Il était une fois ...

Il était une fois,
Un Royaume peu courant,
Où règnait un valet.
Un valet soupirant,
A l'écoute d'une petite voix
Lui disant d'être patient,
Qu'ils aurait bien sous son toit,
Le sourire le plus charmant.

Se présenta un jour au palais,
Une silhouette ne laissant pas indifférent,
Drappée de soie,
Son language était éloquant.
Elle venait échapper à la loi,
La loi des sentiments.
Il l'acceuilli avec joie,
Et la couvrit d'argent.

Passèrent semaines et mois,
Le noble ne se décidant,
Il restait langue de bois,
Meme au fil des ans.

Ne profitant plus des conseils de la voix,
Son être cher était désormais mourant,
Il conjura sa foi,
Pour lui accorder un autre printemps.
Mais rien ne la sauva.

C'est l'histoire de deux amants,
Qui périrent tristement,
Le valet et sa muse s'adorant,
Qui eurent peur du ressentiment.


Velvet, je tiens trop à toi,
Que pour commettre l'erreur,
De te laisser compter les heures,
Nous blessant mutuellement.

Velvet j'ai pour toi,
Les plus profonds sentiments.
Je veux que tu le voies,
Ainsi tout doute s'évadant.

Jamais je ne laisserai notre amitié,
Si betement s'achever.
Elle ne peut que perdurer,
Puissions nous ne jamais nous voiler.

Jo.

Un poème de mon meilleur ami, a mon égard ...
Enfin, il y a un an ^^

Tiens un aut' (et le dernier surtout)

Je n'ai jamais voulu te dire je t'aime,
Quand c'est pas vrai c'est pas la peine.
Laisse-moi un peu de temps,
Tu sauras un jour qui je suis vraiment,
Toute la place que tu prends.

En attendant,


Je te dédie,
Mon âme à Dieu,
Les larmes aux yeux.
Je te dédie,
Ma force et le feu,
D'un amour pour deux.
Je te dédie,
Les larmes aux yeux,
Ce que j'ai de mieux.


Je te guiderai dans le noir,
Mais je me perdrai si tu pars...
J'ai plus le coeur à faire semblant,
Alors prends la main que je te tends.
Je suis prêt maintenant...


Je sais ça m'a pris longtemps,
J'aurais dû le dire avant.
Souvent le meilleur me passait devant.
Toi mon ange mon étoile,
Tu m'as fait oublier le mal.
Comme un trait sur le passé,
Je vois ma vie recommencer.


Alors je te dédie,
Mon avenir, mon devenir,
Pendant qu'il est temps.
Je te dédie,
Mon passé, mon présent.
L'air que je respire,
Je te dédie,
Ma vie.


Comme un soldat de papier,
Au coeur chiffonné,
Tu m'as étreint et consolé.
Ma vie prend un nouveau tournant.
Je vais de l'avant,
Mais je ne te laisserai pas derrière pour autant.
Toi que j'aime,
Plus que moi-meme,
Sur cette vaste plaine...

Jo.

En y repesant, ça fait pleurer.