Aràs

Il est vingt deux heures alors que je cours a travers la clairière. S'est notre premier jeu, je l'ai entre aperçus, un tout petit bout de nez crachant une vapeur blanche, une odeur de souffre emplissant l'air. Il s'est mis a s'enfuir, je criait donc :

-Reviens dragonnet, tu es a moi, je le sais, s'est mon destin ! Reviens !!

Mais il ne revenait pas, il courait et je le poursuivais, haut comme deux pomme, je courais entre les branches et les pellicules blanches qui m'entouraient... quelles étaient ces pellicules d'ailleur ? Elles sont très différentes des minuscules fées qui se déplacent en groupe de millier d'individus... Elles semblaient converger vers moi. Je courais, d'abord apeuré par le phénomène, lorsque j'aperçus mon dragon pour de bon. Il était posé sur une branche, il était magnifique. Je cherchais a nouveau a fuir ces péllicules de lumière blanche qui cherchaient a s'infiltrer en moi, lorsqu'il prononça ses premier mots :

- Ne bouge pas. Cavagon.

Je ne bougeais pas, de toute manière, il ne pouvait rien m'arriver sinon il viendrais me sauver. Il m'avait appelé Cavagon ! Je le regardais de plus près laissant pénétrer en moi cet étrange lumière. Je l'avais vu dans un livre, s'était un dragon de bois, un séquoïa. Un bon dragon... pensais-je intérieurement. Il me regardais aussi, comme s'il jugeait si je ferais un bon Cavagon ou pas. J'avis des picotements dans les mains, la ou les péllicules de lumières étaient rentrer. Je lui demandais alors :

-Qu'est ce que sont ces péllicules ?

Soudint, un souvenir me revint, mon père me l'avait expliquer lorsque je n'avais que sept ans. Il me l'avait dit...[/]

-Est-ce... de la magie ?

[i]Il hocha la tête. J'étais au comble du bonheur. Soudain, je sentis quelque chose de mouillé sur ma joue, je pleurais. Je laissais couler, de toute manière, j'étais heureux. S'était le principal. Je vis mon dragon s'envoler, il se posa a côté de moi et je le serrais dans mes bras en sanglotant. Lui aussi avait l'air ému. Je l'entendis alors a l'intérieur de ma tête :

-Il va falloir que tu découvres tes sorts maintenant... Apperemment, tu maîtrise celui de Pensée. Il t'en reste donc deux a découvrir. Mais nous avons le temps.

-Oui...

Ses écailles étaient rugeuse mais ne m'irritaient pas. Etonnant. Mais agréable. Je pouvait le caressé sans éprouvé de douleur... Au bout d'un certains temps, presque une journée a vrai dire, je me relevais. Et lui dit, encore peu habitué a utiliser la télépathie. :

-Maintenant, je vais te nommer. Bénédoïm. Tu te nommeras Bénédoïm, Bénédiction dans le langage des elfes de la terre de Mostul. Cela te convient-il ?

-Oui.

Je decidais ensuite de lui montrer le chemin a prendre par la pensée, préférant le laisser passer par la voie des air. Aucun de nous ne risquait grand chose dans cette contrée protégée par les elfes, mais sait-on jamais. Une fois a la maison, je vis le visage de ma mère complètement affolée en contemplant la bête qui se tenait sur le seuil. Mon dragon fit les oreilles basses alors que je tentais de lui expliquer en balbutiant :

-Je le suis enfin maman, je suis Cavagon.

-Tu... tu... Elle se reprit et sourit cette fois ci. ce n'est donc pas un dragon sauvage. Tu est Cavagon... Quel bonheur !

Elle éclata en larme et me sera dans ses bras alors que mon dragon assistait a la scène, calme et heureux Ma mère s'adressa a lui :

-Tu est donc notre dragon de la maison ? Quel est ton nom ?

- Aràs m'a nommé Bénédoïm. S'est un beau nom, je le porterais avec fierté.

-Oui, s'est un beau nom... ton père va être fier de toi Aràs !

Voici comment se sont donc passer nos premiers pas ensemble. deux jours plus tard, mon père rentrait d'une mission de reconnaissance en forêt et lorsqu'il aprçut le dragon coucher dans un panier déjà presque trop petit pour lui, il fit la même tête que ma mère. Mais lorsqu'il comprit, il me serra de toute ses forces en disant :

-S'est bien mon fils... s'est bien...

Mes parents sont trop émotifs... Mais les jours passant, je n'allais plsu voir l'ancien qui nous éduquait, préfférant rester avec mon dragon, maîtrisant mon sort unique du mieux que je le pouvait pour l'instant.
Une dizaine d'années passèrent, j'avais vingt deux ans, le temps pour mon dragon d'atteindre sa taille d'adolescent. Dès lors, notre lien était imbrisable. Il pensait et je pensais avec lui. Nous étions également inséparable, je montais sur lui sans selle, il n'en avait pas besoin, pour de longues randonnées dans la forêt. S'est donc lors de cet année, en hiver, qu'il me déclara par pensée :

-Il est temps que tu aprennes a voler.

Il me montra alors les deux crochets qui avaient pousser sur son dos, également des piquants sur le dos.

-Accroche toi aux crochets avec tes mains et met toi entre ces deux piques. Il n'y aura rien pour te retenir, tu peut le faire, mais n'ai pas peur, les premières fois s'est un peu difficile, mais tu vas réussir, je le sais.

-Je le sais aussi.

Je montais sur le dos de mon compagnon et il s'envola, lourdemment.

-Je vais te montrer deux choses importante.

La première était la géhenne de foudre qu'il venait de recevoir, enfin. Quelle magnifique géhenne jaune, tueuse, assurément, mais d'une beautée incomparable. Les éclairs entremêlés de trais d'énergie pur tombaient sur le sol avec la puissance de la foudre. Les arcs éléctriques restant encore un moment sur le sol avant de disparaitre définitivement. Je souriais. La portée n'était pas énorme, une dizaine de mètre tout au plus avant que la foudre destructrice d'origine ne se transforme en un mince filet d'énergie, lui même transformé en un souffle de vent peu après... Il me dit, dans ma tête :

-Plus tard cette géhenne sera bien plus puissante. Ne t'inquiète pas pour cela.

-Eheh, je me doute, tu est le plus puissant de tous.

-Je sais. Voila la deuxième chose que je voulais te montrer : la beautée du monde vu du ciel.

Je vollais. L'air me battais le visage, le monde était donc merveilleux vu d'en haut. Je pouvais voir les limites de ma forêt, les plaines de la Justice, celle de Silläem et même les montagnes Tukum. Que de bonheur. Peu après Bénédoïm fit une vrille et un looping a laquelle je ne m'attendais pas, je me sentis tombé, je lâchais prise mais il se redressa assez tôt.

