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Ce n'est pas la fin. Ce n'est même pas le commencement de la fin. Mais c'est peut-être la fin du commencement. A vous de continuer l'histoire...
 
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 Les Chroniques de Tezendir

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AuteurMessage
Mogweed
Oeuf de dragon



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Les Chroniques de Tezendir Empty
MessageSujet: Les Chroniques de Tezendir   Les Chroniques de Tezendir Icon_minitimeLun 20 Juin 2011 - 0:53

Les Chroniques de Tezendir Tezendir2oav

Les Chroniques de Tezendir


Résumé :
Il semblera être seul, mais ils seront trois.
Ensemble, ils tenteront de ramener la vie dans un monde qui a sombré dans le chaos.
Voyagez à travers Tezendir.


Partie I :
La Cicatrice


Citation :


« Des trois, ce sera le combattant.
Des trois, ce sera le stratège.
Des trois… ce sera le militaire. »

« Sa dernière volonté sera son salut. »




Extraits de : « Les Prophéties de Tezendir »
Traduit de l’Elman par Jenyr Kroan.
Environ 150 ans AVD*.








*AVD : Avant la Destruction

Chapitre 1

Kimas Droann


- Archers en position ! Tirez à mon commandement.
Le capitaine de la division baissa son bras et une centaine de flèches partirent en direction des cibles d’entrainement. Seules certaines d'entre elles les atteignirent.
- Bon, il va falloir que l’on revoie tout ça. Nous reprendrons après la pause.
Le capitaine regarda ses hommes se regrouper près du feu de camp pour aller manger. Il les suivit et alla récupérer sa portion de nourriture, des chevreuils qu’ils avaient abattus le matin même. Cela allait sûrement revigorer ses troupes pour des heures d’entrainement. Il se posa contre un arbre et regarda le campement. Plus les jours passaient et plus son inquiétude grandissait. Ils n’allaient pas y arriver, il ne restait que si peu de temps.
Le capitaine Kimas Droann n’était pas du genre défaitiste. Non, il avait par ailleurs vécu de nombreuses missions qui jusqu’au bout avaient été des plus périlleuses. Et il avait toujours réussi à s’en sortir, jamais il n’avait abandonné et laissé ses compagnons au bord du chemin. Mais pour la première fois, il ressentait comme un mauvais pressentiment. Il appréhendait les évènements à venir.
- Tu ne manges pas ? Tu devrais, parce qu’il va bientôt falloir repartir dresser ces incapables.
Kimas, surpris, faillit lâcher son bol.
- Ça ne va pas de me faire une pareille frousse !
- Je ne pensais pas te faire peur ! Tiens au fait, je t’ai ramené une chope de Kilg.
Kimas remercia Jamil, son lieutenant mais aussi bon ami, et but goulûment le breuvage.
- Ah ! Toujours aussi rafraichissant ce truc.
Le Kilg était un étrange mélange d’hydromel à base de feuilles de Kilgarium. Il avait été découvert, il y a fort longtemps, que cette boisson avait un effet de bien-être sur le corps. On l’utilisait donc particulièrement pour se ressourcer avant de faire de l’exercice.
Kimas se releva et étira ses bras musclés. Ca le grandissait encore plus, et même en temps normal, lorsqu’on se trouvait à ses côtés, on se sentait vraiment petit comme un Gobanin, ces petites créatures qui vivaient dans les montagnes. De plus, son regard sombre et ses cheveux bruns coupés courts lui donnaient un charisme naturel. Cette apparence faisait de lui un chef né et instaurait chez ses interlocuteurs une certaine crainte et un profond respect.
Il portait sur lui une tenue de combat légère, composée d’un pantalon en cuir et d’une chemise en lin. Lors des cérémonies officielles, il rajoutait une veste rouge et blanche aux couleurs de l’uniforme du royaume avec ses insignes militaires.
Quant au lieutenant Jamil, il valait mieux ne pas le croiser. Cet homme aux cheveux longs blonds tirant sur le roux lorsque le soleil l’éclairait, et au bouc mal taillé, une folie capillaire qu’il s’était permis dans ces temps troublés, n’était pas attirant. En effet, son apparence ne lui donnait pas un air bellâtre comme celle de Kimas. Il arborait diverses cicatrices dues à ses batailles lorsqu’il accompagnait son capitaine dans ses missions, mais aussi des rixes dans des tavernes.
Sa blessure la plus marquante était sûrement celle au niveau de sa main droite. Il y avait perdu un doigt lors d’un affrontement contre son précédent supérieur ce qui l’avait d’ailleurs amené sous les ordres de Kimas. Mais cela lui avait permis de développer son adresse au combat sur sa main gauche et faisait maintenant de lui un adversaire craint des autres.

