Aventure McLitten. Pas plus de 5 (invités: Wazabeuh, Eighir)

[HRP] wazabeuh : ahhh ! tu as aimé ma viper tuning version "fast & furious" ? mdr... persyfal : heureux de te voir parmis nous ^^[/HRP]

- Oui !! J'ai trouvé !!! m'écriais-je.

Une semaine s'était écouler depuis notre arrivée au camp, et les robots s'intéressaient autant a nous qu'un poisson rouge a son bocal... Durant la semaine, il y a tout de même eu deux explosions inexpliquées qui s'étaient produite, mais on avait toujours trouver la source du problème comme étant accidentelle. Malgré tout, certains doutes subsistent, les robots n'essayeraient pas de nous couler de l'intérieur ? Peu évident. Certains robots étaient présents a l'ntérieur du camp, il s'agit de robots de combats de classe K50a, ces robots sont des robots de combat militaires, lourds, pouvant combattre dix hommes a eux tout seul, sans arme. Alors imaginez les avec deux sulfateuses éléctro-plasmatique (le principe est simple : munition de plasma quasimment infinies entrainées par un champ éléctro-magnétique a une vitesse proche de celle de la lumière, cette batteuse tire 1000000 de balles pas minute. Une balle, un mort. Principe simple.)... Seul inconvénient de cette arme, elle ne peut être utilisée par un humain. Le recul le tuerait instantanémment. S'est donc six de ces robots qui ont arrêtés la fameuse arraignée robotisée que l'on avait vu lors de notre arrive au camp, l'arraignée ayant tout de même réussie a en détruire quatre. Les huit derniers K50a défendaient le camp, chacun poster a distance égale de l'autre et faisant ainsi le tour du camp en patrouillant. Chaque passage de ces robot devant un homme lui soulevait le coeur et lui redonnait courage. Mais alors, pourquoi ne se sont-ils pas révolter ? Ah... leur circuit n'est pas branché sur le réseau. Le champ éléctro magnétique couperait la liaison de l'émétteur de la lame, au récépteur du robot. Le robot K50a possède donc une IA intégrée.
La semaine se passa calmement, après avoir dormis deux jours, je me suis réveillé, les autres dormant encore et me suis remis au travail, a la recherche. Lors de leur réveil, un jour plus tard quasimment, je suis aller leur souhaiter bonne chance pour la suite, pensant bien ne pas retourner au front comme les soldats qu'ils étaient. Soit le camp tiendra, ou soit il ne tiendra pas, mais mon rôle sera de les aider dans leurs recherche pour détruire les robots, quel qu'en soit l'issue, rien de plus, rien de moins. Ma découverte allait justement changer quelque chose. Effectivement, mon domaine est la chimie des éléments. Or, je venait de trouver la formule que je cherchais depuis si longtemps au centre médical*. Avec les moyens militaires qu'ils avaient, j'aurais pu dénicher cette formule depuis bien longtemps... Cette formule, il s'agit d'un produit volatile (qui s'évapore), agissant tel un virus, il devrait ronger n'importe quel métaldans un rayon d'une dizaine de mètres, pour un flacon de dix centilitres. En en faisant asser, on devrait donc pouvoir détruire tout les robots. Toute technologie d'ailleur... et qui dit plus de technologie, dit... plus de vie. Ou vie marginale. Les supérieurs militaires du camps dialoguèrent durant douze heures durant, débattirent du pour et du contre, puis se mirent d'accord. L'un d'eux vint et me déclara d'une voix froide :

- Vous commencez la production de masse du produit maintenant.

Aussi fut-il étonné que je lui répondit aussi innocémment :

- Je n'ai plus d'acide de benzoïde, cet acide que l'on ne trouve que dans le centre botanique et entomologique. Vous savez, cet acide extrait des plantes génétiquemment modifiées, capable de manger et digérer le métal et...

- Oui oui, je connais me coupa t-il énervé. Vous en manquez dites vous ? Quelle quantitée de produit vous faut-il ?