-Ne me lâche jamais !

-Je... oui Bénédoïm... ne t'inquiète pas, cela ne se reproduira plus.

-Je l'éspère pour nous.

Après cette petite frayeur, il ne m'arriva plus aucun souci et je pu continuer a vivre normalement, en volant toujours plus loin durant une vingtaine d'années supplémentaires. Lorsque je fêtais mon quarante cinquième anniversaire, j'étais dans les folies de l'adolescence. Et ma plus grande folie, fut de vouloir sortir avec la princesse Edolinä, une jeune elfe de trente sept ans pour laquelle mon coeur vibrait. Mon amour était puissant. Presque aussi puissant que le lien qui me ratachais a mon dragon. Un jour donc, lorsqu'elle fut rentrée chez elle, au sommet de l'un des plus haut sommet de la forêt, dans une résidence éloignée de la capitale ou peu de garde surveillait, j'arrivais au balcon avec mon dragon et pu la découvrir pour la première fois, j'avais parlé a la princesse ! Elle fut tout d'abord apeurée, mais je lui expliquait que j n'étais pas la pour lui faire du mal, mon dragon resta en retrait et elle m'invita a entrer.
S'étais luxueux chez elle, normale d'un certain côté. Elle n'était pas princesse pour rien. Ainsi, a la fin de la soirée, je l'avais convaincu par mes dires et peut être bien ma coupe de cheveux... le tout est qu'elle m'invita a revenir a ce balcon une fois par semaine ou nous pourront discuter. La partie était gagnée, j'allais avoir son coeur, et la main suivrait.
Trois ans durant, je montais au balcon, a la cîmes de cet arbre que je connaissais si bien. Discutant et flirtant, jusqu'au jour ou elle me donna son coeur. Je lui proposait alors de nous marier. Mais elle déclara que notre amour etait... impossible ? Ce mot n'exisait pas dans mon vocabulaire. J'allais voir la Reine en personne, demandant audience et passant devant tout les conseiller. Voici comment se déroula la scène :

-Entrez déclara le hérault situé entre la Reine, son mari et sa fille.

Elle était la. Très bien. Elle a tenu parole. Lui adressant un grand sourire, je marchais dans la longue salle en bois vers la Reine. Celle ci pris la parole :

-Bien, vous avez demander audience, que me vaut votre visite noble Cavagon ?

Bien renseignée la bougre... Je décidais d'y aller franchement.

-Je désire demander la main de votre fille ma Reine,déclarais-je en m'agenouillant, comme le voulait la coutume, des murmures s'levèrent dans la salle.

-Silence... les murmures se turentEt qui est tu pour prétendre au trône de mon mari ?

-Je ne suis qu'un honnête citoyen d'Emerläie, royaume elfique. Mais dont les pouvoirs sont destructeurs que la douceur de votre fille ne saurait qu'appaiser.

-...Je ne veut ps m'éterniser la dessus, cette affaire est importante mais d'autres le sont encore plus. Avez vous entendu parler de Simuath Dhoraee ?

-Oui, bien sur, répondis je pris au dépourvu. Il sagit du Commandant de la compagnie du Fléau de Simuath non ?

-Exactement. Ramène moi sa tête et tu auras la main de ma fille. Votre temps s'achève, veuillez sortir.

Je regardais Edolinä une dernière fois, brievement, elle était presque en larme. Puis me retournait et parti, je savais ce que j'avais a faire.

Mais je ne devais pas partir brutalement, cette mission serait difficile, j'y laisserait peut être la vie. Alors d'un commun accord avec mon dragon, nous commençames la recherche de mes deux autres pouvoirs, en allant dans les bibliothèques, consulter les érudits... Comment réveiller le pouvoir de givre ? Non, ce n'est pas cela non plus. Je passais dix ans dans la recherche de mes pouvoirs, fouillant pratiquemment toute les bibliothèques des terres de Mostul... Et je réussi a en découvrir un. Le sort de précision, contenu dans l'une des nombreuses bibliothèques de la capitale de l'empire Karmine : Léarém. Mais je savais que je n'avais pas chercher au bon endroit pour l'autre. Abandonnant la recherche, je m'entrainnais au vol, au tir a l'arc et a maîtriser parfaitement les deux sort que je possédait déjà. Et lors de l'un de nos entrainemments, mon dragon fit une chute de plusieurs mètres sur le sol, s'écrasant sur un rocher pointu, lui déchirant le poitrail. Comme d'habitude, il avait voulu en faire trop, me prouver qu'il pouvait faire l'impossible... Je me lamentais donc sur notre sort alors que la vie lui échappais peu a peu et en posant mes mains sur sa plaie, mes larmes dégoulinant le long de mes joue, je ressentis cette fatigue liée a la magie. Je m'enfonçais encore plus dedans avant de comprendre que des particules magiques que je dirigeais sans le savoir rentraient dans la plaie,détruisant le rocher et laissant place nette sur le sol, refermant petit a petit la plaie. Je connaissais mon troisième sort : restauration. Le sort de soin par excellence. Mon dragon survécut, et je tombais dans un profond comma.
Entre vie et mort durant un mois, une jeune femme voilée de noir vint se tenir a mon chevet presque tout les jours, mon dragon dormait juste a côté du bâtiment dans lequel je reposais, hurlant a la mort et crachant sa géhenne dans tout les sens parce qu'il n'arrivait plus a capter mes pensées. Puis, je m'étais réveillé et avais découvert la jeune femme a mes côté... Edolinä. Je m'étais réveiller et dut calmer mon dragon fou de joie. Mes parents aussi avaient veiller et eux aussi étaient heureux. J'étais vivant.

Je possédais maintenant mes trois sorts. J'avais un arc, un dragon... une amante et des parents qui m'aimaient. J'étais aux anges. Mais je devais reprendre mon entrainement. Ce que je fis. Durant dix nouvelles années, je m'entraînais et lorsque je fus sur de moi, m'engageais chez les Cavagons Elfiques. Pour me faire la main, je fis donc des missions de reconaissancces, des attaques sur les troupes ennemies, de la défense d'armée... j'ai même eut l'occasion de tuer un cavagon Orc. Bref; j'y suis resté jusqu'a mon cent soixantième, après quoi, je partis en quête de Simuath Dhoraee

[HRP]Pour un roman... s'est un putain de ROMAN !!! lol[/HRP]

hrp en effet.../hrp

Le géhenne d'acide vint brûler la pointe du sapin.
-C'était moins une celle ci ! dit une voix enjoué.
- Galen... Tu pourrais le tuer au lieu de plaisanter... Je commence à fatiguer...
- Fatigué ? sa fait à peine un quart d'heure qu'il nous trace. Mais bon c'est toi qui vois...

