Aventure de Torga et Ärladëmia (Terminé)

Ärladëmia ce releva doucement de sa chute. Elle pensait être tomber de son arbre et ne compris pas comment elle pouvait être encore en vie, elle se demandait d'ailleurs si elle était en vie car l'obscuritée régnait et elle ne voyait rien. Elle esquissa deux ou trois pas et glissa ! Le sol était mouillé ! Elle leva les bras au ciel et s'étonna de toucher un plafond, en roc de plus...
*Que fais-je ici ? Quel est cet endroit ? Il faut que je me calme.*
Elle essaya de marcher mais se cogna la tête. A moitié sonnée, elle ne poussa toutefois aucun cri. Ne sachant pourquoi elle était aussi fatigué, elle décida de se reposer un moment, le temps de réfléchir...

Torga avait la tête comme un tambourin orque. Il ne savait absolument rien de ce qui venait de ses passer, mis à part que ça faisait très mal. Il se souvint : le convoi à escorter, une attaque de brigands repoussée... Il n'y avait aucun problème. En se levant, il se leva et se cogna la tête contre la paroi basse à cet endroit. Sa plaie se mit à saigner, car la roche était rugueuse. Ignorant la douleur comme il l'avait appris, il remit son casque tombé à terre et s'interessa au bruit de l'eau qui venait d'un peu plus loin au Sud. Il ne voyait absolument rien dans le noir total, aussi il se guida à tâtons vers la source du bruit, une épée dans la main droite. Arrivé au lieu-dit, il s'arrêta un instant, s'agenouilla au bord de l'eau et but un petit peu sans se douter des yeux qui le regardaient avidement. Puis il s'assit, posant à son coté son épée qui lui paraissait bien lourde tout à coup. Le sommeil lui manquait ces derniers temps, car enplus de son éreintant voyage, la téléportation lui avait supprimé bien des forces. (bon alors c'est comme ça qu'on fait un rp ? parce que moi je fais un type de rp apparement différent, c'est à dire que plusieurs personnages interagissent entre eux, avec des actions au présent. Il y a un MJ qui gére tout et les joueurs jouent. Je dosi dire que l'histoire que j'écris là me déstabilise un temps soit peu, mais ce n'est pa désagréable, c'est juste différent)

(bon sa me fait plaisir de voir que mes role play ne snt pas abandonnés au départ je les avaient fait pour mes potes mais les règles étaient trop longue donc j'en ai fait un moins compliqué (cf seigneur des anneaux) Pour répondre a ta question c'est comme cela mais c'est effectivement différent car il n y a pas de MJ et le but est de raconter une histoire en incarnant "profondémment" le personnage. La seule différence avec les JDR papier c'est que tu oublie les détails comme les lancés de dés et les piège du MJ. Tu es "Dieu" et tu as la main mise sur la vie et l'entourage de ton personnage (hormis les autres joueurs que tu peut malgré tout mettre en situation compromise) Le seul truc pas clair dans mes règles sont l'histoire du portail que je vais essayer de règler au plus vite. Je vais également essayer de voir si un ou deux de mes amis voudraient bien se remettre a jouer Voila j'éspère avoir répondu a tes question : place a l'histoire !
PS : j'aime bien ton style d'écriture pour l'instant )

Après deux bonnes heures d'attente dans l'obscuritée, elle vit un peut plus clair. Mais ce qu'elle aperçut ne lui fit pas plaisir. Les murs étaient faits de roche noire et donnaient l'impression d'absorber toute lumière, le bruit d'un chute d'eau résonnait au loin. Elle mit donc son arc en bandoulière et chercha machinalement son carquois... Avec un sourire désabusé elle se rendit compte qu'elle l'avait laissé a côté d'elle dans l'arbre. Un arc, sans flèches. Utile. Elle avança un peu, toujours en tâtonnant, lorsqu'elle entendit du bruit. C'était comme une chute d'eau mais... en beaucoup moins fort et saccadé, entrecoupé de bruits de succion. Toutefois ce qu'elle entendit après lui donna la chaire de poule, un bruit de métal qui cogne la roche. Elle s'approcha avec appréhension. Mais se rendit compte que c'était un aventurier assoupis, son épée a ses côtés. Ses craintes furent en partie appaisée malgré l'apparence puissante qu'il imposait. Toutefois quelque chose ne tournait pas rond, il y avait toujours ce bruit de succion... elle se retourna et aperçut un serpent sans tête, avec un diamètre égale a la moitié du tronc d'Ärladëmia. Ce serpent était en fait une sangsue assez... imposante ou plutôt, un mélange des deux : mi serpent mi sangsue. En tout cas quelque chose d'effrayant et de pas forcément amical, surtout vu la façon dont elle se raprochait, le haut du corp hors de l'eau et laissant un léger sillon derière elle. Ärladëmia poussa un cri de terreurqui se répercuta dans la caverne mais ne suffit toutefois pas a réveillé l'aventurier. Elle décida de s'emparer de son épée pour combattre cette ignomie. Elle accrocha la poigne avec malladresse, n'étant pas une bonne combattante a l'épée et donna un coup au monstre qui s'était approché de la berge. Evidemment ce fut le plat de lépée qui toucha, ce qui prouve son niveau avec une épée. Le serpent s'approcha et s'apprêta a mordre lorsque une main de fer se referma sur son poignet, l'obligeant a taper "avec le tranchant" sur le serpent et avec une force surprenante. La chose se révulsa, puis s'écroula : coupée en deux.
Je me retournait pour aperçevoir le visage de mon sauveur et tombait bien entendu sur l'aventurier. Je voulu le remercier mais celui ci ne me lachait pas la main. Remarquant mon gêne, il désserra son étreinte. Il paraissait faciné, je ne comprenait pas trop par quoi. L'espace d'un moment, il parraissait absent puis reprit vite ses esprits. Il commença d'une voix rauque:
"- Bonjour a vous noble dame.
- Bonjour, oui, bien que je ne sache pas si c'est le jour ou la nuit en ce lieu maudit... Il me semble que je vous doit la vie. Monsieur ?
- Mortelame, mais appelez moi Torga s'il vous plait.
- Je suis moi même Ärladëmia Mäeris, Torga et j'ai apprécié votre geste tout a l'heure. Peut être pourrions nous faire route ensemble ?
- Bien sur, vous serez ma luière répondit-il en souriant."

(tu fait ce que tu veut, tu continue le dialogue ou tu leur fait poursuivre leur route... bref tu joue ton personnage quoi. Et comme tu as pu le voir, j'ai interargi avec toi qui est PJ et avec un PNJ... bref tu peut tout faire du moment que tu ne donne pas la mort a un PJ autre que toi.)