Kimas et Jamil se déplacèrent dans le campement. Ce dernier se trouvait dans une clairière d’Yglendis, l’immense forêt qui entourait Luyamin, la capitale du royaume. Il comptait en son centre un feu de camp massif, avec à côté le coin repas. Tout autour se trouvaient plusieurs tentes, là où dormaient les soldats, enfin … Si l’on pouvait les appeler des soldats… La tente de Kimas se trouvait un peu en retrait, sous les arbres. C’était une grande tente, composée en deux parties. La première servait à organiser le campement avec ses officiers, tandis que la deuxième lui permettait un peu d’intimité pour se reposer. Il la rejoignit en compagnie de Jamil pour y retrouver son commandement.
- Bien, je vois que tout le monde est là, commençons. Orteon, quelles sont les nouvelles ?
- Eh bien, capitaine, je ne pense pas que vous allez apprécier.
Orteon jeta un coup d’œil anxieux à ses collègues. Il tenta une première fois de parler, mais aucun mot ne sortit de sa bouche. La deuxième fois fut un bafouillage rapide et incompréhensible.
- Cessez donc de baragouiner. Respirez un bon coup et exprimez-vous clairement, demanda Kimas.
- O...oui (Orteon prit une grande respiration et lâcha la phrase qu’il avait tant de mal à dire) On nous annonce que les troupes ennemies arriveront plus tôt que prévu.
- Et plus tôt signifie dans combien de temps ?
- Deux semaines au mieux.
- Comment ?! S’exclama Kimas, Mais nous ne sommes pas du tout prêts ! (Kimas fit les cents pas dans la tente à toute vitesse) Huryan, va donc annoncer aux hommes que les entrainements reprennent immédiatement, commanda-t-il alors.
- Ce n’est pas tout mon capitaine, parvient à dire Orteon, angoissé.
- Quoi donc ? S’inquiéta Kimas.
- D’après des rumeurs, on aurait aperçu des créatures maléfiques parmi les troupes Korven. On parlerait de magie noire.
Kimas et Jamil se regardèrent. Ils avaient déjà rencontré la magie noire, dite aussi Neoti tandis que la magie blanche était appelée Preoti, en rapport aux deux divinités de la magie. Et une chose était sûre en ce qui concernait la magie, quelle qu’elle soit, il valait mieux ne pas l’affronter.
- Savez-vous si le roi Dringas a prévu quelque chose ? interrogea Jamil.
- J’ai cru entendre que le roi n’y portait pas grande attention et qu’il était inutile de s’occuper de pareilles absurdités tandis qu’on se devait d’organiser la bataille à venir. Car pour lui la magie a disparu en même temps que Mozander il y a des siècles.
Mozander… Ce terrible mage Neoti qui avait ravagé Tezendir. Il avait fallu l’intervention de la divinité Preoti et de ses Sherunas, trois chevaliers maniant aussi bien la magie blanche que leur adresse à l’épée. Ils furent par la suite nommés communément comme les Gardiens de Tezendir. Ils disparurent en même temps que Mozander. Suite à cela, il fallut des dizaines d’années aux races de Tezendir pour se reconstruire. Et maintenant, on avait presque oublié cette histoire et la magie n’était qu’un lointain souvenir.
Sauf que Kimas et Jamil avait eu affaire à la Neoti il y a quelques années lors d’une mission que l’on peut qualifier de suicidaire. Le but avait été de découvrir les mystères d’une ancienne race dans une contrée reculée et dangereuse. Ils savaient donc qu’il fallait faire attention à ces rumeurs, car cela pourrait changer le cours de la bataille.
- Laissez-moi seul, allez-vous occuper des hommes. Il faut que je réfléchisse tranquillement, demanda Kimas.
Tandis que ses officiers sortaient tous, il alla s’assoir sur son lit de camp dans l’autre partie de sa tente. Il s’allongea et repensa aux ordres que le maréchal Ameran, commandant des armées d’Algadir, lui avait transmis. Il devait diriger une division de soldats qui allait se trouver en première ligne lors de l’affrontement contre les troupes Korven. C’est-à-dire à peu près mille hommes sous ses ordres. Seulement, ce n’étaient pas de vrais soldats. Il avait dû faire le tour des villages autour de Luyamin pour les recruter.