Un beau jeune homme était bon monté sur un dragon beige sombre d'une quinzaine de mètres. Il se retourna un arc en main. Il banda puissament la corde, la flèche partit en sifflant.
J'ai toujours trouvé se bruit charmant... La flèche vint se loger dans le crâne d'un orc monté sur un dragon bleu électrique. Le dragon hurla de colère tandis que son cavalier arraché tombait du ciel. Son dragon ne survécut pas à la perte de son maître et il chuta lui aussi.

La jerbe d'eau qu'ils firent en s'écresant dans l'eau éclabousa un navire qui passait par là.
-Une flèche digne d'un orc dit le dragon.
- Un vol digne d'un oisillon. répliqua la carangon.
Les deux rirent et continuèrent leur course effrené.
Quelques heures plus tard il se posèrent dans la foret. Des arbres une dizaine d'hommes au cheveux court émergèrent. Tous des elfe portant mailles et armes luisantes.

-Que la paix de la foret soit sur vous mes frères ! Je suis Galendil Cael'Nyn, je cherche le seigneur Eress on m'a dit qu'il était en chasse dans cette partie ci de la foret.
- Salut à toi Galendil, je suis en effet en chasse mais je t'ai vu arriver... Tu à rempli la mission ?
- Avec les honneurs dit le dénommé Galendil dans un sourire. Il sauta lestament au sol et tendit un rouleau de parchemin au seigneur elfe.
-La réponse en temps et en heure ! service postal de la foret !
- Manquerais plus que tu parte chez les coursiers ! La guilde perdrait deux membres de qualité !
- Et beaucoup de vitesse aussi rajouta le dragon...
- Surement Calidan... Surement... Galendil chez une autre mission pour toi... Une longue mission ! Plusieurs annés à mon avis...
- Houla... On vous à pas dit que j'était soutien de famille ?
- Non ! Tu dois partir dans l'heure pour les marches du nord. Au environs de Grosgath...
- La terre orc ? Un problème ? Une guerre en préparation ?
- Non un membres à surveiller... Nos carangon guerrier sont occupé avec des meutes troll à l'est de la foret et je n'ai pas de message important avant plusieurs mois....
- Bien bien... Quel membre de la guilde est assez fous pour aller seul en territoir orc ?
- Un ex membre plutôt ! D'après se que je sais il à recu l'odre de notre bon roi de tuer Simmuath en personne !
- Le roi ? Il à vraiment donner cet ordre ?
- Oui pour se débarrasser d'un prétendant à sa fille...
- Je vois... Qui est se prince ?
Le seigneur elfiques eclata de rire.
-Aras un prince ? c'est le fils d'un forestiers il n'a pas une once de sang noble mais c'est un redoutable combattant et c'est bien dommage qu'il soit partis...
- Bien, comment dois je m'y prendre ? je l'espionne ? je l'empêche d'acomplir sa mission ?
- Ne te cache, présente toi à lui comme un patrouilleurs qui vient surveiller la frontière.
- Bien je passe chez moi et je repars de suite. Seigneur je vous salue et j'espère vous revoir en vie...
- Ne crains rien pour moi...
- C'est pas pour vous que je m'inquiète....

L'elfe rentra dans sa demeure dans la ville elfique à quelques lieux de là. Il chargea vite son dragon de quelques provisions et mit aussi une dizaine de grand carquois près de la selle. Voilà on pourra pas allez trop vite mais au moins on est équipé pour un temps.

Le carangon et sa monture filèrent en direction de Grosgath.

[HRP]Attention, s'est une reine et non un roi a la tête de la nation elfique[/HRP]

Je me suis tout d'abord dit que la solution était de voler jusqu'a Grosgâth ou je tuerais tout sur mon passage et ou je rencontrerais le chef de la compagnie noire. Mais... l'idée me parut tout d'un coup plus mauvaise en pensant a ce qui se passerait si il amenait ses sbires avec lui. Je pris donc le cap de la nation neutre, d'Orfélis, une idée en tête. Je comptais discuter avec la faune des plus diverse qui trainait la bas, pourquoi pas trainer dans des pubs glauques de la citée pour avoir des informations... peut être même engager un informateur. L'argent que j'avais récolté durant ma période de service dans la compagnie elfique était intéressant...
Mais, alors que je changeais de cap (peu, car la presqu'île de Margrän était alignée avec la nation neutre), je repérais du coin de l'oeil un dragon s'approchant de moi. En regardant de plus prêt, je m'aperçus que s'était un elfe, sur un dragon de Balza. Je ne pourrais pas le distancer. Je me decidais alors a l'attendre. que me voulait-il... S'était probablement un membre de la compagnie que je venais de quitter.
Il approcha et je le dévisageait, sans un mot, mon dragon a l'identique. Il pris la parole :

-Bien le bonjour noble Cavagon.

Je lui rendis son bonjour d'un signe de la tête.

Je viens controllé les frontières, qui êtes vous et ou allez vous ?
-Je suis Aràs Ërméliön et son plus que fidèle compagnon, Bénédoïm. Pour gagner la main de la princesse, je me dois de décapiter le chef de la compagnie noire.

En disant cela, nos dragons se sont mis a planer en fonctions des courants chauds ascendants et froids pour maintenir le cap et l'altitude...

Galendil éclata de rire. Tuer le seigneur Simmuath rien que sa !
Le dragon répliqua à la place de son cavalier.
Nous y arriverrons sans peu de difficultés je suis l'un des plus puissant dragon de Mostul....
- Simmuath a aussi l'un des plus puissants dragons... Et en plus il à ses lieutenants.... Une petite armée à lui tous seul.....
L'elfe ne répliqua rien pas plus que son carangon.
-Je m'appelle Galendil Cael'Nyn, noble de la maison royale et préposé à la surveillance des frontière menacé.
Mais vous que venez vous faire ici, ne me sortez pas une excuse telle que tuer le seigneur orc je ne vous croirez pas....
- C'est pourtant la stricte vérité.... Vous faites partie de la famille royale alors vous devez connaître la princesse Edolinä ! Si je veux l'épouser je dois tuer l'orc ! Et Nous le tuerons moi et Benedoim !
- Quand je dis que je suis de la maison royale c'est plus par habitude que par vérité... Mon père est le fils d'un lointain cousin... Mais pour les heraldiques sa suffit... Je n'ai mis qu'une fois les pied au palais, j'ai presque le même age que la princesse, ils nous ont mis ensemble pendant le repas.... Un peu fade j'ai trouvé... Je venais d'avoir Calidan et Edolinä ne me parlait que de dragon sequoia et autres sornettes sur les Caragon... L'amour est aveugle dit l'adage...