(OK merci beaucoup !)
Torga avait encore suivi son instinct, et il espeait ne pas s'être trompé. Dans ce dédale sombre, sa vue ne lui servait à rien, laissant ses autres sens s'exacerber. S'il avait réussi à attrapper le poignet de la jeune elfe (à sa voix), c'était par pur hasard. Maintenant qu'il l'avait trouvé, s'il ne se trompait pas, elle pourrait le guider vers la sortie, et c'était pour l'instant la seule chose qui l'importait.
"Tu sais où est la sortie ? lui demanda t'il
- Non, mais j'éspère qu'il y en a une... répondit l'elfe avec un soupir
- Euh... Torga hésita. Je peux te prendre la main ? Je ne vois rie nici, je suis un humain..."
L'elfe rougit jusqu'à la racine des cheveux, mais Torga n'en vit rien.
"Si tu veux."
Il attrappa sa main avec une certaine rudesse, n'étant pas habitué à ce genre de... toucher (D'habitude il a plutôt tendance à frapper, taper, écraser, fracasser etc...). Le contact de la peau foride de la jeune elfe le fit tressaillir.
"Je pense qu'il faut descendre dans le même sens que le courant. C'est la sortie ou la mort, j'ai bien peur..."
L'elfe ignora la dernière remarque et répondit simplement d'une voix pincée :
"Allons-y."
Il se mirent en route.
Le chemin était long, caillouteux et dangereux. Il marchèrent côte à côte durant un temps qu'ils n'arrivaient plus à compter. Après un temps, Torga intima à sa compagnonne de faire silence et de s'arrêter. Un bruissement, comme le vent entre les feuilles des arbres d'une forêt, mais autre chose se faisait entendre : des pas. Torga devina qu'ils étaient deux et sans doute humanoïdes. Il souffla à l'elfe :
"Qu'est ce qu'il y a, là-bas ?
- Je ne sais pas... On dirait des hommes assez grands."
Torga lâcha la main de l'elfe et courut vers le bruit. La seconde d'après, un "plouf" résonna dans le souterrain. Les pas s'arrêtèrent, et un cri retentit dans la pénombre : Torga était tombé à l'eau et avait rencontré un problème qui se nomme grosse bête. Il avait dégainé l'une de ses épées et se débattait tant bien que mal contre le monstre et le puissant courant. Il fut emporté, l'horreur aquatique à ses trousses, et s'écrasa contre un rocher, un peu plus loin. Quelques os craquèrent, la peau s'arracha en de longues bandes de chair blanche rouges de sang. Son traqueur se jeta sur lui... pour ne jamais l'avoir : d'une caillasse assez lourde et bien ajustée, l'archère lanceuse de pierre lui avait explosé le crâne et la tête atterit près de Torga, où elle éclata en éclaboussant le malheureux humain. Ce dernier se laissa sombrer dans l'inconscience, pendant ce temps les pas s'approchèrent de lui avec force paroles inintelligibles. Ärladëmia vit alors ceux qu'ils étaient vraiment : on aurait dit des hommes croisés avec des chauves-souris. Ils avaient l'aspect humanoïdes, avec des pattes très fines, des bras longs et fins, une gueule de chauve-souris trempée de sang (de leur dernier repas, sans doute), et le reste du corps rachitique.
(Allez à ton tour maintenant, je crois que j'ai assez joué pour toi pour aujourd'hui ! ^^ après on passe dazns la forêt souterraine pour continuer le rp)

(hey ! petit détail ! c'est du Rp ok mais ! le RP c'est aussi l'improvisation ! -comme tu t'en doute...- donc évite de dire : "après on passe dans la forêt souterraine" lol sa ne le fait pas trop... deuxième petit détail, essaie de rester focaliser sur ton personnage car vers la fin de ton récit, j'ai eu du mal a savoir si tu te plaçait du point de vue de toi ou de moi... voila pour le conseil du jour ^^ )

Ces monstres étaient vraiments horrible... après en avoir assomé un d'un cailloux bien placé, l'autre s'en aperçut et décida que Torga n'était plus une menace. Il se précipita vers Ärladëmia et sortit de l'eau a une dizaine de mètres, toujours en courant.
Tout a coup, elle se souvient de cette après midi éclairée, au bord d'un ruisseau, qu'elle avait passé durant son enfance aux côté d'un sage qui leur avait conté une histoire... Cette pensée lui revint car le sage leur avait raconté l'histoire d'un jeune elfe perdu dans un tunnel sombre et poursuivit par de méchants orcs... cet elfe avait gagné sa battaille grâce a un arc sans flèches : un seul coup peut briser une défense ennemie : un revers du coude qui entraine l'arc selon un arc de cercle souhaité, que le sage leur décrit. Elle s'executa et toucha la créature au menton. Elle s'écroula, morte.
De suite après, elle plongea dans l'eau fraiche pour repêché Torga, une fois sur la rive elle pris son poulx, il était vivant.
(désolé de pas faire plus mais je suis crevé ^^)

(Merci pour le conseil. Quand on voit l'heure à laquelle t'écris... je compredn pourquoi t'es crevée dis donc !)
Torga avait trois côtes brisées et le coccys fêlé, il avait donc une sacrée chance vu la vitesse à laquelle il s'était fracassé sur le rocher pointu. Du sang s'échappait de nombreuses plaies dans son dos. Se tournant avec un râle vers Ärladëmia et souffla :
"Merci."
A bout de forces, il se releva totu de même... avant de piquer du nez et de sombrer dans un état entre l'inconscience et le coma. Ärladëmia explora un peu les lieux et trouva ce qu'elle cherchait : des feuilles aux vertus curatives, qu'elle posa sur les plaies de Torga. Puis elle se coucha près de lui et dormit du mieux qu'elle pût.

Lorsque Ärladëmia se réveilla, elle avait l'impression d'être en plein jours, les parois de la grotte miroitaient et l'eau était translucide, il y avait de petit coquillages au bord, posés sur du sable fin. Elle fit quelque pas avant de repenser a Torga et aux évènements de la veille. Elle regarda alentour mais n'aperçu personne, elle s'affola, elle avait perdu l'un de ses espoirs de survie dans ce monde damné. Malgré tout, le lieu était étrange et ne ressemblait en rien avec celui de la veille, il avait quelque chose... de magique. Elle s'aventura un peu plus loin, ramassa deux ou trois coquillages et les posa en tas a l'endroit qu'elle venait de quitter. Puis elle avança.
L'endroit était magnifique, donnait envie de se faire dorer par le miroitement. Un peu plus loin, elle rentra dans une large salle, cette salle possédait de jolie chutes qui retombaient dix mètres plus bas avec un bruit mélodieux. Ärladëmia se décontracta. Cet endroit lui faisait du bien. Elle fit le tour de la salle, puis s'assit sans faire attention sur une pierre translucide avec des rayons a l'intérieur.
Un grondement lugurbe se fit entendre puis la belle lumière disparu. Ärladëmia fut prise de panique, les chutes d'eau avec leur bruit si plaisant faisaient maintenant un vacarme assourdissant.Elle courut de toutes ses forces , remonta la salle, mais le grondement se fit plus proches ! Elle courut plus vite, encore plus vite, le long du couloir infinnissable qu'ils avaient emprunté depuis leur arrivée. Tout a coup elle buta contre quelque chose et s'écroula. Le grondement s'evanoui, mais la créature contre laquelle Ärladëmia avait cogné poussa un grognement. A nouveau prise de panique, elle hurla et la créature dit : "Pourquoi tu m'as réveillé Ärladëmia ? Je dormais si bien...".
Frappée de stupeur, elle reconnut le visage de Torga et s'écroula, l'adrénaline refluant dans ses veines.
Il est vraiment temps qu'elle trouve la sortie de ce lieux maudit, elle pensa vaguement a son arbre et sa famille, puis perdit connaissance alors que Torga se réveillait.