- Pour couvrir la moitiée gauche de l'île durant 24h, sans effet secondaire sur l'homme, il me faut 150 litres. Ceci en adaptant la formule durant le moment ou vos hommes partiront et ou je serais présent, la quantitée devrait suffire. Mais il me faut également une rampe de missile et un missile vide ou stocker mon produit.

- Vous l'aurez. Y aura t-il assez de produit au centre biologique ?

- Oui, ils en ont plusieurs dizaines de litres et il y a assez de sang dans ces plantes (car cet acide est contenu dans le sang de ces plantes carnivores, donc dangereuse... ceci dit au passage) pour que nous arrivions a 150 litres.

- Très bien, les deux personnes avec lesquelles vous êtes arrivé, comment sont elles ?

Un peu surpris par le brusque changement de sujet, je répondis tout de même :

- Heu... ils sont très bien, très courageux et intelligents...

Il me coupa a nouveau :

- Très bien, vous venez de les affecter pour cette mission. Ils iront rechercher l'acide de benzoïde au centre biologique de l'île. Je vais préparer leur briefing, ils seront brieffés dans une demi heure et partis dans une heure. J'éspère qu'ils seront de retour dans moins d'une semaine. Au revoir donc, Dr Mc Litten.

Avant que j'ai pu prononcer le moindre mot, il était partis. Une demi eure plus tard, après m'être lamenté, je regardais par la porte pour voir la bâtiment ou étaient donner les briefing de mission. Je ne fut pas étonner de voir entrer Rita et William. Je me mordis la main jusqu'a en saigner, je venais de condamner mes deux compagnons a une mort probable.

[HRP] * : cf mon premier message et ma fiche perso [/HRP]

On nous embarqua, William et moi, dans une salle blanche, meublée d'un bureau bancal, d'une carte usée et de quelque chaises en face du bureau. Le tout avait un air martial, que je connaissais bien. Derrière le bureau, un homme, le type d'homme que je connaissais bien, le genre de colonnel tyrannique. Il nous expliqua sans ciller que nous partions en mission au jardin botanique, ils avaient besoin d'un certain liquide pour les recherches. Je haussais les sourcils: 150 L. Contenu bien sûr dans des plantes carnivores. Ce sera festif... William paraissait penser la même chose, je l'entendis demander:

"Le temps de cette mission?
- Moins d'une semaine."

C'était donc urgent. On allait nous affubler d'un véhicule et d'armes données. Je glissais.

"Pas de soucis. Mais j'ai besoin d'une bonne dose de muitions."

Je lui montrais mon arme (récupérée près de mon lit), il haussa à son tour les sourcils, je souris, carnassière. Il me trouva les munitions, et nous fourga quand même des flingues. Bon si ça l'amuse, des Garetts de bonne factures, c'était toujours interessant. Le véhicule était ancien certes mais fonctionnait bien.
Nous avions eut à peine 20 min pour empacketer nos bagages. Je cherchais Johnson, à travers le camp. IL devait y être comme un poisson dans l'eau, ce lascar, certainement satisfait d'intéger à nouveau une équipe et un idéal. Personellement, je trouvais cela illusoire: cela donnait de l'assurance, un sentiment de sécurité mais on ne peut compter que sur soi-même... Quand j'énonçais le nom du scientifique, on me rencadra, je ne pouvais le voir apparemment. Je trouvais ça étrange mais je me tus: ce n'était pas le moment de se rebuffer contre l'autorité, comme à mon habitude. Je rejoignis William près de notre véhicule d'expédition.
Je balançais nonchalamment mon paquetage sur la banquette arrière et laissait le volant à William. Je savais conduire, et même très bien, cela ne m'aurait pas déplu, mais William le voulait aussi manifestement, je ne voulais pas créer de tensions. Je m'assis donc, et posa mon uzi sur mes cuisses.

Depuis le hangar à véhicules, Lynch mangeait un sandiwsh en regardant dans la direction du convoi expéditionnaire.

MMMh ? même pas un aurevoir ? ni même un merci ?
... c'est dans des moments comme celui-ci qu'on voit à quel point on marque les gens des fois ...

Lynch semblait triste de voir des gens à qui il avait donner une nouvelle chance de vivre partir à l'abattoir à nouveau.
Et c'est alors qu'il durcis le ton de son visage.