Aras aurais bien giflé le carangon mais il ne le fit pas.... Il ne le put plutôt. Un battement d'ailes se fit entendre près d'eux. Un grand chevalier en armure sur un puissant dragon blanc.
Le ciel est bien rempli aujourd'hui....

[hrp]deso je crois que ce sera cours [/hrp]


Ola ! jeunes Cavagons ! j'espere qu'il n'y a point querelles ! Je me devrais de vous séparer !

En effet, un chevalier humain qui n'est autre qu'Alahel, plana autour d'eux.

Non chevalier pas d'inquietude répondit Galendil.

Mmmh je prefere ça ... deux cavagons tournoyant comme vous le faites me paraissait louche, je pensais à un reglement de compte.

Je suis chargé de défendre les terres que vous voyez,
puis je vous etre d'une quelquonque utilité ?

Sur ces mots le nouvel arrivant tournait en harmonie avec les précedents étrangers, sa lance vers le ciel, cape au vent.

Mais le chevalier ne s'arreta pas là, au contraire il tentait, et cela se vit malgres le heaume fermé qu'il portait, à décripter le visage de Aràs.

Ne seriez vous pas sir Ërméliön ? ayant pour unique but de prendre la princesse Edolinä pour épouse et cela uniquement en rapportant la tête du Commandant de la compagnie du Fléau de Simuath, l'un de mes plus vils ennemis ?
On parle de vous au palais des cinq.

Ma mission de protéger un temple s'abrege à l'instant et pour quelques années à present. Pourrais je vous accompagner dans cette quête ?

Hum... Je ne comprenais pas bien pourquoi ces deux personnes voulaient m'accompagner... L'un faisait parti de la compagnie dragonnique queje venais de quitter, mission d'espionnage ? Pourquoi pas, mais cela pouvait être sur un siple ordre d'escorte. En tout cas, il n'aurait pas agit ainsi délibérrément.
Quand a l'autre, que nous venions de rencontrer au dessus d'Orfélis, il semblait réellement ne rien avoir a faire d'autre que de nous accompagner. M'enfin. Nous ne serons pas trop de trois pour battre le comandant Simuath et son vil dragon noir. Je leur exposait donc mon idée :

-Voici ce que nous allons faire, nous allons déscendre dans cte capitale et nous infiltrer dans les pub les plus miteux... Peu importe le temps que cela prendra, nos dragons devront rester en dehors de la ville, nous collecterons des informations sur les déplacements des troupes noires comme le font habituellement les espions. Malgré tout, nous sommes deux elfes et la seule solution est de nous faire passer pour des drows. Galendil grimaça Un peu de maquillage, un ou deux piercings et le tour est jouer. Mais les drows sont tués a vue dans cette nation, nous devrons donc commencer a nous déguiser dans un endroit ou la milice ne va jamais, Alahel nous infiltrera, il connait cett ville mieux que personne. Une fois déguisés et infiltrés, nous recolterons les informations en nous faisant passer auprès des humains ou nains rénégats, comme des drows en mission secrète. Si certains rénégats ont des contacts avec un commandant de Grogstâtht, il nous faudra leur demander de nous organiser un rendez vous. Ensuite, nous obtiendront, soi par la force, soit par la ruse, les prochains déplacements de Simuath et nous lui tendrons une embuscade. Ce sera facile. Et vous, qu'en pensez vous ?

[HRP]Motivation du week end ! je post !!! lol[/HRP]

Galendilétait étrangement calme, il n'avait pas dit un mot. Ne le connaissant encore que peut, je ne savais pas si il allait éclater de joie en nous proposant un plan bien plus étoffé que le mien ou bien si au contraire, une fois le plan débuté, me déclarer qu'il faudrait faire autre chose. Son attitude était des plus étrange... peut être même pour lui. Peut être était-il troublé ? Le tout est que nous atteignîment la clairière, Calidan nous troua les oreilles, faisant chauffer l'un de ses piques a blanc grâce a sa géhenne de feu et nous nous maquillâmes, avant même de rentrer dans la ville.

-Je connais de nombreux passages secrets avait déclaré Alahel, vous pourrez rentrer déjà déguiser, personne ne vous remarquera avant d'être dans la ville même.

Très bien. Nous sommes maquillés, percé, il ne nous reste plus qu'a trouver des boucles d'oreille en or avec comme motif, des serpents et nous passerons pour de puissants drows. Quelle horreur...
Je reviens énnonça Alahel, je vais vous en chercher a la joillerie centrale. Vous daurez l'une des meilleur qualitée.

-Merci Alahel. Tu es bien aimable pour un humain. Enfin... Tu es Cavagon au dragon blanc, s'est peut être pour cela. Je sourit. Va Alahel et ramène nous les plus belle de ces dames !
Nous rîâmes de bon coeur et il partit.

Cela faisait depuis quelque temps que Veldrik volait. Il s 'enuyait ferme, personne a sauver ou a aider, aucun petit troll ou orc à massacrer.

- Je m' ennuye. Soupira Veldrik
- Tu ne peux pas un peu profiter de cette belle journée.Lui repondit Sliver
- Mais ça fait 6 jour que je profite j' ai besoin d' action moi.
- Pfff.....

Alors qu' il passer près de Orfélis Veldrik distinga plusieur formes sombres s' approchant d' une entrée de la ville.
- Tu vois les troie personnes la bas. Indica Veldrick.

- Oui. Aprés une court pose
. On dirait des drow.
- Des drows !!!!! A enfin de l' action, en avant mon fidel compagnon que ces creatures de l' enfer soit tuer.

Silver commença a descendre quand arriver a mis chemin il s' arreta net.


- Qu' est qu' il y a ?? Ne me dit pas que tu as perre de 2 drows et d' un guerrier.
- Je n' ai pas peur, Mais je recent la presence de dragon.
- Des cavagon encore mieux, le combat ne sera que plus exaltant.
- Non regarde la bas .
- Où ça ?
- La , on dirait un dragon blanc et des dragons de bois.
- Et alors ?
- Est alors les dragon blanc et de bois son bon.
- Est alors ?!
- Il ne peuvent pas etre avec des drow.
- AAAAAAA !!!!!! J' ai compris.

Aprés un moment de reflexion il decidèrent d' aller a la rencontre de ces curieuses personnes.


