Aëria (titre probablement non définitif)

Salut à Tous, ici, je vais poster le tout début du roman que je commence. L'histoire ce passe dans un monde plus de féerique que de fantasy. Bonne lecture !


Aëria

Nous sommes les Aëriens, peuple de la lumière, race d'hommes-oiseaux. Il y a de cela des siècles, nous formions une alliance avec les fées, les elfes et les hommes. Nous éliment chacun un grand guerrier ayant pour mission de nous protéger des invasions barbares, un Seigneur Empyréen. Tout les cinq cents ans, un seigneur Empyréen prendrait la tête de l'alliance et y ferait régner l'harmonie et la paix. Mais, ce temps, est révolu. Aujourd'hui, les hommes nous ont trahis. Notre totale confiance en eux fût la cause de notre chute. À présent, nous sommes réfugiés, là où les hommes ne chercheraient jamais. Les Cieux. Les îles flottants dans les airs étaient le meilleur endroit pour nous cacher de la menace de ce qui nous considérions comme nos frères. Grâce à la magie des airs, nous bâtîmes de grande cités; nous élevèrent de grands temples en l'honneur de nos dieux. Petit à petit, le royaume des airs nous appartenait. Les quelques créatures qui y vivaient se rallièrent à notre cause et jurèrent allégeance à notre souverain, Pégasus Ier.

Ceci est vraiment le tout début, je viens de le commencar, attendais vous à avoir une suite tout les week-end. Je ferais peut être un exeption de temps en temps. Voilà

Un cadre inhabituel et original pour un début d'histoire. Ca me plait ! =)
C'est un peu court mais je suppose qu'on peut espérer en voir de plus en plus. J'ai hâte d'être au we prochain !
Sinon, je t'invite à passer, comme le veut la tradition, par la case présentation, histoire qu'on sache un peu mieux à qui on a affaire

Merci pour tes compliments ! Aller ! Comme il n'y avait presque rien au déut, je vous met la fin du prologue (car précédemment, c'était le début, lol).

Notre royaume s'étend à présent sur tout le domaine céleste. Les Elfes et les Fées nous fournissent la magie nécessaire pour nous élever, nous profitons également de la technologie des Gnomes. Nous érigeons, en ce moment même, une immense tour à la gloire de nos dieux biens aimés. Celle ci va, non seulement, servir à honorer notre panthéon mais elle sera également le point de repère de la croisade contre les Humains. Mais, notre alliance est de nouveau menacée. Les Hommes ont découvert notre royaume. Ils mettent au point des armes technologiques dépassant l'entendement. Gwenfalir, reine des Elfes est décédé depuis peu et nos ennemis en ont profité pour prendre le contrôle de leur nation. Les Fées et les Gnomes se sont rejoins dans un seul et même endroit pour mieux luter contre les êtres humains qui lancent, sans fin, des raids contre nous. Maintenant, le royaume est menacé, notre alliance va tomber, nos ennemis sont sans pitié et rien ne pourra les arrêter !

Entrez en Aëria !

Voilà !

Voici le début du chapitre 1 (Postez vos commentaires !)

La place du marché était bondée de monde. Sael marchait dans les petites rues, passant devant montreurs d'ours, cracheurs de feu et autres acrobates. La fête des Moissons battait son plein. Jamais elle n'avait été aussi bien réussie. Les guirlande de papier représentant de petits oiseaux ornaient les rues et une douce odeur de roses et de jacinthe pouvait se faire sentir dans les alentours. Les boutiques avaient, exceptionnellement, ouverts leurs portes pour l'occasion. Après tout, la fête des Moissons était l'événement le plus attendus du royaume. Les Fées, les Gnomes et autres petite gens arrivaient du monde d'en-bat pour fêter avec eux ce pur moment de joie et de bonheur, oubliant tout les dangers rodant autour d'eux. Sael, lui, avait toujours détesté cette fête. Il pensait simplement que les gens avait mieux à faire comme, par exemple, aller au front, face aux ennemis. Mais non, on ne pensait qu'a s'amuser tandis que les Hommes préparaient un plan pour nous détruire une fois pour toute.

« Les Elfes, pensa-t-il, ont commis la même erreur. Et regardez ce qu'ils sont devenus. C'est incroyable. Comment tout ces gens peuvent encore s'amuser ? »

Une voix qui lui était familière le tira de ses pensées.

-Alors Sael, on réfléchit ? N'est tu pas content que la fête des Moissons soit arrivée ?