ça ne se passera pas comme ça !

Il jeta le reste de son casse-croute et
pris un packtage de militaire qui trainait, s'en équipa,
Il se dirigea ensuite vers l'arsenal et pris une sorte de M41 (il ne s'y connais pas trop en arme, donc il lui est impossible pour lui de définir correctement un fusil)

Il marcha d'un pas décidé vers le véhicule, il fixa le gradé et en arrivant à sa hauteur il gueula :
Sachez que vous ne mis empecherez pas !

et il monta dans le transport le visage tendu, les sourcis froncés.

Rita et William se tournèrent vers le nouvel arrivant, et demandèrent d'une seule voix :
-Mais qu'est ce que vous voulez, vous ?
-Euh... Je pourrais vous être utile, non ?
Tous se regardèrent les uns les autres.
Allez ! Un pompier en plus ne peux pas nous faire de mal...
William démarra calmement la voiture, alluma la radio qui passait le dernier tube du moment : "Can't save the World", par le groupe Plasma. Un bon hard rock pour commencer. Les guitares éléctriques exultaient déjà lorsqu'il passa la première et appuya placidement sur la pédale d'accélération. Rita remarqua :
Tu sais William, tu es peut être très zen mais on est pressés, là !
William lui lança un regard en coin tout en sortant du parking.
Si tu commence à me stresser, on risque de pas s'en sortir, Rita. Le stress est la meilleure façon de manquer une mission...
Rita se tut. William faisait comme il voulait, même s'il était évident qu'il cachait son agitation derrière un masque d'impassibilité. Mais cela irritait grandement Rita, qui tentait tout autant de cacher sa colère envers le sniper. Celui-ci abordait une large route et roulait "seulement" à 140 km/h... Une broutille par rapport aux possibilités de l'engin. William prit la route qui était indiquée comme étant celle du laboratoire biologique.
Il s'avéra que très vite, ils furent repérés. Un hélicoptère de surveillance robotisé les avait pris en chasse à peine dix minutes après leur sortie. Rita s'affolait :
-Je le descends !
-Non ! S'il fait un trou dans la route on ne pourra plus revenir !
-Et s'il nous signale à ses petits copains ?
-C'est déjà trop tard...
En effet, il venait d'apercevoir, dans le rétroviseur, apparaitre au coin d'une rue, des véhicules qui sortaient. S'ils n'étaient pas armés, ils n'en étaient pas moins rapides et dangereux car prêts à se jeter sur la voiture pour la faire sortir de la route. Pire : une barricade se dressait à présent devant eux, et les robots en cherge de cette dernière ne semblaient en rien pacifistes...
Les tirs fusèrent autour de la voiture. William entama une série de zigzags qui fit passer le véhicule entre les tirs et projeta Rita à terre. Elle se releva tant bien que mal et saisit son flingue. A l'instant où elle tirait, la voiture vira de direction en vrombissant. Le compteur affichait 290 km/h. Elle manqua son coup donc, et pesta contre le chauffeur maladroit, qui ne répondit pas et resta fixé sur son objectif. Il fonçait vers le barrage.
Il était de mode d'avoir des voitures robotisées profilées avant la révolte. Les formes arrondies et fines des véhicules qui participaient au barrage, face à la route, montraient leur appartenance à ce courant trés esthétique.
Les tirs se refirent entendre et, au diable la varice, la voiture les encaissa comme elle put. Heureusement, elle était solide et il n'y eut aucun dommage grave apparent. William fonçait sur les voitures à 310 km/h. Les roues avant montèrent sans mal sur le capot pentu et débutant au ras du sol (Esthétique, encore)de la première voiture, écrasa au passage le pare brise qui montait dans la continuité du capot, et sauta à travers les balles de mitraillettes qui trouaient les composants du moteur. A quelques mètres de hauteur encore, William saisit Rita par la taille et l'entraina avec lui dans un saut qu'ils amortirent tous les deux d'une chute avant. Lynch, dont les réflexes n'étaient apparement plus à prouver, sauta de même. La voiture explosa sous une ultime roquette qui avait touché le coffre.
On va devoir continuer à pied, soupira le sniper alors que les voitures robotisées faisaient crisser les pneus en démarrant en trombe.
Et là, qu'est ce qu'on fait ? demanda une Rita blême devant le marée des véhicules qui avançaient, menaçants, sur eux...
Bonne question... fit un Lynch blême...