[hrp] Desoler j' ai eux un peu de mal avec les italiques alors j' en est pas mis :têtedanslemur: [hrp][/i]

Galendil observait sa tenue de cuir, un air de dégout sur le visage.
Aras vit son air.- Bravo c'est tous à fait le genre de tête que font les drow...
- Et c'est aussi la tête que fait un cavagon elfiques aussi rabaissé par un costume immonde ! Ce plan me parait plus que dangereux... Si au moins je pouvais prendre mon arc... Avec mes oreilles percé on dirait l'un de ses courtisan du palais royal, ceux qui gravitent autoure de la princesse ou des autres dames..
- AUTOUR DE QUI !!!
- Heu.... La princesse.... Ta copine..... Enfin jamais nul n'a trouvé grace à ses yeux, même le prince Tyrion, l'un des plus grand guerrier elfiques c'est fait éconduire gentiment mais fermement comme elle aime à s'en vanter.... Pas lui bien sur et il à coutume lors des diner de la guilde de démentir toutes boutade mal venu... Enfin là n'est pas, pour l'instant, le problème.
- Quelle est belle....

Soudain Galendil vit une silhouette de dragon se dirigeait vers eux, sur son dos un chevalier. - Pourquoi il nous charge ?
- Je te rappelle qu'on es déguisé en drow....
- Certes, j'avais ommis se détail bien ennuyeux... Calidan va le rassurer... Invite le à descendre, il semble bien méfiant...

Le dragon à une vitesse hallucinate vint voler devant le carangon et son dragon.
Mon ami, le carangon Galendil Cael'Nyn vous invite tous les deux à venir vous poser, et bien sur de ne pas se formaliser de leur tenue, que nous qualifirons d'original.... Si vous voulez me suivre... Calidan commençait déjà à descendre...

Alors que veldrik amorcer sa descnente, un dragon de balsa vint vers lui avec une vitesse surprenante, et l' invita a se poser pour faire disparaitre ce mal entendu.
Silver descendit gracieusement vers le petit groupe, arrivé a terre Veldrik sauta de son dragon et enlevit son casque.

- Ce na son pas des drows, mais des elfs. lui dit Silver mentalement.

-Boujour noble elfs, je me nomme Veldrik Gratom, defenceur de la veuf et l' orphelin, combattant le mal et le chaos. Et voila mon dragon Silver.Est-ce que je pourais savoir pourquoi ces deguisements pour rentrer dans une ville ou les drows sont tuer a vue ? Et pourquoi un humain vous acompagne ?

[HRP]Heu... Hyrax... je retire ce que j'ai dit sur deux point, fait des messages plus longs si possibles et évite de faire autant de fautes... je veut bien qu'on ne puisse pas être le ministre de l'éducation tout le temps mais quand même... relie toi au moins s'il te plait. Sinon, bonne imagination et RP de qualité, rien a dire dessus Voila pour la phase morale et maintenant : au boulot !!! [/HRP]

Ce nouvel humain était mal venu. Mais je ne voulais pas perdre de temps et l'acceptait tel quel dans la compagnie. Après l'avoir maquillé un peu pour qu'il ai l'air moins bon, nous continuâment notre chemin. La nuit tomba sur nous au moment ou nous franchissions le seuil d'une taverne bondée aux allures de cachot. Malgré le monde il n'y avait pas grand bruit, deux ou trois groupes jouaient aux cartes, poussant de petit cris de ci et de la, de nombreux humains et quelques nains aux airs louche et souvent balaffrés étaient assis dans les angles et l'aubergiste nous regardant d'un oeil mauvais.
Notre entrée amena toutefois le silence et fit presque sortir une lame, mais l'aubergiste l'arrêta :

- Qui êtes vous d'ou venez vous, pourquoi et que voulez vous ? Accessoirement, comment pourrions nous en tirer profit ?

J'étais un peu décontenancé par toute les question, mais décidais de jouer mon rôle comme je le devais. En prenant ma voix la plus sombre, je répondis :

- Je suis cavagon de la mort... Je me prénomme Elmeröt, mon nom ne vous intéressera pas. Voici mais trois compagnons : Ala... Alardis le premier humain , Mickrön l'elfe et Mergires, le deuxième humain... petit nouveau parmis nous. Nous ne recherchons que le couvert et un lieu ou passer la nuit en sécurité.
[i]J'appuyais bien sur ce dernier terme.
Mes amis et mois partirons d'ici un certain temps, une fois que nous aurons recceuillis l'information que nous souhaitons.

- Et s'est quoi ?

- Peut être nous le dirons vous en temps utile...

- Dans ce cas, sortez de mon auberge et préparez vous a mourir.

Je commençais a me demander si cette auberge n'était pas une simple auberge qui se limitait au vol et au pillage des voyageurs. Alahel sortit sa lame et déclara :

- Nous sommes cavagon, ne l'oubliez jamais. Par télépathie, j'ai prévenu mon dragon de la situation, il arrivera d'une seconde a l'autre sur une simple pensée de ma part. Vous n'y surviveriez pas...

Ingénieux... Bien, maintenant, la situation était statu quo. La parole était au Tavernier...

[hrp] Desolé je vais me prendre en main [hrp]

L' atmosphére devenait lourde, il n'y avait plus aucun bruit, on aurait put penser que le temps c' etait arrêté.La decision de l' auberge allait decidé de la situation a venir, un bain de sang ou une nuit de sommeil. Le tavernier ne savait plus quoi faire, au debut il pensait pouvoir les tuers et prendre leurs biens mais le fait qu' ils soient des cavagons changer tout. Finalent il pris la parole:

-Vous avez de l' argent.
- Oui. Repondit calmement Aràs.
-Parfait je croie qu' on vas bien s' entendre.
-Je l' espére ...
A ce moment la on put entendre des soupirs et une lame qui rentrait dans son foureau.
L'aubergiste invita nos quatre nouveaux amis a s' instaler et leur demanda qu' est ce qu' ils voulaient boire.
Ils commendèrent un repas léger et commencèrent à manger, même si la bouf était infecte.
Au bout d' un certain temps une personne s' aprocha des quatre compagnon.

-Excuser moi de vous dèranger nobles cavagons, mais j' ai entendus malgret moi la discussion que vous avez eu avec le tavernier et j' ai crus comprendre que vous cherchiez des informations.
C' est Aras qui parla en premier
-Et alors ?
-Et alors je suis votre homme ! Je me présente Slat, dit l' oreille qui entend tout. Je pourais surement vous aidez.

Veldrick avait déjà reconnus Slat avant qu' il ne parle. Sa petite carrure et son nez pointu ne trompaient pas. L' albinos l'avait déjà rencontré. C' etait certe un très bon indic mais ces infos coutaient les yeux de la tête.
Veldrick se pencha vers Aras et lui dit de faire attention.