Luyamin était une ville comptant des dizaines de milliers d’habitants et des centaines de voyageurs par jour. Elle était reconnue comme la plus belle ville humaine. Elle était une des rares cités à avoir survécu au chaos de Mozander. C’était donc un plaisir de se promener dans les rues pour découvrir des antiquités datant de plusieurs siècles. La plus majestueuse était le palais, là où séjournait le roi Dringas mais aussi toute sa cour. La conception de la ville avait aussi été prévue pour supporter un siège et pouvoir se défendre des envahisseurs.
Elle se décomposait en quatre cercles. Le cercle le plus éloigné était la ville basse. Peu protégée car encore à l’extérieure des remparts, elle comportait la faune peu fréquentable. Les pauvres, les voleurs, les bordels. Lorsqu’on venait marchander dans la ville, c’était aussi l’endroit idéal pour passer la nuit ou un séjour, car les auberges n’étaient pas hors de prix et bien protégées.
Le cercle suivant était le quartier des marchands. Ainsi les voyageurs s’étant posés dans la ville basse pouvaient venir faire le tour des boutiques et négocier. Le quartier se trouvait derrière un rempart massif, il fallait alors passer par l’une des quatre portes se trouvant aux points cardinaux pour pouvoir y accéder. Ces portes étaient gardées par une milice de soldats qui contrôlait chaque entrée et sortie. Tandis qu’une autre milice arpentait les rues afin de les surveiller.
La vieille ville était le troisième cercle. C’était dans ces lieux que l’on trouvait les temples dédiés aux dieux de Tezendir mais aussi toutes les antiquités qui ont traversé les âges. Il s’agissait surtout de religieux et des nobles les moins importants qui habitaient ici. Elle était entourée du vieux rempart qui la protégeait autrefois avant que la ville ne s’agrandisse.
Enfin, le dernier cercle était la forteresse, dans laquelle se trouvait le majestueux palais. En cas de siège, les habitants de la ville venaient se réfugier à l’intérieur. Des galeries souterraines permettaient la fuite en cas de prise de la forteresse. Les entrées n’étaient connues que par la famille royale et ses conseillers. Ainsi il était peu probable de connaitre une attaque par ces endroits. Ils avaient tout de même mis en place quelques pièges bien dissimulés si jamais les passages venaient à être découverts par la population indésirable. Seule quelques membres de la famille royale savaient comment les défaire.
Kimas aimait se promener dans la ville, il passait beaucoup de temps à s’émerveiller devant les vieilles bâtisses. Se demandant à quoi elles avaient pu servir à l’époque, ou bien cherchant un mécanisme pour certaines machines d’un autre temps. Il allait aussi souvent faire une partie de cartes dans les tavernes, ridiculisant ses adversaires et gagnant beaucoup d’argent. Cela amenait d’ailleurs parfois à quelques bagarres rapidement maitrisées par sa dextérité à l’épée.