Et bien ... que faisons nous ? murmura Lynch.

Un long silence reignait dans le groupe, William et Rita, expert dans les cituations critiques apparemment cherchaient une solution en decriptant les alentour asser rapidement.

Des armes braquées sur nous ... lance rockettes et tout le tointoin ... et ce n'est pas avec mes médi-kit (trousses de premiers secours)
que je vais pouvoir vous soutenir dans une lutte perdue contre ces choses ...

tout en disant ces mots Lynch avait un sourire déconcertant qui contrastait avec l'instant critique présent.
[hrp]voila c'est edité, c'est cours mais je me ratrapperai au suivant [/hrp]

William m'avait épâtée dans la course. Maintenant c'était une autre histoire: nous étions à terre, et moi j'étais armées jusqu'aux dents. Sauf que les voitures automatisées qui s'avançaient l'étaient tout autant! Je pris William et Lynch par la main et les entrainais un peu plus loin, à l'écart de la route. Je regardais en bas, par dessus le garde fou. Ce n'était pas trop haut. William avait suivi mon regard, il avait compris ce qu eje comptais faire. Surtout que, en bas, c'était une espèce de jungle épaisse, une vieille friche abandonnée. Avec de la chance, nous tomberions sur une buisson puis...
Nous sautâmes sans hésiter. Je ne sais pas o* mon compagnon atteri, mais moi je tombait au beau milie d'un tas d'herbe. J'eus assez mal, j'avais mon bras gauche endolori. Je me relevais et regardais autour de moi. William était dans un buisson, et en descendait.Lynch était déjà debout. Nous pûmes nous remettre en route, en direction du jardin botanique qui ne devait plus être loin à présent...

[HRP: j'ai édité aussi ]

[HRP]... bon, sa fait deux fois que je plante mon texte en ouvant une nouvelle fenêtre. Sa commence a faire beaucoup. Donc désolé de ne pas avoir poster waza, mais j'étais carrément trop blasé. Et je le suis encore. Sa risque de déteindre su r mon RP... euh... un gros mot pour défouler... PUTAIN !!! [/HRP]

Voici deux jours que Rita et William étaient partis, accompagnés, semblait-il, par notre sauveur. Durant ce temps, je continuais mes recherches, ponctuées de fausses alertes d'assaut des robots, ou d'autre, parfois vrai mais peu dangereuse.
Je travaillais donc sur mon projet de ga rongeur de métaux, pour simplifier et j'avais enfin mis une formule probable a l'essai. Je regardais le gaz (équivalent a 5millilitres) sortir lentement du tube a essai, pour passer dans une énorme bulle de plastique contenant une vieille carcasse de voiture récupérée sur le "champ de bataille". La voiture changea de couleur, passa de la couleur rouille ou brûlée, ou même encore rouge, qui était sa couleur d'origine, a une nuance grise. De ce gris, des morceaux devinrent noir et s'effritèrent. Puis, une fois au sol, disparurent. Je soupirais de contentement. En moins de cinq minutes, la voiture avait disparu. Je refis passé le produit dans le tube, seulement deux mililitres d'utilisé. Et bien... si Rita et William remplissent leur mission, on va faire la peau a ces robots je crois bien. Je pris une pose bien méritée a la caféteria avant d'aller voir le générale, pour lui annoncer la bonne nouvelle. Durant cette pose, l'alarme retentit a nouveau. Les robots effaçaient notre moral et créaient en plus la fatigue et le stress. S'était d'ailleur surement leur but. Nous faire commettre des erreurs du soit a la fatigue, soi au stress ou bien même, soi au déséspoir.
Apperement, les robots qui servent de maintenance aux fusées, dans le spatioport, ces petits robots volant, équipés d'outils en tout genre et d'un petit laser pour réparer l'éléctronique des fusées attaquaient le camp militaire par le Nord. Par l'endroit le moins évident et le moins surveillé. Mais l'IA oubliait certainement que nous avions des radars... Nous découvrîment donc l'attaque du camp. Les soldats et les marines étaient embusqués, ainsi que les robots K50a.
J'entendis depuis la cafet du camp des crépitements et des explosions de roquettes autociblées, l'assaut serait franchement lamentable, nous gagnerosn facilement. Ces robots combattent quasimment au corp a corp, leur laser n'ayant qu'une courte portée. Trop peu crédible pour que cela ne cache pas quelque chose. Je regardais au dehors du camp au moment ou une deuxième alerte se mit a soner. Je découvris l'horreur au même moment ou elle fut anoncée par les haut parleur :