-Tu pourais nous etre utile. Nous voulons savoir on se trouve Simuath Dhoraee est sa troupe.

[HRP] Nikel [/HRP]

L'indic pâlit :

- Euh... ce que vous me demander est réellement très dur a trouver... La, je te crois sur parole mon cocopensais-je avec une touche de sadisme que je ne reconaissais pas comme étant de moi... Bon, j'essaierais de vous trouver cet inf pour dans la semaine, mais ouvrez vos bourses...

- Nous ouvrirons nos bourses si nous avons une preuve e ce que vus avacez.

- Hum... très bien, je vous ramènerais même un document officiel. Cela dit, je prendrais surement plus d'une semaine.

- Nous attendrons le temps qu'il faudra. Mais nous chercherons d'autres indic si tu ne te dépêche pas. Et si tu essaie de nous trahir, nous te tuerons avant de mourir. Peut importe la méthode.

- Bien entendu. Je reviendrrais dans un mois au plus tard.

- Dans ce cas nous t'attendrons.

Il partit sur le champ. Enfin entre nous, Alahel demanda :

- Comment être sur qu'il ne vas pas nous trahir ?

- Nous n'en savons rien, s'est justement la le problême... répondis Galendil.

- Il faudrait l faire surveiller de loin. Par un dragon peut être pensa tout haut Veldrick.

- Bonne idée répondis je. Envoyons un de nos dragons surveiller le ciel. Dès que Slat franchira les remparts, nous le suivrons ainsi. Lui se douteras qu'il est suivi et espionné mais ne modifiera surement pas sa route. Le dragon devras faire attention a ne pas se faire abattre a l'endroit ou Slat trouvera ses informations. Vous me suivez ?

Ils acquiecèrent et je repris :

- Bien, ce sera dangereux pour le dragon qui ira et... au fait, qui a le sort de pensée ?

-...

- Merde. Je suis le seul ?

- Je pense que oui, répondis Alahel.

- Et quelqu'un a une idée ? Nous ne pouvons pas le laisser partir sans s'assurer qu'il ne va pas nous donner a Simuath.

Je n'ai pas un grain de magie en moi... Dit Galendil. Il faut donc que sa soit ton dragon... Mais envoyé un sequoia n'est pas franchement une bonne idée.
- Pas un grain de magie ? Comment est ce possible tous les carangon ont des pouvoir !
- Je suis un négamag...
- Pourquoi ne peut t'on pas envoyer mon dragon ! Coupa brutalement Aras.
- Disons que dans le genre mégalomane on à du mal à trouver pire sourit Alahel.
- Mon destrier est le meilleur ! dit fortement Aras
- Tais toi tu va nous faire remarquer... Je sais que les drow ont un comportement chaotique mais n'en venons pas au main, Je dis juste que les dragon sequoia sont de puissant combattant mais ne possède pas un grain de jugeote, il serait capable pour te faire plaisir de vouloir tuer Simmuath tous seul...
Oui, Veldirk au cas ou tu ne serais pas au courant cette joyeuse assemblé s'est fixé d'abbatre Simmuath... Rien que sa... Facile selon le sieur Aras... L'amour rendrait t'il bête...

Le specticisme de Galendil était plus que visible et ses commentaire désobligeant chauffé les oreilles du sieur Aras

Ce petit prétencieux me tapais sur les nerfs. Mais désormais, je ne pouvais plus faire solo car il a reçu ordre de me suivre, a moins de m'échaper, ce qui n'aurait aucun intérêt vu que l'indic nous retrouvera logiquemment a cet auberge. A bout de nerf, je lachais, d'une voix difficilement résignée :

- Bon, nous le laisserons seul. Mais nous allons couvrir nos arrière. Je vais demander a mon dragon de surveiller la ville toute les douze heures, ils s'organiseront comme bon leur semblera et ne dormez jamais sans une arme sous votre oreiller...

Ces paroles dites, je m'éloignais vers mon lit. La chambre nous acceuillait tous, elle contenait deux lits superposés, un tapis et une commode miteuse a quatre étages. Il fut décidé que chacun disposerait d'un étage a sa guise et que tout les soirs, en alternance, un des cavagons ne dormirait pas, pour surveiller la pièce. Il ne pouvait rien nous arriver.
La suite démentit ce propos. En effet, pas plus tard que deux jours après notre arrivée, durant la nuit, un petit malin de voleur souleva une trappe cachée pour prendre nos bourses. Mais Alahel, qui était de garde cette nuit la entnedis la trappe se refermer. Criant pour nous réveiller, il nous indiqua d'un doigt la trappe et la franchise le plus vite possible. Moins de vingt secone plus tard, nous le suivions. La trappe débouchait sur une échelle en fer rouillée, de l'humidité y étant palpable. Alahel courait cinq mètres plus bas. Agillement, les deux elfes sautèrent au sol et soururent a la suite d'Alahel, suivis de près par Veldrick, ne sachant pas vraiment ce qu'ils suivaient. L'endroit était nauséabond, de bon vieux égouts humains. J'eut un hait de coeur mais il ne fallait pas que je montre de faiblesse ! N'étais-je pas le meilleur des cavagons ?
La course poursuite continua pendant dix bonnes minutes, Alahel nous renseignant sur les directions prises par notre adversaire que nous tallonions D'un seul coup, Galendil freina. Je lui rentrais a moitié dedans alors que lui même manquait de rentrer das Alahel et que Veldrick m'esquiva de peu. Les yeux ébahis, nous regardions la scène ou notre voleur nous attendais.

Hahaa ! s'exclama le voleur,
Il souriait malsainement en regardant nos quatre héros.
IL s'était arreté dans une grande salle nauséabonde dont les mur étaient troués de sorties de conduits laissant un légé ruissellement de crasses.

Plusieurs hommes, douze en tout, portant des bandanas noir sur la bouche ou autour de leur frond pour masqué le haut de leur visages.

Armés jusqu'au dents de dagues et de cimeterre édentés, ils sortaient de leurs cachettes et vinrent a la hauteur des compagnons en éclaboussant les alentour quand il sautaient des conduits sur elevés.

... une embuscade ... ça m'apprendra ... se dit a lui même Alahel.

Il dégana aussi vite son imense épée et se mis en garde,
pied gauche en avant du corp ainsi que son épaule gauche, pied droit en retrait pour foncé, arme tenue vers le bas-arriere, ses gans de cuir noir craquaient sous la pression qu'il exerçait sur le manche de son arme, il n'attendais plus qu'une charge pour executer un monstrueux balayage dont il a le secret.

