J'était de passage a Hobbitbourg, une jolie petite ville soit dit en passant. L'on m'avait appellé durant une soirée pour mes talents de compteur. Il est vrais, qu'a force d'écrire des aventures extraordinaires, je les narrais plutôt bien doit-je dire. Les hobbits étaient friants d'histoires, malgrès leurs habitudes pantouflardes.
A la dite soirée, un nombre impressionant de hobbits était venus pour entendre mes récits. J'en était terriblement flatté. M'installant sur un tonneau, je commença mon histoire : "Rapellez vous... Dans les terres chaotiques du Mordor, dans la tour sombre de Barad-Dûr..."
A l'entente de ce début, un frissonement glacial traversa l'assemblée, ce qui m'amusa au plus haut point. Je continua : "Un mage noire d'une puissance terrible...CRAAAC !"
Alors que je continua ma narration, la porte au fond de la salle s'ouvrit en grand bruit et 5 hommes armés jusqu'au dents vinrent semmant l'effroit dans la salle ! Tout les hobbits poussèrent des cris d'exclamation ! La venue d'hommes a Hobbitbourg était courante, mais jammais ils n'étaient venus jusqu'a troubler une représentation festive ! Les hommes se présentèrent comme venant des Landes du nord.
Les hommes :"Nous venons arreter et faire payer cet homme ! C'est un voleur qui se dit scribe ! Gardes, emparons nous de lui !"
En une fraction de seconde, je comprit qu'ils étaient venus pour l'arc que j'avait vollé dans le village voisin, en amon. Mon premier geste fut de lancer un grand coup de pied dans le tonneau, qui éclata au sol, déversant son précieux contenu. Puis je prit mes jambes a mon coup. Ne regardant pas dèrrière moi, je courrut comme si ma vie en dépendait... Après tout, quand je senti une flèche siffler a mes oreilles, je me dit que c'était peut-être le cas !
Au bout d'une demis heure de course, ou j'avait évité les obstacle de façons plus saugrenues les unes que les autres, je fit une pause pour remarquer que j'était maintenant a l'extèrieur de la ville, et que j'avait semmé mes poursuivants. J'était très loin du village, un peut éssouflé, je me dit que j'allait poser le camp ici. C'était une jolie rivière tranquile. Je décida de me poser sous un arbre proche. La nuit allais tombée, je prit mon écritoir, en sortit un parchemin et une plume. Et décida d'écrire. Non pas un roman sortit de mon immagination, mais la scène qui venait de m'arriver.
Tandis que j'écrivait, un cracquement sonore éveilla mes soupçons ! Je sortit mon arc, encocha un flèche et attendit...