"L'ennemi attaque au Sud, je répète, repliez vous et attaquez au Sud. S'était une diversion. Il faut combattre ces robots la. Tout ce que je peut dire, s'est... s'est... s'est que la chose qui se tient a moins d'un kilomètre de nos position est... une... une autre... une autre... arraignée. Plus grosse.".

Je l'avais devant les yeux. Elle avait beau se tenir a un kilomètre et avoir l'air d'avancer lentement, elle faisait la taille d'un immeuble de six étages. Dont la tourelle, le canon au dessus de l'arraignée, le canon laser, comme sur l'ancienne, faisait a lui tout seul un étage. Comment est ce possible...? Elle est... immense... Comment els robots avaient-ils pu construire cela en si peu de temps. La question demeurait mais je ne devais pas moins rester actif. J'entendis les roulements des chenilles, les trois derniers chars de l'île se positionnaient juste devant ce qui restait de la vitrine de la cafét du camp. Je les regardais en silence, avec un respect mêlé de crainte, n'osant plus traverser tant qu'ils seraient la. Ce qu'il faut savoir, s'est que la technologie avait fait un bon en matière d'armement dans le dernier siècle. La technologie Obu avait été abandonnée et la technologie missile avait été exploitée. Désormais, ce n'était plus des obus dans les tanks, mais des obus autopropulsés et intelligents. Des missiles donc et des missiles suivant. Ils tirrèrent. Le souffle souleva une nuage de poussière au moment ou les dix huit missiles sortirent de leurs tubes. Les missiles poursuivirent leur route en trajectoire rectiligne jusqu'a ce qu'un explose, avant d'arriver sur l'arraignée. Les missiles firent dès ce moment de nombreuses figures évitant les balles de contre mesure que les mitrailleuses attachées a chaque jambes crachaient. Les robots avaient penser a tout. Nous ne pourrions même pas nous glisser en dessous pour y poser une charge explosive. Nous aurions été déchiqueter par les balles de mitrailleuses.
Malgré tout, 9 missiles touchèrent leur cible, mais ne causant absolument aucun dégêt important. larraignée semblait boitée sur une patte, dont elle n'avait pas besoin forcment d'ailleur. Les tirs recommencèrent. Cette fois ci, les missiles avaient enregistrer préalablement un plan de vol pour éviter les mitrailleuses. Ils partirent directement en figure et ne s'arrêtèrent que sur la jambe. Un seul fut détruit, seize missiles touchèrent une patte et le dernier passa au travers. L'arraignée n'avais plus que sept pattes, je poussais un cris de victoire, que j'allais regretter... Au moment ou les tanks préparaient une nouvelle salve, l'arraignée s'arrêta, maintenant a cinq cent mètre, une lumière plus flashante que celle du soleil éclaira son sommet et un trait lumineux en partis, a la vitesse de la lumière, droit sur un tank. Celui ci explosa dans une gerbe de flamme. Le second et le troisième ouvrirent le feu au même moment ou le sommet de l'arraignée se rééllumina. Lorsque le trait de lumière partis, faisant sauter tout les missiles dans son sillage, le tank explosa aussi bien que l'autre. Les missiles restants, leurs capteurs déconcertés par la lumière, se perdirent dans le ciel et retombèrent sur le sol, un peu partout sur l'île, ne tuant personne : tout le monde etait déjà mort. Le troisième tank suivis, et il songea a faire la destruction du camp. Il tira sur les tents des réffugiés, de nombreux cris résonnant, des corps enflammés en sortant , des cadavres gisant déjà le sol. Le chaos s'abbattait de nouvau sur le camp. J'eut un soupçon d'intelligence. Je fonçais dans mon labo, m'emparais de ma formule et courut le donner au général, qui était sortis et donnait ses nouveaux ordres a un K50a. Je lui suggérait de lui donner la potion, il tiendrais plus longtemps que n'importe lequel des humains présents. De plus, il n'aurait qu'a ouvrir la potion sous le monstre d'acier, le verre du tube étant glissant et par balle, il n'avait aucune chance de se casser. Le général me regarda, ébahi, puis reprogramma le robot.