Torga se frappa la tête trois fois pour reprednre un peu ses esprits et se souvenir des évenements passés. Il regarda l'elfe évanouie à son côté. Il la secoua un peu, ignorant ses côtes cassées et son coccys fêlé. Il la tourna pour la mettre sur le dos, et entreprit de lui filer quelques baffes pas trop méchantes. Il n'était pas d'humeur à faire plaisir : dans un endroit inconnu, être réveillé par un bon coup de pied dans les os qu'il s'est brisé la veille... Trop peu pour lui ! Après quelques paires de baffes infructueuses, Torga stoppa sa main, jugeant inutile d'amocher sa seule aide. Il hésitait à lui faire le bouche à bouche, pratique ancestrale dans son pays, quand elle ouvrit les yeux.
"Où suis-je ? furent ses premières paroles.
- A côté de Torga, dans une forêt inconuue et noire dans un souterrain sombre, à côté d'une rivière dangereuse et caetera."
Elle se releva.
"Je suis restée inconsciente longtemps ?
- Ici, le temps ne compte plus.
- Excuse moi, j'avais oublié.
- C'est gentil de m'avoir fait des pansements. Je me sens déjà mieux et mes plaies sont propres et refermées."
Arladëmia ne répondit pas. Elle restait songeuse quant au moyen de sortir d'ici. Torga respecta son silence. Lui aussi trouvait urgent de sortir... son estomac gargouilla : de manger aussi !

Edit admin : n'oublie pas de changer de topic quand tu changes de lieu ^^ il suffit de faire du BBCode et d'insérer un lien contenant l'histoire précédante.
Si tu ne sais pas comment faire n'hésite pas a me demander, j'ai un tutorial plus que smple a prendre en main. ^^

Histoire de Torga et Arladëmia a suivre dans la foret souterraine : https://rpfantasy.forumsrpg.com/viewtopic.forum?p=757#757

https://rpfantasy.forumsrpg.com/viewtopic.forum?p=756#756
Torga et Arladëmia.

Tout comme la rivière, la forêt n'était pas acceuillante, elle était grise, jusqu'au feuilles. L'espace entre les arbres était de quelques mètre, ce qui était nettement suffisant pour se déplacer et pour évoluer dans cet univers qui pouvait réserver d'autres surprises que de simple branchages rétifs, de plus, les branchages leurs coupaient la vue du "ciel".
Arladëmia se leva et déclara qu'ils devaient poursuivrent leur chemin. Torga acquiesca et se leva en controlant sa douleur. voyant cela, Arladëmia se dit qu'il ne tiendrait pas un kilomètre et décida de lui faire un plâtre. elle avait tout ce qu'il fallait dans cette forêt pour. Torga l'interpella :
"- Mais ou vas tu ?
- je vais chercher de la résine pour faire un plâtre pour que l'on puisse évoluer sans que tu tombes toute les deux secondes."
Torga se savait résistant mais savait qu'il n'avait aucune chance dans cet univers hostile il laissa donc l'elfe partir avec toutefois un point au coeur, il commençait a s'y attacher a cette elfette...
Il décida de créer un piège pour manger et l'annonça a Arladëmia avant que celle ci ne parte.
Une fois seule, Arladëmia se sentit vulnérable, mais a la fois plus discrète.
Elle évolua tranquillement lorsqu'elle tomba nez a nez avec un sanglier qui chargeait, les yeux rouge sang. Comme d'habitude, elle hurla.

Le noir s'estompait peu à peu et Lerïn ouvrit les yeux... Se relevant douloureusement, il se trouvait alors dans une étrange forêt qui semblait avoir poussée à l'interieur même d'une caverne, à l'abris de toute lumière. Le silence était pesant et l'obscuritée des lieux rendait encore plus sinistre l'endroit desert...
-"Bordel mais qu'est'c'que j'fou là moi ? J'ai l'impression d'avoir été piétiné par un troll berserker... Qu'est-c'qui s'est passé ? Je rentrai tranquillement, ma bourse pleine d'Or à la main et... MA BOURSE !!! Elle a disparue ! Surement celui qui m'a ammené ici en est responsable... Y va m'le payer !!!"
Mais alors qu'un élan de vengeance annimait Lerïn il se rendit compte bien vite qu'il était plus amoché qu'il ne pensait...
Tout à coup il crus entendre au loin des sons résonant à travers la jungle souterraine, comme des voix...
-"J'f'rai p'tete mieux d'pa rester ici..."
Il remarqua alors un chemin pierreux qui longait les paroies qui bordaient la fôret, et il semblait y apercevoir le début d'un escalier... Il l'emprunta...

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Une côte de maille usée, quelques protections de cuir, un casque en fer, une torche et une petite hache...

Le cri de guerre de Torga retentit dans la caverne.
"WAZABEUUUUH !"
L'instant d'après, il était sur le sanglier, il lame enfoncée dans le ventre de ce dernier et l'autre frappant à coups rageurs. La bête fut déséquilibrée par le choc de la charge extraordinaire de l'humain. Lorsqu'il combattait, il semblait oublier ses souffrances : il se battait comme si il était en pleine forme. Les yeux rouges injectés de sang, il semblait pris de folie destructrice. En outre d'attaquer avec ses armes, il donnait des coups de pieds qui le faisait saigner, comme il était pieds nus. Le combat passa vite : en moins de vingt secondes, l'homme était écroulé sur la bête morte, tous les deux aussi sanglants l'un que l'autre. Torga sombra de nouveau dans l'inconscience.