Le voleur dit alors,
il nous faut votre equipement maintenant, il doit bien y en avoir pour une fortune.
Les autres humains qui venaient de se rajouter ricanerent comme des hyennes tout en s'aprochant du petit groupe et l'encerclant.

Alahel tourna sa tête a moitié mais toujours en fixant les malfrats vers Aras, Galendil et Veldrik.

Si cela tourne mal, je veux que vous fuiez le plus loin possible, la couleur verdâtre de leur lame me semble louche.

Galendil dit alors : Du poison sans aucun doute, mais je ne sais pas si il est mortel.

Si cela tourne mal, écartez vous le plus possible de moi, je pense en venir a bout mais cela risquerait vos vie. repondit Alahel
[hrp]je pense au sort "berzerk"[/hrp]

Je ne voyais pas pourquoi Alahel voulait que nous nous écartions, nous serions plus fort a quatre qu'a deux... Mais lorsque les bandits au nombre de treize donc s'élancèrent et que le combat s'engagea, je sentis que Alahel changeais mystérieusement : de la bave blanche coulait de sa bouche et une lueur rougeâtre l'entourait. Soudain, il s'élança et faucha d'un coup d'épée deux truands. Il faisait des gestes longs et fluides, il ne manquerait pas de nous toucher et de nous tuer si par malheur il ne restait plus d'ennemis et qu'il n'avait toujours pas fini sa folie meurtière... Je compris alors, s'est un berserk. Je le répétais plus fort pour mes compagnons ainsi qu mes ennemis :

- Faites gaffe, s'est un berserk ! Ecartez vous !!

Mes deux autres compagnons restèrent alors en retrait avec moi, égorgeant deux ennemis qui fuyaient la furie d'Alahel dans le même sens. Alahel, quand a lui, continuait son travail violent : Il découpa deux bandits de plus et fonça vers d'autres restés en retrait qui essayait de fuir. Il les pourchassa et les tua. Sans cérémonie. Il ne réstait plus que deux ennemis, qui couraient dans le couloir au loin dont le voleur. Alors qu'ils allaient tourner a l'embranchement, je me saisi de mon arc et décochais une flèche qui se planta dans la gorge du voleur. Galendil en fit autant et nous sommes aller récupérer notre argent. Entre temps, Alahel s'était calmé et déclara :

- Bon, on remonte ?

Nous acquièçames.

Alors que le groupe entrait dans la chambre l'on frappa à la porte.

-Qui sa peut t'être à cette heure là ? demanda Alahel à peine remis.
- Je vais voir, Galendil s'approcha de la porte et l'entrebailla légerement. Tiens mais c'est notre indic... Entrez voyons, excusez nos tenue on vient de se friter avec des voleurs.

Scat entra dans la chambre, ayant un regard apeuré à la tunique sanguinolent d'Alahel.
Aras s'avança. Alors quelles nouvelles ?
- Cela n'a pas été facile.... Pas facile du tous.... Scat s'arrêta et posa son regard fourbe en l'air, attendant quelques chose...
- Allez vite dépechez vous ! Je tombe de sommeil et je n'ai nulle envie d'attendre que vous ayez repris vos esprit après deux mots ! L'indic semblait regarder le mur avec attention. Alahel s'avança pour le frapper mais Galendil fut plus rapide, il posa deux pièces d'or dans la main de l'homme. - Depeche toi !
- Je vois que vous n'êtes pas tous dénué d'intelligence.... Le chef orques de la guilde est d'une puissance qui dépasse mon entedement... J'ai eu le loisir de voir son dragon de loin, il fait la taille d'un grand manoir... C'était au sud de Grosgath, dans une région appelé Morteplaine... Mais le seigneur du fléau n'est plus là.
L'indicateur s'était tu une nouvelle fois. Regardant ses mains.*

Veldrik lui lansa 2 autres pieces d' or.Il commençait a en avoir assez de cette auberge. En plus la prise de concience qu' il y avez un berzerker dans le groupe le rendait mal à laisse. Il avez vut trop de personne mourir a cause de ces fous.
-Maintenant dit nous où il ce trouve.
-Mais je vous l' ai dit je ne sait pas.
-Scat tu commences à m énerver.
-Ok OK. Je vais vous dire ou il est partit avec sa troupe mais vous devriez abandonner...
-Cela ne te regarde pas.Coupa froidement aras
-Si vous voulez mourir c'est votre choix.Simuath Dhoraee se dirige vers Benlégore.
-Tu te moques de nous !!.
-Non non je vous jure.
-Bon ok tu peux partir.
- Merci noble cavagons.

Aprés que Scat soit parit les compagnons decidèrent de finir la nuit et de trouver une solution le lendemain matin.
Après une nuits agité il se réunir pour décider de la marche à suivre.Il fut decidé de d' aller en Benlégore pour decouvrir ce que faisait Simuath Dhoraee las bas.Aprés avoir manger ils sortirent de la ville et partirent en direction de Benlégore. Le vole se passer bien jusqu' au moment ou il virent une fumer noir et opaque au loin, en s' aprochant il decouvrir un villagent humain entrain de ce faire attaquer par ce qui semblait être des Trolls et un cavagon.

Une colère froide commença à envahir Veldrick, il commença a changer de direction quand Aras l' interpela.
-Arrete ! nous ne pouvons pas nous permettre de perdre du temps avec ces brigants.
-Il n' est pas question que je laisse ces batards continuer a massacrer ces villageois.
-Il a raison nous devons les aidés. Dit Alahel.Ces notre devoir en temps que cavagon.
-Il n' a jamais etait question de sauver qui que ce soit.Seul ma mission compte.Repondit froidement Aras.Et je ne vous est jamais demandé de me suivre.
-C 'est vraie mais tu oublies une chose .... Même deux. Sans nous tu ne pourras jamais tuer Simuath Dhoraee et peux etre que ces brigants le connaissent. En capturant le cavagon on aura peu etre plus d' info sur Simuath Dhoraee.

Aras ne savait plus quoi faire, continuer et laisser ces villageois à une mort certain ou les sauver et risquer de ce faire tué.Aprés ce qui sembla une eternité Aras pris une decision.

-Soit allons les sauver.
-Super.S' exclama Veldrick.On vas pouvoir se derouiller.... Au faite Alahel reste loin de nous je n' ai pas envis de devoir t' assommer pour evité que tu tue la reste des paysans.
-Ok ok je fairait de mon mieu.

