe. Il fut ientôt rejoint pas la sacoche contenant la fronde faite avec une branche solide et le boyaux d'on ne sait quelle créature et les munitions de l'arme. Quand les membres du groupe regardèrent de nouveau l'homme sauvage, ce dernier était toujours assis sur son bloc de pierre mais avait le coudes sur les genoux et la tête dans les mains. Les grosses mains poilues cachaient entièrement le visage du sauvage qui n'avait plus que son couteau come arme. D'une voix caverneuse, Forin chuchotait de manière à peine audible et au milieu de reniflement buyant ces mots :

"Pourquoi... pourquoi...purquoi eux...pourquoi eux...pourquoi maintenant..."

Puis le sauvage releva lentement la tête, regarda de nouveaux le groupe. La umière du couloir de droite, se refletait dans ses yeux qui étaient emplis de reflet argenté. La machoire de l'homme tremblait légèrement, puis sa tête retomba dans ses mains et ils recommença à se parler :

"Non...veux pas...pas eux"

Forin refit une pose, reniflant toujours. Cette fois,il ne releva pas la tête et renifle une dernière fois avant de chuchoter de nouveaux, plus calmement et encore plus doucement que les deux autres fois :

"Mau...Mau...Maudit ......Doisle faire...pour eux."

Puis forin se releva doucement,il avait toujours la tête baissée mais la releva progressivement. Une fois de nouveau droit, ils regarda de nouveau fixement le regard de chacun. Cette fois, ses yeux ne reflaitait qu'une trisstesse profonde parssemé d'une légère étincelle de détermination. De sa voix habituelle il reprit, comme si de rien était :

"Alors... vous choisi ? Doite ou devant ? Vite ou sur ? Marcher ou dormir ?"

Tout en parlant, sa main droite se releva et agrippa lemanche de son couteau, dernière arme en sa possession. Dès qu'il eu finit de parler, il dégaina violament sou couteau et le tint à la manièe d'un poignard. Lentemant, il dirigea sa main vers son coeur et posa délicatement sa main gauche su sa main droite et posa le tout contre son coeur. Ne s'occupant pas du regard de ses compagnons, il changea la poingard de main et le rechangea encore. Forin tenait maintenant son couteau de chasse à double tranchant dans sa mon droite, à la manière d'une épée, sa main gauche recouvrait sur la droite et le tout était posé contre son coeur. Toujours lentement, il recula ses mains et posa délicatement la pointe de la lame contre la peau qui protégeait son coeur. Sa main gauche était prète à apuyer sur la droite, ce qui enoncerait la lame dans la peau et turait à coup sur l'homme-sauvage. Il ne bougea pas, il sentait bien le choc chez ses compagnons mais ne semblait pas s'y intéresser.

Tous avait été surpris par le comportement du sauvage mais maintenant, il réalisait que ss'il ne faisait rien, il y avait de forte chance que Forin se tue. Tous se rappelais qu'il vait parlé d'un passage qui menait sans doute vers le repaire des skrags, s'ils voulaient pénétrer la base, Forin serait utile en tant que guide. Mais tous se souvenait aussi du regard plein de mépris qu'il leur avait adressé tout à l'heure et des reflexion que cela avait entréné chez eux.
Il y avait donc deux possibilitées : Soit Forin était engagé par les Skrags et avait hinte de son comportement, soit c'était autre chose, mais alors quoi ? Dans tous les cas, si le groupe voulait savoir, il fallait que le sauvage leurs disent, mais pour cela il ne devit pas mourir, en tous cas pas tant qu'il n'aurait pas expliquer les raisons de son actes, mais tous savait que si ils essayaient d'approcher ou de le désarmé d'une quelquonque façon, Forin naurait aucun mal à ce tuer avant que ses compagons puissent intervenir. Que fallait-il faire ?

Ici, près de ce croisement de couloir sous ce temple ancien, le temps semblait figé, alors qu'a quelques kilomètre de là, sous la ville humaine de Libria, les Skrags préparait activement la destruction de la race humaine. Tandis que dans le labyinthe le temps semblait durer une éternité, pour les Skrags, il était trop court.

L'albinos, qui n'avait pas dit un mot depuis le début de la marche, aboya un seul mot :

"Vite."

Enrigane senti que les geste du sauvage ne présagé rien de bon et que si on n’intervenait pas, il allait sûrement se planter le couteau dans le cœur, d’un geste très rapide, il décocha une flèche et tira, la flèche vint se planter dans la main du sauvage dans la quel tenais le couteau, la puissance du tire planta la flèche dans le mur en attirant le sauvage contre.
Maintenant, il était temps de l’interroger sérieusement.

Aq n'en revenait pas. En quelques seconde tout dérapa. Le sauvage avec la main planté dans la paroie de la caverne criait, dehors les autres flyhunter arrivaient. Il fallait faire vitte et bien.
Aq se mis devant le sauvage et dit tout en lui enlevant la flèche:
-Dit moi l'ami pourquoi est ce que tu voulais te tuer ?
Pas réponce à part un grincement de dents quand sa main fut libérée.
-Je ne sais pas qui tu es, se que tu a vécus ni se que tu as fais pour en arriver là. Mais je sais que maintenant tu es notre compagnon ou de moin mon compagnon.
Pas de rèponcfe mais quelque chose brilla dans son oeil.
-Je me fou totalement de se que tu avais l'intension de faire mais maintenant c'est du passé. A l'heure qu'il est il faut penser au prèsent.
Aq se tourna ramaça la masse de l'homme sauvage et lui rendit. Avant de lachait prise il dit:
-Je te fait confiance l' ami.

Et il lui tourna le dos.