Je mis la solution dans la main du robot, puis le regardais s'éloigné au pas de course. Désormais, l'arraignée était au porte du camp. Elle écrasait le portail, remis debout, d'un coup de patte, le poste d'entrée avec le piquet également, oui le piquet était encore a sa place. Téméraire le piquet, mais mort maintenant. Le robot n'étais pas bête, il fonçait de couverture en couverture, de ruine en ruine, il se planquait a chaque occasion et repartais en courant jusqu'a une autre planque. Le laser ne cherchait même plus a l'avoir, il tait désormais trop avancé. Les mitrailleuses s'en chargeront... Sa y est, il est maintenant a moins de cinquante mètre du monstre, il a été configuré pour foncer dans le tas a partir de la. Ce qu'il fit après une courte pause derrière un muret. Il sprinta, la solution bougeant dans le tube, heureusement qu'elle n'était pas réactive au secouements, comme la nitroglycérine par exemple. Je pu admirer la vitesse du champion, il se retrouva sous l'arraignée, au centre, avec seulement un ou deux éclats. Mais la fut son erreur, il s'arrêta. déboucha le tube, continuant d'encaisser les balles de mitrailleuse lourde, puis lança le tube vers le haut de toute ses forces. Celui ci perdit son gaz, le robot qui l'avait tranporté s'écroule, aussi bien a cause des balles que du gaz.
L'arraignée, couleur gris noir métalisé, perdit de sa couleur éclatante de tôle ondulée, pour laisser place a un gris de pourriture, des morceaux s'éffritant. L'IA du comprendre car elle arrêta de prendre soins ou elle visait et tira partout, a l'arrache. Avc trois mililitres de ga seulement, je vis l'arraigneée perdre une patte, deux pattes, trois pattes, elle n'en avait plus assez désormais pour tenir debout et elle s'écroula, faisant trembler tout le camp militaire. Une fois a terre, le produit continua a faire son effet, elle perdit l'équivalent d'une quatrième patte et le petit voyant rouge s'éteignit.
A vrai dire, s'est une bonne chose qui vient de ce passer. Il est vrai qu'il y a eu de nombreuses pertes humaines durant cet affrontement, ceci est indéniable. Malgré totu, le camp a hérrité d'une arme de choix. Ce puisant laser fera obstacle a tout les robots mineurs. Si une chose plus puissante que cette arraignée se ramène, nous pouvons dire adieu au camps. Et voila tout. Une autre énigme a été résolut en examinant le corp inerte de l'arraignée métallique. Pourquoi n'a t-elle donc pas été repérer par les radars ? Il y avait sur chaque patte, de l'autre côté des mitrailleuses, un brouilleur. Alors forcément avec huit brouilleur, il y avait peu de chanc d'être repéré...

Ils s'arrêterent donc au sommet de ladite colline, pour se reposer un brin. Trés vite, Lynch montra des signes d'impatience. Il se leva et se dirigea vers le jardin botanique, laissant ses compagnons penauds. Ceux-ci se mirent presque aussitôt à l'appeler, en fait, mais Lynch ignora leurs appels. Il voulait en finir au plus vite (Et, accessoirement, être un héros le plus vite possible...). A quelques mètres d'une porte de service, ses deux compagnons à ses trousses quelques mètres plus loin, Lynch vit apparaitre devant lui une forme vaguement humanoïde mais... métallique. Immédiatement, le pompier sortit un pistolet et il tira. Un bruit retentissant se fit entendre. La bête s'écroula.
Je l'ai eu ! Je l'ai eu ! éructa Lynch.
Rita et William échangèrent un sourire. William rechargea son fusil de sniper et le replaça dans son dos, au profit d'un Desert Eagle III chromé qu'il sortit de sa ceinture. Ils s'approchèrent.
Eh ! Vous avez vu ? En un coup de pistolet...
William se retint de rire. Rita hocha la tête, avec un air admiratif. Le sniper sortit tout de même :
Sans doute un critique sur ton jet de dés...
Lynch fronça les sourcils.
Pardon ?
William énonça, comme si c'était une évidence :
Bah oui, comme dans les jeux de rôles ! Bon, on y va ?[/i]