Et ils s' ellancèrent. Veldrickpris la têteen quelque batements d' aile Silver arriva en vus des premiers assaillants. Le village etait defendu par une pallissade en boi qui etait percée en de nombreux endroit. Le combat etait presque fini les derniers defenceurs rendaient les armes.
Veldrick tourna autour de la petite ville, pendant que les trois autre cavagon fondaient sur les trolls. Veldrick s' apprètait de faire de même quand il vit le cavagon. C' etait un drow de grand stature, son armure etait d' un vert sombre.Le dragon etait vert et deverser des pluie de flamme sur se qui sembler etre la plus grande demeur du village. Veldrick s' approcha et cria vers le drow. Celu ci se retourna et pointa sa lance vers le cavagon, ils se regarfèrent quelque second et chargèrent en même temps.
Pendant ce temps Aras avait sauté de son dragon et combattait un troll. Celui ci maniait une lourde masse qui pourait facilement pulveriser l' elfe, mais Aras etait beaucoup trop rapide en quelque pas il avait deja blèsser le troll an deux endroits. Après avoir esquiver un coups de massu il alla derrière la bete et lui anfonça son arme dans de cou. Pendant se temps son dragon se battait avec plusieur trolls, la rapidité du dragon lui avait permis d' esquiver la plupard des coups et plusieur cadavre etait etaller devant ces pieds.
Galendil quand à lui dècochait flèches après flèches qui faisait moucha à chaque foi.
Alahel partrouiller entre les rues du village avec son dragon et glacer tous les troll qu' il trouvait.

Le combat dans le ciel etait acharné, les deux combattants etaient de force égal et aucun ne prenait l' avantage. Veldrick n' avait pas reussis à faire tombé le drow de son dragon a la première charge. Après avoir laché sa lance il contunait le combat avec son fleau. L' elfe noir se battait avec une èpèe noir et manqua plusieur foie de mettre veldrick en danger.Les dragons etaiznt de même taille et chaqu' un faissaient de son mieux pour evité que leur cavalier ne tombe. Puis Veldrick vit enfin une ouverture, son fleau percuta le drow en plein pointrine, celui ci fut progetait dans le vide. DAns son ellant l' humain portat un coup de fleau au dragon au niveau du cou. Le grand ver supris se degagea du combat et bizarement ne tenta rien pour sauver son maitre.En effet le drow planait doucement vers le sol. Veldrick fondit sur l' elfe et d' une penser demanda a son dragon d' envoyer une decharge electrique. Le cavagon fut literalement aplatit au sol. Veldrick sauta de Silver et s' avança du drow. Il le pris par l' armure et plassa un poignard sous la cou de l' elfe.

-Si tu tente quoi que sa soit je tue ton cavalier.Cria-t-il au dragon.
Celui ci se posa sur le côté et attendit. Les trois autres compagnons ne tardèrent pas à revenir.

Je communiquais a mon dragon que j'en avais finis avec le dernier Troll et lui demandais de me rejoindre auprès du Cavagon drow. Deux minutes plus tard, après avor fait un bref tour du village pour constater qu'il n'y avait plus de survivants, nous fumes sur les lieux, Veldrick tenant toujours le couteau sur la gorge du drow.
-Peut être pourrait-on emprisonner son dragon, suggérais-je. Ce fut rapidemment fait. Après cela, nous procédâmes a l'interrogatoire.

-Comment te nomes tu ? demanda Alahel la voix plein de hargne.

-...

-Répond chien galeux ! Ou je saigne ton dragon !

-...

- Galendil, va resserrer les liens de ce dragon. Faisons un peu de torture.
Alahel, trouve moi du sel s'il te plait, il doit y en avoir dans l'une de ces maisons.

Ils partirent et je commençais par lui donner un ou deux coup de poing qui eurent autant d'effet que si j'avais tapé dans un punching ball. Très bien, il ne veut pas parler... dans ce cas la, je pense que le sel fonctionnera. Réessayons tout de même...

- Je repose la question : Comment t'apelle tu ? Cette question n'est pas méchante...

Alahel me posa un sac de sel aux pieds, il y en avais largement assez. J'étais tout de même étonné. La grange n'avait probablement pas brûlé en entière. Le tout est que le visage du drow blêmi. Voyant son expression je déclarais :

- Mais voyons n'ai pas peur, je ne t'ai même pas dit quel usage j'allais en faire... Je compte avant tout te trancher les extrémités des lèvres, puis te taper un bon coup dans l'estomac, histoire de te faire ou vrir la bouche... Ensuite, je déposerais le sel sur la plaie, ce qui aura pour résultat de te faire hurler ou sérrer des dents. Dans tout les cas, nous te tuerons.
Alors parle ! Nous abrégerons tes souffrances.

Je m'apprétais a lui trancher les lèvres au moment ou il ouvrit la bouche.

- Je m'apelle Doruath Dimmlaë, frère de sang de Simmuath. Si vous me tuer, vous pérrirez.

- Ou est-il ? hurlais-je.

- Et tu crois que je vais te le dire peut être... crève pauvre cavagon solitaire...

L'effronté rigolait en plus... S'en était trop. Je dégainais ma petite dague en tremblant, appuyait délicatement sur sa poitrine le pointe... j'entendis le rugissement de son dragon dans la grange a côté, j'appuyais, plus fort... le fixant droit dans les yeux. La grange vola en éclat. J'enfonçais la lame. Le dragon s'écroula. Et la lueure s'éteignit dans les yeux du drow.

- Nous n'avons que trop perdu de temps. Simmuath nous trouvera désormais. Et il est a craindre qu'il ne soit pas content...

Je laissais éclater ma rage. Je contemplais pleine de haine la partie de la forêt que les soldats de Simmuath avaient bruler afin de s'entrainer. Tanpis pour la mission que m'avait confié son suppérieur, j'étais décidée, à quoi bon tuer de petits groupes d'orcs stupides, il fallait agir à la source, autrement dit : tuer Simmuath! J'appelais mentallement mon dragon : Iria, viens, nous partons!
_Et où allons nous?
_A la frontière de Benlégore. C'est là que Simmuath à été vu pour la dernière fois.
_Peux-tu me dire ce que tu as l'intention de fai...
Elle s'arêta brusquement en arrivant sur les lieux du désastre. Elle rugit de colère!
_Tu as raison! Simmuath doit mourir, Dit elle en comprenant soudain ce que j'avais décidé de faire.
Nous partimes immédiatement. Nous êtions pratiquement arrivé à la frontière quand nous Iria apperçue un campement avec quatre dragons. Elle me fit part de sa découverte, je fronçait les sourcils, cela était peu commun! J décidais de me poser à proximité et de faire une petite visite à ces quatres cavagons. Je découvris avec étonnement que c'était trois elfes et un homme.