Arladëmia était tétannisée, ce qui venait de ce passer n'était pas réel, elle ne comprit pas comment Torga, a cent mètres de distance avait pu sprinter et arriver sur la bête avant la fin de la charge de celle ci. De plus, le fait de voir tout ce sang la mit mal a l'aise. Elle s'attela donc a la tâche la plus urgente, soigner Torga.
Lorsqu'elle comprit que celui ci était gravement blessé, très gravement blessé, elle se dépêcha encore plus rapidement. En plus des os brisés, Torga avait deux perforation a la poitrine, la signature des deux cornes de la bête. Il avait le foie perforé et l'autre corne, fort heureusement, l'avait effleuré, lui entammant tout de même la chair du flanc. "C'est un vrai calvaire" pensa t-elle. Puis elle se souvint qu'elle avait d'importantes connaissances dans les plantes. Elle regarda autour d'elle et compris que la végétation était tout autre que ce qu'elle connaissait déjà... elle ne reconnaissait aucune plante. Arladëmia fit deux trois pas hésitants, affaiblie après sa chute d'adrénaline. Tout a coup, elle apreçut une plante qu'elle pensait connaitre mais qui possédait en fait des points blanc sur le dessus. "C'est une fleur de soins normalement... il faut que j'essaie de le sauver, même avec cette plante louche, je n'ai pas d'autre choix".
Elle cueilla donc deux ou trois plants qui poussaient ici et alla les faire tremper dasn une flaque d'eau non loin.une fois humides, elle les appliqua avec soin sur le corp blème de Torga, puis espéra.
Durant ce temps, qui lui parut durer une éternitée, elle entendit un bruit. Un bruit qui se voulait discret, mais qui était en fait exagéré, venait de son dos, elle fit volte face et aperçut une ombre s'enfuire. Ne voulant pas être surprise lorsqu'elle dormirait, elle vainquit sa peur et s'aventura pour voir ce que c'était.
La créature revint, et cette fois, Arladëmia l'attendait, cachée dans un arbre.

Elle aperçut l'ombre approcher, très vulgairement et soi-disant discrètement, puis aperçut enfin ses contours, c'est un nain ! Elle resta tout de même sur ses garde sachant que les nains renégats existaient. Puis voyant qu'il avait l'air perdu elle descendit et se posta derrière le nain, l'interpella doucement :
"- Maître nain ?
Il sursauta et se retournat,
- Qu'est ce que... répondit-il surprit
- Tu es perdu n'est ce pas ?
Toujours sous le choc, il hésita avant de répondre,
- Oui j'était sur le chemin du retour lorsque je me suis retrouver ici... vous avez de l'or ? J'ai perdu ma bourse...
-Euh... L'elfe hésitait, était-il opportun de joindre ce nain au petit groupe que formait Torga et Arladëmia ? Elle n'en était pas sure. Mais l'invita tout de même...
En arrivant au camps, "plus" qu'improvisé, ils firent cuire le sanglier et l'entamèrent. Ils montèrent un camp de fortune fait de brnchages et de feuilles. Le nain n'était pas de mauvaise compagnie mais l'agaçait un peu avec ses manière de "joyeu luron de bar". Malgré tout, il l'aida très bien.
Torga dormait encore, il entamait sa première journée de sommeil complète, sans ne rien vouloir avaler.
(vous avez commander un roman ? )

(Peut-être bien oui...) Torga sortit de sa torpeur, suant à grosses gouttes. Ses rêves avaient étés sombres. Il vit Arladëmia endormie, à côté d'un nain inconnu qui, lui aussi, semblait profondément endormi. Ses ronflement pouvaient attirer tout plein de bêtes, se dit Torga, mais que faire ? Il se palpa le corps et sentit sous ses doigts les bandages, le sang ou encore sa sueur. Ses souvenirs affluèrent, lui donnat mal à la tête : le sanglier, le combat, le pouvoir auquel il n'avait jamais cru... Mais une petite voix dans sa tête lui disait : "tu as réussi une fois, tu ne sais pas comment, mais... il n'y en aura pas de deuxième." Torga soupira. Il avait tâté le pouvoir du Wazabeuh. Le barbare avait faim et soif, mais il n'osait s'aventurer dans la forêt sans lumière, aussi s'approcha-t'il de l'elfe et passa sa main moite sur son front pour la réveiller. Le surprise la fit sursauter et, par instinct, elle repoussa le bras de Torga avec beaucoup de force.
"Ah... C'est toi ? Tu m'as fait peur ! Qu'y a t'il ?
-J'ai faim... J'ai soif... J'ai peur dans ce noir."
Arladëmia eut un sourire amusé.
"Je vais t'accompagner à la rivière. Si tu veux il reste un morceau de sanglier quelque part."
Torga ramassa le morceau et le mangea en suivant l'archère jusqu'à à côté de la rivière. Tour à tour, ils montèrent la garde pendant que l'autre buvait.
"Qui est ce nain ? demanda abruptement Torga.
-Je l'ai trouvé, perdu comme nous, dans la forêt." Elle lui fit un clin d'oeil. " Il a l'air un peu... bizarre le première chose qu'il m'a demandée c'était ma bourse.
-Et tu lui as donné ?
-Non, bien sûr !"
Torga soupira, hésita et dit simplement :
"Je suis content de t'avoir trouvé."
Il alla se recoucher sans plus parler du nain, laissant Arladëmia pantoise.

Lerïn suivait le petit groupe tou en sesuyant le visage de sa main pour se debarbouiller primairement : la soirée avait été forte en émotion, aussi était-il encore un peu étourdit depuis son premier reveil...
-*Euuhaaawhhh... Eh ben, chuis pas trop confiant envers cet "elfe" mais je suis trop faible et étourdit pour m'aventurer seul dans ces lieux inconnus... Et puis il pourrait m'aider à retrouver ma bourse, et une fois fait ce je me tire d'ici, qu'ils aillent pourrir avec les mites et les chauves-souris !* "Yek, yek, yek... "
Tout en suivant les deux compagnons vers ce qui résonait au loin comme une rivère, il appercus une crevasse dans la paroie se situant sur sa droite...
Elle semblait juste assez grande pour lui aussi le petit groupe l'avait déjà légèrement distancé et ne l'avais pas remarqué...
Lerïn emprunta donc cette petite caverne...