-Oh, Miranda, répondit calmement Sael, tu me connait. Tu sais parfaitement que les fêtes ne sont pas mes loisirs favoris.

-Peut être... Mais je m'en fiche ! Aller ! Viens !

-Ou vas tu, Miranda ? Demanda Sael.

-Ne me dit pas que tu as déjà oublié ! Tu te rappelle ? Le rendez vous avec Leona et Manis, on devait les rejoindre près de la fontaine de Jouvence. Ton petit cerveau de 13 ans te fait défaut on dirait, dit Miranda d'un air moqueur.

-Ne prend pas ton air hautain avec moi ! Tu sais parfaitement que mes capacité de vol sont supérieures aux tiennes alors, ne fait pas la maline !

-Comment ça, supérieures ? Je te paris ce que tu désire que tu ne me bat pas au vol.

-Tu te souviens la dernière fois que tu avait pariée, Miranda ? Tu voudrait recevoir un deuxième échec cuisant ? Aucun problème, c'est ton choix.

-La dernière fois, comme tu dit, répondit Miranda, c'était un coup de chance.

-Tu as beau être mon ainé et une des personnes que je respecte le plus, je ne recule jamais devant un défi et je te battrait une fois de plus s' il le faut.

-Prêt ?

-Toujours prêt pour une course contre toi ! Répondit Sael.

-Go !


Les deux amis laissèrent leurs ailes se déplier est prirent leur envol vers le lieu de rendez-vous. Sael aimait ses moment là. Il avait beau être soucieux au sujet de ses ennemis, les moments de vol étaient pour lui un pur instant de bonheur. Et, ils l'étaient plus encore lorsqu'il lançait un pari avec une ami, en l'occurrence, Miranda. L'exaltation du vol... Voilà ce qu'aimait par dessus tout Sael. Accompagner les oiseaux... Survoler les plus hautes montagnes du pays... Tout ces moments de joie étaient la seule distraction de Sael. Cette fois ci, la course fut serrée; Miranda semblait avoir pris quelques cours de vol et celle ci était à quelques mètres, devant un Sael étonné. Jamais il n'avait vu Miranda voler aussi vite. Il décida de ne pas lui laisser de pitié, de mettre toutes ses forces dans la course. Et il n'y manqua pas. Tout les passant pouvant assister à la scène n'allaient jamais oublier ce moment incroyable. En effet, d'un coup surpuissant d'ailes, Sael se propulsa à une vitesse phénoménale dans les airs, faisant voler tout les objets qui se trouvaient dans les alentours. Le vent frappait le visage de Sael et celui ci sentit qu'il perdait le contrôle. Soudain, les ailes du jeune garçon commencèrent à briller, une fine poussière dorée recouvra bientôt le totalité de sont corps. Sael aperçut brièvement Miranda, évanouie, au milieu de la chaussée. Dans un éclairs de lumière, la poussière dorée se fit remplacer par des flammes. Maintenant, tout objet qui se trouvait sur le passage du jeune garçon s'enflammait et valsait dans les airs tandis que la personnes qui était la cause de ce carnage avançait à une folle allure, ne pouvant point s'arrêter. Sael hurlait, il souffrait le martyre et se consumait vivant. La vitesse était impensable, même pour un Aërien ! La douce odeur de fleurs se fît rapidement remplacée par une odeur de brulé, de corps calciné et de mort. Les yeux bleus de Sael passèrent au rouge sang. Brusquement, Sael s'arrêta et commença à feindre les gestes d'un rituel. Après un enchainement de mouvement bizarres et insensés, Sael leva les mains au ciel. Une immense colonne de feu s'éleva alors et vint frapper les nuages de plein fouet. Sael criait à la mort, il sentait son corps se consumer et voulait en finir à tout pris avec cette sensation. Plus Sael criait, plus le torrent de feu s'épaississait pour devenir un véritable orage flamboyant. Des morceaux de laves commencèrent à tomber du ciel et des rafales de feu ravageait la ville toute entière, brulant tout ce qui se trouvait sur son passage et massacrant ses habitants. Sael, conscient de se qui arrivait au alentours pleurait. Il voyait ses amis, sa famille et son peuple être décimés à cause de lui. Un stupide pari... Pourquoi ce stupide pari ? Il ne le savait point et ne voulait pas le savoir.




Je suis en train d'écrire la suite. Dites moi si il y a quelque chose qui ne vas pas, merci !