héhé

Malgres se sourire Lynch ne semblait pas avoir compris.
Puis il tourna la tête vers le tas de ferraille qu'il venait de créer et fit un air fier de lui même.

IL regarda son pistolet, le rangea dans son étui et pris alors l'arme d'assaut qu'il avait empreinter à la caserne avant d'entrer dans l'odyssée où il venait de se lancer.

J'aurrais peut-être du prendre celle-ci ... pensa le pompier.

William et Rita se mirent alors à ramper pret à en découdre avec tout métal embullant en patrouille.

Lynch ! murmura sechement Rita

William regarda derriere lui et s'empressa de tirer Lynch par le pantallon, se malheureux restait debout en regardant les environs, il s'affala par terre sur le dos.

Il avait l'air stressé, et regardait dans toute les directions imaginables où l'on pourrait les voir.

Calme toi ! tu vas nous faire reperer ! dit doucement mais d'une voix autoritaire le sniper.

Lynch déglutina, et se calma peu à peu.

Le jardin botanique était tres proche, des sorte de petits robots volant grace a des hélices, qui devait logiquement sevir à l'entretiens des plantes semblaient monter la garde et décrivant des cercle dans les airs.

L'entrée n'était qu' a quelques pas,

Surtout pas de precipitation, dit Rita

William épaula alors son fusil à lunette et scruta l'objectif en mémorisant chaque deplacement de garde et de sentinelles.

J'étais à la fois irritée et amusée de la situation. Il falliat apprendre à Lynch à se tenir tranquil. La situation de toute manière deviendrait de pire en pire. Je me sentais devenir nerveuse et tendue, bientôt j'allais être en transe, tellement concentrée que rien ne pourra me tirer quelques mots. J eme penchais pour murmurer quelques mots à Lynch.

"Dans un équipe, c'est simple. Chacun a la vie des autres dans les mains. Alors pas de connerie. Autre chose. J'ignore de ce qui en est pour mon compagnon. Mais si je sui blessée mortellement descends moi."

La réaction de Lynch fut immédiate: il parut se centrer sur lui-même, lui aussi se cncentra. Tant mieux car la mission était très loin d'être gagnée. Je bandais ma volonté et rejoignis William plus en avant. Il était accroupit dan sl'herbe, caché par de la broussailles et examinait la situation. Ses soucils étaient froncés et ses yeux étaient perdus à la contemplation des robots. Je lui faisais confiance mine de rien. Je tentais de le lui faire comprendre par ma question:

"D'après toi, que faire?"

William arrêta de se concentrer sur son oculaire et se tourna vers Rita.
Simple. Il passe ici une sentinelle toute les neuf minutes quanrante deux secondes en moyenne.
Il nota le tout sur un calepin. Rita reprit :
Toutes les dix minutes, quoi...
William lui fit les gros yeux.
Non ! Toutes les neuf minutes et quarante secondes. Bon... Les sentinelles sont en réalité des gardes-jardiniers. Ils sont montés sur des rails, c'est pour ça qu'ils n'ont pas pu rejoindre les autres. Ils n'ont pas de détecteurs infrarouges, sinopn ils ne pourraient pas voir les plantes. Donc on a déjà un avantage si on rentre pendant la nuit. Ils sont armés de scies circulaires sur les côtés, pour couper les herbes qui dépassent, et d'une tronçonneuse laser contre les plantes plus... coriaces.
Rita le regarda.
C'est tout ?
William reprit.
De plus, et ça c'est plus emmerdant, il y a des détecteurs laser au sol. Ils déclenchent automatiquement l'alarme en cas de passage irrégulier d'individu. On va devoir faire attention.
Rita opina du chef.
Donc, on entre la nuit, on se débrouille pour éviter les détecteurs et c'est tout ?
William sourit, mit une petite baffe gentille à Rita (Un peu comme pour dire bonjour, c'est pas méchant), et lui répondit :
Pour l'instant, oui.