[non-RP : Je finis mon Rp plus tard ]

(tiens tu te casses ? lol. ps : inutile de mettre Lerïn a chaque début de message...)
La disparition de Lerïn ne surprit pas Arladëmia plus que sa, mais l'ennuya tout de même... Plus on était nombreux dans cette forêt et plus on avait de chance de survivre. Elle ne chercha toute fois pas a le retrouver.
Le petit groupe avait quitté le camp tôt le matin pour marcher le plus possible et arriver aux alentours de midi, il fit une pose, sans Lerïn.
Torga épilogua :
"- Tout d'abord, nous fument amenés je ne sais par quel moyen dans cette caverne, avec une rivière, nous devions nous méfier de toutes choses, puis on est sortis dans cette forêt dans laquelle l'on aperçoit même pas le ciel... et ou nous devons "également" nous méfier de tout, on rencontre un nain qui nous quitte sans un mot et... et merde !
L'elfe réfléchit avant de répondre,
- Nous ne sommes pas perdus, j'ai un sens du terrain très dévellopé et je peut te dire que demain nous arriverons a la lisière. On a de la chance de s'être diriger dans la bonne direction depuis le début. Sinon nous serions mort dedans.
Un sourire triste se dessina sur son visage, elle continua,
- Comment vas tu ?
Torga grimaça,
- C'est bof bof, j'ai surement le poignet félé et mes côtes mettront une a deux semeines a se remettre, durant tout ce temps nous devrons minimiser le risque de rencontres. Ce ne va pas être facile dans cette forêt.
-Je t'ai dit de ne pas t'inquieté ! on seras dehors dès demain."
Il reprirent donc leur marche et arriver au soir, les yeux fatiqués, ils créèrent une tente de fortune et s'installère. L'elfe s'endormit alors que Torga prenait la première veille.

Lerïn marchait depuis quelques heures dans la pénombre et le tunnel de pière sombre semblait être sans fin...
-"Eh beh, heureusement que j'ai ma torche, sans ça j'y vois qu'dalle... Hein ? Mais qu'est-ce que...?"
Le tunnel s'était brusquement élargit et débouchait maintenant sur une caverne, pas très grande ni haute mais plutôt spacieuse. Alors qu'il scrutait difficilement l'obscurité son regard fut attiré par "quelque chose" qui semblait réfléchir la lumière de sa torche... Il s'agissait d'un bouclier, et à ses côté gisait là le cadavre d'un guerrier qui n'était plus désormait qu'un squellette en armure rouillée...
-"Ouéééé ! J'vais surement trouver des armes sur lui, et p'tête même de l'Or... T'as pas eu d'chance mon vieux, c'est pour ma poche, héhéhé..."
En fouillant le cadavre et les alentours il trouva une hache usée mais de bonne qualité et décorée de runes, un morceau d'armure dont il se servit comme plastron et une bourse en cuir vide !
-"Ha fait chier ! J'suis pas l'seul à m'être fait dévalisé..."
Soudain lerïn sentit une étrange odeur emplir la pièce. Une odeur fauve qui se fesait de plus en plus intense... D'un bon Lerîn se retourna tout en dégueinant sa hache et à sa grande surprise il fit façe un Lycelot monstrueux...
-"Ouééé d'la baston, si c'est toi qui m'a devalisé tu va l'regretter !!!"
La créature se jette alors sur Lerïn, le fesant chuter de la petite taille, il se relève rapidement lorsque le Lycelot asseine un coup violent dans le dos de Lerïn... Alors à terre la créature se positionne au dessus de lui, se préparant au coup fatal. Lerïn est sonné par le coup qu'il a reçus mais il lui reste assez de forces pour soulever sa hache et alors que le monstre ce prépare à bondir il lui plante la hache en pleine plaque pectorale... Le Lycelot gît dans son sang...
-"Euhwaarh... Kof kof ! Eh ben m'a fait mal... Mais ça va à peu près... Bon j'me tire d'ici moi, j'vais éssayer de retrouver les autres...
Lerïn, sommairement blessé au dos emprunte le passage de pierre jusqu'a la sortie...

[non-RP : Mon nom en gras est une petit truk de mes précédentes JDR pour siglaner que c'est mon perso qui parle (mon pseudo du forum ne correspondant pas)...].
Edit admin : oui mais la sa fait chier lol
ps :c'est quoi un lycelot ?

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Une côte de maille usée, un plastron custom, une hache runique usée, quelques protections de cuir, un casque en fer, une torche et une petite hache...

(Juste pour dire en tant que naion tu as une vision dans le noir sur 18 mètres, en noir et blanc, alors ton histoire de torches j'y crois pas trop ^^. J'ai oublié de le dire pour Arladëmia aussi : vision nocturne : tu vois comme en plein jour à partir du moment ou il y a une source de lumière.)
Rien ne sa passait. Pas un bruit, pas un mouvement mis à part la respiration irrégulière de Torga et celle, régulière de Arladëmia. C'était çela qui faisait peur à Torga : dans ce silence absolu, seul se faisait sentir... le temps. A ce qu'il paraissait, il s'agissait là d'une peur commune à toutes les créations du Wazabeuh, c'est à dire du monde auquel il appartenait.
Il se releva et s'étira, laissant la douleur s'anésthèsier elle-même après un petit temps. Alors qu'il faisait cela, une ombre apparut dans le coin de son oeil. Il sortit l'une de ses épées et se rua sur le monstre. Il frappa rageusement, mais sa cible parait ses coups avec une science du combat accomplie. Il ne ripostai pas et disait des choses que Torga ne comprit pas tout de suite. Fatigué, Torga s'arrêta. Il pensait avoir au fait tapé sur un rocher sur lequel un jeu de lumière lui avait donné vie. Une voix rocailleuse se fit entendre :
"Ca va pas de me taper dessus comme tu fais ? Tu fais la même chose chez ta copine ?"
Torga tendit ses bras en avant pour voir s'il y avait quelqu'un, mais ses mains ne touchèrent rien. La voix reprit :
"Euh... Ca va bien ? T'es sûr que ça va bien ?
-Oui, oui, fit Torga. Je vais aller me coucher la fatigue me donne des mirages auditifs...
-Mais non, je suis là !
-Mais oui, c'est ça..."
Il s'approcha d'Arladëmia et la secoua doucement, sans faire attention au nain qui vociférait derrière lui. L'elfe se réveilla avec un baillement et en cligannt des yeux.
"C'est mon tour ?
-Je dois être fatigué j'entends des voix.
-Eh oh ! Je suis lààà, c'est moi, Lerïn !"
Arladëmia tourna la tête et éclata de rire.
"Tu es de fort bonne humeur, mon amie, fit Torga d'un ton sec et déconfit.
-Vous êtes trop drôles, vous, les humains ! Tu vois pas que c'est le nain !
-Que... quoi ? Mais je ne vois rien, moi !
-Aaah, enfin une qui m'a reconnu !"
Arladëmia continua à rire un bon moment sous les reproches que lui faisait Torga quant au fait qu'elle allait attirer plein de grosses bêtes. Elle s'arrêta enfin, les larmes aux yeux.
"Bon... Allez vous coucher, vous deux, fit elle. Le nain, on reparlera de ta fuite...
-Oui, reprit Torga, on en reparlera."

