Bon voila, jaio réécris soul darkness avec la permission de nagaara! dite moi ce que vous en pensez!
(ce qui est en italique est de nagaara, cest lintro de soul darkness!)
-Nous interrompons ce programme, car une chose extraordinaire vient de se produire. En effet, une ville, je dis bien une ville vient de disparaître de la surface de la Terre. Voici les images en direct... Wouah c'est énorme... incroyable, c'est... c'est un immense cratère... que... quelle lumière aveuglante. Ce rayon semble pointer vers le ciel lui donnant une teinte violette. Les autorités sont deja sur place et tente de recueillir les témoignages. Mademoiselle... Mademoiselle, pouvez vous nous apprendre quelque chose?
-C'est ahurissant... c'est... ahurissant...
-Oui mais après?
-Je n'en sais rien, il y eu ce violent tremblement de terre...
-Pourtant, les spécialistes n'ont enregistré aucun séisme.
-Laissez moi! C'est ahurissant...
-Comme vous pouvez le constater chers telespectateurs, la population aux alentours est en état de choc...
deux jours plus tard.
-Bonsoir, chers telespectateur, commençons par le phenomène qui attire de nombreuses polémiques, la ville d'Horsetown et ses habitants toujours introuvables à ce jour. J'ai ici en ma compagnie, le représentant de la secte, les temoins de jéhova...
-La fin du monde approche...
-En êtes vous sûr?
-Le jugement dernier, ragnarok...
- Nous avons également invité un spécialiste, monsieur Fildertach, pour lui ce n'est pas l'effet de la providence.
-En effet, je pense qu'il s'agit d'une autre forme de vie..
-Vous voulez dire les extraterrestres?
-Exactement, je ne vois que cette explication, c'est la plus rationnelle possible.
-Mais comment aurait-ils pu enlever une ville entière?!
-Surement leur technologie, elle doit être très avancé...
-Je vois... eh bien chers telespectateurs nous ne sommes pas plus avancés...
sept jours plus tard, en première page du journal "le monde"
Horsetown, une ville sans histoire?
Pas exactement à vrai dire. Une légende urbaine est dans tout les esprits des villes alentours. Monsieur x, un ancien habitant de horsetown affirme qu'en 1880, six cents soixante-six enfants auraient disparu une nuit, ils auraient étaient appelés par une force inconnue. Jamais ils furent retrouvés. Evidement, ce n'est qu'une legende hurbaine. 666, le chiffre du demon. Le Pape a tenté de rassurer la population en accordant une visite officielle sur les lieux de cette disparition. "L'épreuve que Dieu nous fait subir nous rendra plus fort", avait-il dit à la foule de pratiquants. Depuis ce jours, le cratère de Horstown est un lieu de pelerinage pour beaucoup. Certains affirment que ce rayon de lumière est le chemin qui mène vers le paradis, d'autre parle de purgatoire. Ce phénomène prend une tournure religieuse.
Pendant ce temps là quelque part...
Je la vois, l'ombre, celle qui déchire nos coeurs, celle qui a pris nos vies. j'erre depuis le commencement de la fin, au milieu de ces âmes sombres mais survivantes... Cette force inconnue nous à enlever de cette Terre, nous ne sommes pourtant pas au royaume des morts... nous sommes quelque part ailleur surement entre les deux, prisonniers. On nous envie et on nous guette, ces monstres de ce royaume cauchemardesque sont bien réels. Et dans le froid du néant j'aspire à ma mort pour quitter enfin ce monde de ténèbres...
Cette brume, ce froid. Une atmosphère étrange plane sur cette ville, les survivants tentent de prendre tout les chemins possibles pour la quitter, mais ils y reveniennent toujours. En tout cas ils ne sont pas seul, des choses errent dans les rues de horstown, des choses horribles, affamés. Le genre de choses qui vous dévorent vivants et une fois mort vous devenez comme eux,Ils essayent de fuir tant qu'ils le peuvent... Mais ils entendez cette musique, ces voix d'enfants:
Le charbon a sali tout nos vêtements
Le charbon a sali tout nos vêtements
Mais nous ne serons pas puni lalala
Car il nous la promi lalala
le gentil loup de la forêt lalala.
Elle raisonne en boucle dans la tête des survivants, puis, elle finit par s'envoler dans le vent sans laisser de trace, juste un souvenir des paroles dans la tête de ceux ayant échapé a l'explosion.
Cela faisait longtemps que Lith traînait dans le quartier résidentiel de Horstown, un quartier abandonné de toute vie.La mort était passée telle une explosion, laissant derrière elle quelques cadavres écorchés et une légère brume.La jeune fille marchait parmis cadavres et décombres; elle sautait par dessus les flaques d'eau, s'éclaboussant de temps a autre.Elle semblait s'amuser dans le chaos qui régnait sur la ville, sans remarquer le danger la guettant depuis les buissons d'un jardin voisin.Sans même se douter que quelqu'un ou quelque chose voulait et pouvait lui faire du mal, Lith continuait de s'amuser avec les flaques d'eau, toujours en chantonnant
C'est alors qu'un gémissement plaintif, suivit d'un bruissement de feuilles fit disparaître toute euphorie en Lith.A travers la brume que la mort avait déposée, une silhouette a la démarche titubante, ne ressemblant qu'à un ramassis de détritus moisis se raprochait de Lith.Elle ne reculait pas, prise d'une curiositée la poussant à vouloir connaître le visage de cette créature.Quand la bête ne fut plus qu'à quelques pas de Lith, elle put sentir son odeur, une odeur de putréfaction, en parfaite harmonie avec son visage ravagé de plaies, soulignées par quelques lambeaux de peau.Le monstre s'avançait et la jeune fille était là, le regardant; étrangement elle ne paniquait pas.La bête, toute vêtue de haillons tendit la main vers Lith....
Tato avait vite bougé de la mairie car les monstres devenaient de plus en plus nombreux dans les parages, sans connaître la ville, ses pas le menèrent dans un quartier résidentiel tous ce qu'il y a de plus banale.Des maisons de chaques côtés de la rue, plus grande et plus belle les une que les autres, *ce quartier dut etre magnifique* pensa le jeune homme.Il tourna a doirte, là, une jeune fille regardait d'un air hébété un de ces monstres si horribles, celui-ci s'apretait a lui déchiqueter la tête.Tato n'avait pas l'habitude de jouer les héros, et c'est sans réfléchir qu'il courut en direction du monstre, plaça un coup de genoux dans le coude de la bête, attrappa la fille et repartit dans en sens inverse.C'est seulement lorqu'il fut sûr d'être à l'abris qu'il parla:
"ça va, tu n'es pas blesse?"