Le village de Greenberg, petite comunauté humaine vivant à proximité de la foret de Lorian, comptant une soixantaines de personnes, possède un folklore bien à lui qui à d'ailleur amené, par chance, une caserne de milicien dirigée par deux ou trois paladins.
Mais c'est de leur folklore dont je vais vous parler aujourd'hui,
il sagit d'une commémoration en l'honneur de l'ancienne milice, qui fut massacrée sans raison pour un simple contrôle d'identité par un vile démon de la pire espèce.
Un dieul compté chaque année une fois toute les six lunes.
C'est souvent un viellard qui se propose de la raconter, les anciens et les adultes sont les seul à ce souvenir du jour ou un drame terrible percuta Greenberg qui fait maintenant leur coutume.
Un froid hivernal règnait à l'extérieur, les maisons de bois dont les fenetres eclarcissait l'obscurité de la nuit laissait entrevoir la neige tombante et les cheminées qui faisait de jolis ronds de fumée harmonieux.
Les enfants de Marga, de Maria et Myra était tous assis par terre en demi cercle devant un fauteuille où etait assis un vielle homme barbu fumant la pipe. leur meres était assises à la table de la cuisine tournée de maniere à etre face au viel homme.
Tous etait silencieux et le viellard pris alors la parole :
"A mes chers petits, l'heure est venue de vous parler d'un être dont l'âme noiarcie par son terrible passé l'a rendu méprisable au yeux de quiquonque n'étant pas du même milieu que lui"
apres un temps de pause il repris ensuite :
"Nos contrée son vraiment invivable en plein milieu de l'été, et il y a de cela 10 ans, une elfe tres seduisante frappa à ma porte..."
le vieux ferma les yeux, replongeant dans ses souvenirs tout en continuant son histoire ...
Toc-toc-toc
Le viellard aprochant alors , à cette periode de l'histoire,de la cinquentaine ouvrit la porte, la demoizelle elfique tomba dans ses bras, epuisée par une longue marche elle s'evanouit en suite.
Recouverte d'une couverture ensanglantée, l'homme la posa dos par terre et enleva delicatement une partie du drap l'entourant et vis avec stupeur que la pauvre femme avait une enorme blessure au niveau du thorax qui coulait à flot de sang.
L'homme appela une de ses filles :
"Myra ! vite viens m'aider !"
La jeune fille arriva à toute vitesse et ensemble ils prirent soin de l'elfe.
Quelques jours passerent et l'etre elfique avait fait preuve d'une etonnante régération qui l'a miraculeusement guerrie physiquement mais elle semble toujours affaiblie par cette vilaine blessure.
"Père ..." dit un jour Myra.
"On m'a raconté que les elfes étaient, certe redoutable, mais l'on ma parlé aussi de leur fragilité ..."
Le père dit ensuite :
"Tu as raison de t'inquieter ... cette personne est tres louche, d'autant plus qu'elle à refusé pendant trois jour nos repas."
Tout à coup du bruit se fit entendre dans les escaliers !
L'elfe marchait en s'aidant du mur pour tenir debout, son visage était différent, comme ci celui ci se déformait légerement, elle portait egalement les habits du maître de maison et elle prit alors la parole :
"Je vous remercie d'avoir ouvert la porte, paysant et de m'avoir logé le temps que mes blessures se referment"
L'homme et sa fille etait terrorisé, l'elfe avait la voix qui passait d'un son féminin à un son masculin se qui rendait la voix double et tétanisante.
L'elfe pencha la tête en avant comme ci elle avait un malaise, quand elle se redressa, son visage avait changé, des cheveux noir plutot que blond, des yeux obscurs, un air haineux, pas de doute cette elfe n'est pas un elfe.
L'étrange créature marcha vers la porte de sortie en fixant les deux individu
Le veillards coupa net son histoire ! se leva du fauteuille et pris son manteau en peau de mouton et raluma sa pipe et dis :
" La suite n'a aucune importance"
il sourit en regarda le groupe d'enfant et repris encore :
"Allez vous amuser avec les chiens plutot que d' écouter mes histoires de viellards rabat joie"
Et il sortit paisiblement dans le brouillard du petit chemin de neige en fredonnant une chansson
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