La nuit était déjà bien avancée et l'elfe avait décidé de faire un petit tour de patrouille avant de repartir au matin. Elle avança donc prudemment et se décida, sur un coup de tête, tout simplement d'apercevoir le ciel étoilé. Elle grimpa et arriva a la cîmes de l'arbre cinq minutes plus tard. De la elle leva sa tête et ne comprit pas tout de suite pourquoi elle ne voyait pas le ciel, elle se dit tout d'abord qu'un nuage venait de passer mais... non ça ne collait pas. Puis, en voyant différentes petites failles dans la paroi, elle comprit que c'était de la roche qui s'élevait a 500 mètres au dessus des arbres. Elle s'affola en pensant qu'il n'y avait peut être pas de sortie. Une minute plus tard, après avoir repris ses esprits, elle observa l'horizon pour voir si l'aurée de la forêt n'était pas loin.Elle l'aperçu enfin, a a peine deux kilomètres !
Elle redescendit, se disant que la journée allait bientôt débutée, son horloge interne fonctionnait a peu près bien, finit son tour de patrouille et n'aperçut rien de louche. Elle alla donc patienter en regardant Torga dormir. Elle eut un sentiment bizarre en le regardant, mais sa reprit aussitôt : ce n'était pas d'un humain qu'elle avait besoin mais d'un elfe. L'humain mourrait bien assez tôt.

Le matin venu, Lerïn se réveilla le premier en ronchonnant, commença a se plaindre mais Arladëmia l'interrompit d'un ton sec :
"Chhhut ! Petit un il y a Torga qui dort et petit deux il faut que l'on discute un peu tout les deux... suis moi."
Lerïn suivit sans un mot, déstabilisé par cette attaque brutale de si bon matin.
Il arrivèrent dans une toute petite clairière a 50 mètres du camp, Arladëmia commença :
"- Pourquoi es tu parti sans prévenir ? Ou es tu allé ? Qu'a tu fait ? Ou as tu trouver ces deux objets ?
Il la coupa,
- Pour commencer j'ai le droit d'aller et venir comme bon me semble, ensuite ces deux objets sont a MOI et rien qu'a MOI ! Et enfin, je me suis juste ballader, il n'y avait pas assez d'action avec vous...
Cette dernière remarque, dit sur le ton de l'ironie, irrita au plus haut point Arladëmia.
- Très bien, je pense que le fait que tu nous ai retrouver est dû plus a la chance qu'autre choses, les nains n'étant pas expert en pistage dans la forêt, donc rien ne nous oblige a t'attendre lorsque tu t'endormira, "nous avons le droit d'aller ou bon nous semble".
Le ton était plus que sarcastique, néanmoin, elle continua,
- Ensuite, j'arais voulu te dire que je n'avais rien a faire de tes armes, je suis elfe ! Je n'utilise pas ces armes... -désolé Torga- de barbare !!! Et enfin, si tu me prouve que tu es honnête et de bonne ou au moins, de compagnie utile, je t'accepterais dans notre groupe. Pour l'instant, je t'en exclu.
Prend ce chemin, ne change pas de direction, tu arriveras a l'aurée de la forêt. Si tu es honnête, vas y et attend nous la bas, sinon pars. On arrive dans une heure."
Et elle partit sans attendre de réponse.
Lorsqu'elle arriva au "camp", Torga était debout, elle lui fit les yeux doux -elle se maudit- puis lui demanda comment il allait. Elle lui changea ses pensements¨, son plâtre et une demi heure après, il se mirent en route.
Juste avant de déboucher de la forêt, elle demanda a Torga d'attendre et alla rammasser du bois. Torga lui demanda ce qu'elle faisait et elle lui répondit simplement qu'elle avait besoin de son épée. Surpris, Torga lui donna tout de même. Et pendant un quart d'heure, l'elfe effila les morceaux de bois de façon experte, même avec une si grosse épée et enfin rendit son arme a Torga. Il était sidéré, elle avait trente flèches de bonne facture dans chaque mains. Elle ignora son air étonné et déclara qu'il lui fallait un carquois. Elle alla donc chercher un morceau d'écorce de branche, qu'elle enleva sans le cassé, le boucha par un très fin morceau de la branche ou elle avait prélevée l'écorce, noua le tout avec une petite lianne qui trainait et mis ses flèches dedans. Pour finir, elle pris une grande lianne, s'assura de sa soliditée et passa le carquoi autour de son épaule, elle était prête. Torga ne s'étonna même pas, et avança d'un pas encore difficile vers l'aurée. Lorsqu'ils débouchèrent, ils n'aperçurent personne, ils décidèrent donc de marcher un peu devant la forêt pour retrouver le nain, au cas ou il ne serait pas parti.

(Hum.. qu'entends tu par "bousiller le rp des autres" ?)
Ne trouvant pas le nain à l'endroit prévu, Arladëmia haussa les épaules et dit simplement :
"Je m'y attendais... Ces nains, pas un pour rattraper l'autre !."
Torga resta coi, ignorant la conversation qu'il y avait eu la nuit passée entre l'elfe et le nain.
"On peut juste continuer ensemble, tu sais, il nous gênait sans doute plus qu'il nous aidait...
-Mais s'il faut, avec sa connaissance des montagnes, il aurait pu nous guider vers la sortie !
-Et les autres monstres qui nous auraient poursuivis grâce à son odeur, tu y as pensé ?"
Ils éclatèrent de rire tous les deux. Ce n'était sans doute pas un vrai rire, mais plutôt un rire nerveux, lancé pour détendre l'atmosphère et surtout briser le silence. Torga était heureux que le nain ne fut pas là, qu'ils furent juste Arladëmia et lui. Ils repartirent joyeusement au milieu des arbres, soulagés d'une tension inexprimable. Ils marchèrent ce qui leur sembla être quelques heures, puis, alors que la fin se fit ressentir, Torga et Arladëmia chassèrent. La forêt était pauvre en gibier, ils ne trouvèrent que un terrier de hérissons qu'ils eurent vite fait de capturer. L'elfe trouva par chance quelques herbes comestibles... que Torga refusa de manger.
"Je ne mange que de la viande, rouge si possible... désolé."
Arladëmia trouva ces paroles grossières vis à vis d'elle, elfe, mais n'en dit rien. Ils mangèrent tout ce qu'ils avaient trouvé, puis, alors que l'humain s'appretait à repartir, Arladëmia suggéra :
"Et si nous construisions une tente ?
-Une quoi ?
-Une tente, pour dormir à l'abri.
-Ah... Et ça marche comment ?"
Arladëmia soupira, mi-fraise, mi-raisin. Torga n'avait jamais vu de tente : il dormait d'habitude à la belle étoile, mais l'idée d'être protégé ne lui déplaisait pas.
"Et comment ça se construit ?
-Nous sommes dans une forêt, des branches feront structure, et les feuilles feront office de toile. Va couper deux branches de... hum... trois mètres de long, disons. Je m'occupe de récupérer des feuilles."
A la fin de la "journée", ils avaient créé une tente portable, pas forcément confortable, il est vrai, ni très grande (ils pouvaient à peine se coucher à deux dans la tente), de forme de demi-sphère, mais plutôt solide. L'elfe avait tissé les feuilles entre elles de manière à obtenir une structure souple et solide. Il y avait cinq couches de feuilles, pour assurer la protection. Torga avait pris deux belles branches de la longueur demandée, et les avait tordues en arc de cercle. La tente pouvait être replié pour obtenir une surface bien plane et facilement transportable. Ils installèrent donc la tente entre quatre arbres et s'installèrent. Ils étaient assez serrés mais, Torga ne le dit pas, cela ne l'embêtait pas beaucoup...