Je me sentis comm eune gosse, ce qui me fit sourire. Il était froid, le bonhomme, mais pas méchant, puis sa froideur était toute professionnelle. Puis j'ajputais, un sourire en coin, et désignait de mon arme la serr ebotanique.

"Je crains que tu n'ais pas vu ce qui sortait de là."

Elle se tut et le laissa observer trois robots-vigiles qui faisaient leur ronde.

"Bien. Des robots-vigiles, un modèle certes classiques mais certainement ajoutés depuis qu eles robots ont pris le pouvoirs. On peut apercevoir quelques bosselages sur leur carrosserie, ce eux qui rendent le jardin innaccessibles. Ils doivent être cinq je pense, tout à l'heure, 8min et des patates, il y en avait deux, il y a donc deux corps de garde différent. La serre a dû être réaménagée en corps de garde. Les matériaux qui constituent le dome sont solides, c'est devenu une base. Maintenant le laboratoire où les produits sont stockés.Tu le vois? Et toi Lynch tu l'aperçois?"

Heu .. oui oui fit Lynch.

Il avait l'air perdu, il ne regardait pas vraiment où ce trouvait tout ce qui a été expliqué, les rondes, les robots, les lasers. Il semblait plutot preocupé par un détail.

Dites moi fit il d'une voix interrogative.
Ma vue est défaillante ou alors je ne reve pas en disant que tout ces robots jardinnier on été costumisés ?

Effectivement, les robots avaient de solides plaques d'acier
ajouté a leur carapace de base. leurs cicailles et semblaient
tres tranchantes comme des razoirs.

Ne me dites pas que ce sont des robots charcutiers tout de même ...
Je pense que quelque part dans le complexe des mecarachnides traine, je reconnais les trace de pince agripantes qu'elles laisse apres reparation de robots.
Dans mon ancienne caserne nous en possedions deux, d'ailleur apres la rebellions, un de mes collegue s'est vu déffiguré par une de ses choses.

Lynch s'assaya ensuite et repris tout en se barbouillant de terre le visage :

Je n'ai aucune idée du comment ils fonctionnent ni du comment ils detecte, je ne sais pas non plus quel strategie
adopter pour cette situation, mais vous pouvez compter sur moi, dites moi quoi faire j'ai l'habitude d'etre vif a repondre aux ordres.

Puis il se tut pensant encore aux mots choquant que lui avait dit Rita.

Je devrais pouvoir neutraliser les vigiles sans trop de mal, fit William d'un ton professionnel tout en chargeant son fusil.
Puis, nous n'aurons plus qu'à passer en évitant les jardicharcutiers...
Il eut un sourire en coin, puis épaula son arme.
Cachez vous. Il ne faut pas qu'ils ne vous remarquent trop vite. Une fois que l'un d'eux sera tombé, ils risquent de réagir trés vite...
Les deux autres s'éxécutèren pendant que le sniper se concentrait tant et si bien que la sueur perla sur son front après quelques secondes. Un coup. Qui résonna distinctement pendant un certain temps. Un robot par terre, éléctrocuté. Un autrez apparut pendant quelques secondes avant de subir le même sort. William rangea vite son arme.
Vite ! Les jardiniers passent dans six minutes et trente et une secondes. C'est à peine le temps qu'il nous faut pour dégager les restes et ainsi éviter de se faire détecter tout de suite.
Ils se précipitèrent sur les robots immobilisés et les dégagèrent vers derrière un buisson dense avec la force du stress. Puis ils retournèrent se cacher sur la colline.
Et maintenant ? demanda Rita.
Maintenant on attend que les jardiniers repassent pour avoir tout le temps de s'infiltrer, chère amie !