Une attaque dans l'ombre

Harl était à ses côtés, son fusil-sniper sur l'épaule. A ce moment, un homme arriva dans le couloir et vit les rebelles le menaçant. Harl visa et tira rapidement sur la jambe de l'homme. L'homme s'affala : la flèche somnifère avait fait son effet. Il dit :

-Ouais! Touché!
-Bien joué, dit un homme.

Glik s'avança, flaqué de ses hommes. Il examina l'endormi, et un bruit se fit entendre venant de la salle de droite.

*Et merde, pensa Harl.*

Le sergent Glik réagit aussitôt, se mettant en joue devant ses hommes pour éviter que l'un d'eux ne soit touché, il attendit que l'auteur du bruit se manifeste !!! De la sueur perla à son front lui coulant dans son oeil central, il le ferma mais resta concentré ... il murmura :

Glik : - " Harl, mets toi à côté de l'entrée et attends !!!"

- D'accord.

Sans un bruit, il se plaça à la droite de la porte, son couteau laser brandi, prêt à l'emploi. Il s'accroupit et attendit... Et un garde arriva. Harl sauta dessus et l'ampêcha d'émettre un souffle un lui donnant un coup dans le dos. Il tomba, évanoui.

Harl ria, il avait il avait assomé une femme. Gradée en plus. Son arme était une sorte de sulfateuse laser. Il l'examina quand Glik cria :

- ATTENTION!

Harl roula sur le côté. Une bête informe avait eu l'intention de lui sauter dessus. Le sergent tira, entre les deux yeux. Le sang gicla : La tête avait explosée. Harl remercia Glik et demanda :

- C'était quoi, ce truc?
- Une bête informe. je sais pas comment ils appellent ça mais ce qui est sûr, ce='est que c'est pas naturel...
- Ca tu peut le dire, rigola Harl.

Ovan, avait marché pendant plusieurs minutes quand il entendit des coups de feu venant de l'armurie. Il s'approcha discrétement, et entendit des hommes parler. Il se mit en face de la porte qui été fermé,, son fusil à la main.

-C'est moi, Ovan, ouvrez moi.

Le soldat entendit un bruit de rechargement, et attendit. La porte été toujours fermé, mais il ne voulait pas attendre seul, et visible de l'ennemi. Il frappa à la porte. Il attendit quelques secondes. Puis la porte s'ouvrit, une dizaine de soldats avaient leurs armes braqués sur Ovan.