(ne cherches pas... je me suis un peu engueuler avec lui et il ne reviendra pas normalement, mais ce n'est pas grave, les autres reviendront a la fin de la semaine normalement 2 joueurs en plus .)
Il est vrai que la petite plaine séparant la petite ville au loin, de la forêt, était peu acceuillante -du fait qu'elle était a découvert- donc les deux amis retournèrent dans la forêt pour trouver un endroit plus acceuillant, plus vallonné
Le soir venu, Arladëmia, s'est couchée dans l'espace restreint de la tente, très restreint, leurs deux corps se touchaient et dans son sommeil, Torga l'enlaça de ses mains protectrices, Arladëmia, sans l'énoncer était heureuse. Elle se dit que cet aventure serait tout au plus une histoire passagère puisqu'ils allaient très certainement mourirent dans cette grotte, cela lui enleva tout remord pour ce qu'elle faisait.
Au petit matin, 2 heures avant l'aube Arladëmia se leva pour trouver une petite cascade pour se faire propre, elle la trouva a deux cent mètres sur la gauche du camp. Elle déposa son arc, se déshabilla et entra dans l'eau fraiche. L'eau n'étit pas très profonde et elle décida de s'alonger pour se laisser porter par cette eau sombre. Lorsqu'elle fut sous l'eau, elle ouvrit les yeux, comme a son habitude et se retrouva a une dizaine de mètre d'un serpent de grande taille. Celui ci se dirigeait vers elle tout doucement, comme pour ne pas effrayer sa proie. Elle s'affola, sortit de l'eau, commença a se rabiller puis y renonça, le serpent sortant a toute vitesse, il était vraiment gros. Elle pris tout de même son arc et s'enfuit pour avoir une bonne position de tir. Après avoir distancer le serpent de quelques dizaine de mètre, elle banda son arc, mais... se rendit compte qu'elle avait oublier ses flèches... C'était bien la peine d'en construire, si c'était pour les oublier dans les moments cruciaux !
Elle continua donc a courir jusqu'a la tente et trouva Torga debout, avec un air ébahi sur les lèvres, tout a coup, elle se souvint qu'elle était nue, rougit puis s'écroula, son protecteur était là, l'adrénalïne s'en allait et la fatique monta. Elle dormait, tout simplement.

(Houlà !)
Elle se réveilla avec un fumet délicieux de serpent cuit dans les narines. Toujours nue, Torga l'avait tout de même portée jusque dans la tente, où il l'avait déposée avaec milles délicatesses sur le sol. Elle s'habilla avant de sortir et rejoignit Torga près du feu.
"Merci pour le repas, lui dit celui-ci d'une voix joyeuse. On a là pour près de trois jours de rations !
-Je ne l'ai pas fait exprès, tu sais..."
Elle parlait autant pour le fait d'avoir été nue que pour le fait d'avoir ramené le serpent. Torga ne dit rien de plus et se concentra sur la cuisson de la viande. Mais il pensait également à la nuit passée. Il sortit la viande du feu et en donna un morceau à Arladëmia. Ce faisant il approcha ses lèvres de celles d'Arladëmia et, sans préavis, l'embrassa. Elle se laissa faire. Lorsqu'il se retira de l'étreinte, il lui tendit la nourriture et dit simplement :
"Tu es vraiment très belle, Arladëmia. Je suis content d'être là, avec toi. Et je pense qu'on va s'en sortir, ne t'inquiète pas !"
L'elfe rougit jusqu'aux oreilles et ne répondit qu'en mordant son repas. Torga s'assit à côté d'elle, lui baisa la joue avec un petit rire enfantin, et mangea également, sa main libre dans celle de Arladëmia.

(c'est tout mimi ^^ lol)
Après trois jours ou ils longèrent la lisière de la forêt, pensa a ressortir pour inspecter la fameuse plaine et voir si elle était un peu plus vallonée. Ils passèrent une journée a retrouver la lisière, et quand ce fut le cas, ils découvrirent un paysage vallonné et la grande plaine, sembla être en fait un grand terrain vague qui rejoignait... des ruines semblait-il... a moins que ce ne soit une ville. De cette ville émergeait deux points culminant, l'un semblait taillé en flèche et l'autre était écrasé sur lui même et ressemblait a l'antre d'un demon.
Elle alla consulter Torga, qui voyait aussi bien qu'elle a présent, en couleur tout du moins et lui demanda si c'était une bonne idée d'aller dans cette ville. Torga lui répondit que non mais qu'ils n'avaient pas d'autre choix, ils se dirigèrent donc dans cette direction, au travers des plaines vallonnées.
Deux minutes plus tard, a mi-chemin entre la forêt et la ville, ils entendirent du bruit, probablement des gens perdus comme eux pensa tout d'abord Arladëmia, mais en faisant attention a leur façon de parler, elle s'aperçut que c'était des orcs et au moins une douzaine selon son ouïe fine.
Elle s'approcha de Torga et lui chuchota a l'oreille :
" - Il y a une compagnie d'orc en bas de notre colline, que fait-on ? on rembrousse chemin ?
- Non, il faut les contourner ou..." Il s'arrêta et observa un petit promontoire rocheux, "Montons la haut" annonça-t-il.
Ils grimpèrent en haut du promontoire et s'allongèrent, camouflés. Ils apperçurent l'orc de tête et Arladëmia fut pris d'une haine quasi animale envers ces être. Elle pris son arc, le tendit et décocha une flèche si rapidemment que Torga ne put l'en empêcher. L'orc de tête tomba. Le temps que les autres sachent d'ou venait les tirs, trois autres orcs s'écroulèrent, morts.
Arladëmia savait ou tirer, les armures orcs avaient leurs fablesses au niveau du cou et des hanches. l'elfe visa uniquement dans le cou et atteignit sa cible a chaque fois. La compagnie grimpa le promontoire une fois amputée de six membres supplémentaires, il n'en restait que quatre. Ils dégainèrent, Arladëmia s'éloigna, priant pour Torga et décocha une flèche supplémentaire, ils n'étaient plus que trois, Torga les chargea, ben décidé a décimé ces trois emmerdeurs. Il dégaina et poursuivi son geste jusqu'a la gorge du premier, qui sécroula, décapité. Les deux autres se mirent en position autour de Torga, tentant de l'encerclé, mais oublièrent l'elfe,qui en abbatit un supplémentaire. Le dernier orc resta en position, de façon a ce que l'elfe ne l'ai pas dans sa ligne de mire et Torga ne fit rien pour l'en empêcher. Il lui sauta tout simplement dessus, a une vitesse fulgurante et lui fit un trou dans l'armure au niveau du coeur.
L'escouadeétait décimée.

Suite dans les quartiers d'habitation :
https://rpfantasy.forumsrpg.com/viewtopic.forum?p=786#786

https://rpfantasy.forumsrpg.com/viewtopic.forum?p=785#785
Torga et Arladëmia :

Les orcs ont été défaits et la route vers la ville continue. A cinquante mètre, il comprirnet qu'il y avait des murrailles et des gardes en haut de celles ci. Des torches illuminaient l'obscuritée, ce qui devait leur brouiller la vue plus qu'autre chose dans ce noir d'encre.
Les deux compagnons aperçurent deux sentinelles ensemble devant une porte, Arladëmia les élimina sans problème et ils attendirent cinq bonnes minutes avant de s'élancer,pour voir si il y avait du secours qui arrivait de la ville, cinq minutes plus tard, donc, ils s'élancèrent, courbés en deux pour éviter de se faire repérer, ce qui fut un franc succès.
En entrant dans la ville, Arladëmia se dit que ce devait être une vieille ville naine abandonnée aux orcs et aux gobelins. Sa pensée se confirma lorsqu'ils pénétrèrent dans une petite maison ou des inscriptions runiques naines étaient inscrite, elle ne les déchifra pas toutefois car elle ne comprenait pas ce langage. Elle savait que dans ce genre d'endroit exigue elle était très vulnérable aux ennemis, c'est pourquoi elle compta sur Torga pour la protéger durant la nuit. Ne dormant que peu, elle lui dit de s'installer comme il le pouvait, elle ferma la porte qui était ouverte a leur arrivée et tourna la clée, si ils étaient attaqués ils auraient un moyen d'échappatoire, la porte arrière.
Arladëmia veilla donc pendant deux heures pour être sur qu'il ne leur arriverait rien et alla s'installer sur la pierre froide aux côtés de Torga.

Celui-ci la prit immédiatement dans ses bras pour la serrer contre lui. Arladëmia sourit.
"Ce n'est ni l'endroit ni le moment, lui chuchota t'elle avec un petit rire.
-L'amour ne fait attention ni à l'endroit, ni au moment.", répondit simplement Torga. Ils étaient restès dans cette position agréable durant plusieurs heures quand des pas de bottes cloutées se firent entendre et que des coups à la porte résonnèrent dans la masure. Torga et son amie furent levés immédiatement, alors que les coups se faisaient de plus en plus insistants, accompagnés de grognements gutturaux. Le couple partit par la porte arrière alors qu'un régiment apparaissait au bout de le rue sur laquelle elle donnait. Des grognements acharnés retentiren, et l'elfe et l'humain prirent leurs jambes à leur cou dans l'autre direction. Les orques, alourdis par leurs armures de fort acier, se faisaient vite distancés par Torga et Arladëmia en tenue légère. Ils arrivèrent en trombe dans une ruelle. Aussitôt Torga prit son amie par les épaules et la plaqua dans un recoin où ils seraient invisibles aux yeux d'orques un peu trop rapides. Dans la continuité de son mouvement, il se posa sur l'elfe et l'embrassa une nouvelle fois, en lui soufflant à l'oreille que c'était très agréable. Il l'enlaça en continuant son baiser alors que les orques couraient après des cibles dont ils ne connaissaient plus la position.

Arladëmia était troublée, conservant certains remords, mais n'en dit rien et profita du moment présent alors que la mort, représentée par ce régiment d'orc -et quelques gobelins qui furent aperçuts par l'elfe- leur courait aux trousses.
Ils restèrent ainsi une petite partie de la nuit, sérrés l'un contre l'autre en attendant un changement quelquonque dans le silence envirronnant, ils virent quelques patrouilles passer juste devant eux, mais l'ombre du batiment -car les bâtiments avaient une ombre aussi bizarre que cela paraisse- les cachaits aux regards indiscrets. Trouvant que cet endroit les cachaits bien, ils décidèrent de jeter un coup d'oeil plus loin en s'enfonçant dans l'ombre. Arrivés au bout du tout petit chemin étroit, ils aperçurent un trou de deux mètres de profondeur et l'examinère. Ce trou était en faite une fosse ou un squelette d'aventurier mort reposait. Cette fosse, ou plutôt cette tombe, n'avait pas été rebouchée, ni Torga, ni Arladëmia ne le comprit. Ils restèrent une dizaines de secondes, ne sachant que faire et au moment ou Torga allait prendrer la parole, indiquant la marche a suivre, Arladëmia dit : "Euhhh... Torga, je crois... je crois qu'il bouge."
Pour seul réponse, Torga sortit son épée et assena un puissant coup sur le casque déjà fendu du squelette. Celui ci sécroula en silence. Torga déclara donc : " Au moins, la, il ne se relèvera plus." Ils éxaminèrent le cadavre et Torga découvrit une épée qui lui semblait plus effilée et plus légère. Ils se demanda si ce matériau n'était pas elfique, demanda a Arladëmia qui lui répondit que c'était tout a fait sa. Tout content de sa trouvaille, ils rangea l'épée au côté de l'autre ce demandant laquelle il pourrait garder. De soncôté, Arladëmia trouva une petite fiole, qu'elle examina comme étant un poison très puissant après l'avoir sentit. Elle le rangea dans sa poche, se demandant a quoi cela, pourrait servir plus tard. Elle trouva également un bonnet elfique, se le passa et alla voir Torga qui était remonté et finissait d'installer un camp de fortune. Il la regarda d'un air bizarre puis éclata de rire, silencieusement toutefois. Arladëmia lui adressa un regard amusé puis lui balança le bonnet. Il le ratrappa etle laissa tombé a ses pied, tout en continuant de fixé Arladëmia, il l'enlaça, ils s'allongèrent et passèrent une délicieuse nuit d'amour, sans rencontrer aucun problème de n'importe quel type... Le lendemain matin, aux alentours de 11h, ils décidèrent de marcher un peu en direction du gros bâtiment centrale avec la flèche au dessus -probablement le palais d'un roi déchu-, en pensant que ce bâtiment leur apporterait des indices quand a leur "téléportation" et peut être un moyen de sortir.
Ils se mirent en route, estimant leurs voyage a deux jours sans comptés sur les patrouilles.