-Cap’taine ? demanda une voix de l’autre côté du rideau cachant la partie privé de la tente de Kimas.
Ce dernier, perdu dans ses pensées, se releva brusquement de sa couchette en entendant qu’on l’appelait.
- Oui ? Que se passe-t-il Kino ?
- ‘Scusez-moi de vous déranger, mais on m’envoie vous chercher.
- Bien, j’arrive.
Kimas suivait Kino, un brave gaillard qu’il avait rencontré à Solayid, un village près de Luyamin. Etant un jeune homme endurant, le garçon servait de messager dans le campement. Ainsi il ne cessait de faire des allers retours d’une personne à l’autre. Et pendant ses brefs moments de repos, il en profitait pour s’entrainer à l’épée ou à l’arc.
Kino l’emmena jusqu’au terrain d’entrainement où les soldats amélioraient leur adresse à l’épée, la hache ou tout autre arme que l’on pouvait trouver dans le coin. Jamil les attendait en compagnie d’un homme portant l’uniforme de l’empire Korven.
- Qui est-ce ? Questionna Kimas.
- Nos hommes l’ont aperçu non loin d’ici, il nous espionnait, répondit alors Jamil.
- Que cherchiez-vous à savoir ? demanda-t-il au Korvenien.
L’homme resta de marbre, malgré l’épée qui se trouvait pointée sous sa gorge.
- Bien, s’il faut passer à des choses plus sérieuses pour avoir des réponses, allons-y. Kino, va donc chercher Huber et dis-lui de ramener ses petites chéries.
Le jeune homme partit en courant à l’intérieur du campement, à la recherche du dénommé Huber. Pendant ce temps, Kimas et Jamil amenèrent le Korvenien dans une tente où l’on trouvait seulement une chaise avec des accoudoirs plantée au milieu. Ils firent assoir l’homme dessus et l’attachèrent avec des cordes.
Un petit homme entra peu après dans la tente, en portant une caisse. Il la posa par terre et on put y apercevoir plusieurs étranges objets.
- Que puis-je pour vous, cap’taine ? demanda l’homme
- Voyez-vous, cet homme ici présent ne veut pas répondre à ma question sur le pourquoi il espionnait notre campement. Je voudrais donc quelque chose qui lui permettrait de délier sa langue.
- Oh ! Je vois, je vois. Mmh, je dois bien avoir ça. Laissez-moi un tout petit moment. (Huber se dirigea vers la caisse et fouilla à l’intérieur) Non pas ça (Il jeta un étrange couteau sur le côté et d’autres objets suivirent peu après la course) Ah ! Oui mais non, pas assez terrifiant. (La chose en question partit rejoindre le tas) Ah voilà ! Lui il est parfait, vous en pensez quoi cap’taine ?
Il présenta à Kimas un objet ressemblant à des ciseaux mais dont les lames étaient larges et d’une épaisseur très fine au bout.
- Oh ça semble intéressant, mais à quoi sert-il ?
- Je l’ai nommé l’Arrache-Ongle. Mais je n’ai pas encore eu l’occasion de le mettre à l’épreuve.
- Oh ! (Kimas déglutit en entendant le nom) Et bien nous allons pouvoir le tester j’ai l’impression! (Il se tourna vers le Korvenien) Une dernière fois, que cherchiez-vous à découvrir ? Je vous conseillerais vraiment de répondre si vous ne souhaitez pas subir cette torture.
On sentait la crainte prendre racine dans le corps de l’homme, mais sa bonne éducation militaire se faisait ressentir et il continuerait à garder la bouche close jusqu’à sa mort. Enfin jusqu’à ce moment, il était convaincu de réussir à suivre sa volonté, mais le petit homme avec son étrange instrument semblait prendre beaucoup de plaisir à la situation, et ceci l’ébranlait au plus profond de lui.
- Pas de réponse ? Vraiment dommage. Huber, on dirait bien que c’est à vous.
Le petit homme frappa dans ses mains, heureux d’apprendre la nouvelle et s’approcha du Korvenien avant de lui attraper sa main droite avec une force terrifiante, l’homme commença à se débattre mais Jamil vint en renfort pour forcer l’homme à ne pas bouger. Huber prit l’index et força les lames de son Arrache-Ongle à pénétrer dessous l’ongle. L’homme se mit à crier de douleur tandis que d’un bref mouvement, Huber fit sauter l’ongle. La plainte du Korvenien fut insoutenable, même pour Kimas et Jamil, bien qu’habitués aux tortures, détournèrent le regard quelques secondes. Huber prit alors un autre doigt de la main tandis que l’index saignait abondamment, il regarda dans les yeux du torturé, cherchant à savoir si ce dernier était prêt à parler. Mais il s’évanouit sous la douleur.
- Oh ben mince… dit Huber.
- On va attendre qu’il se réveille, je pense que cette petite démonstration aura amplement suffit. En attendant, panse donc son index.

Le Korvenien se réveilla une heure pl us tard en sueur, Kimas et Jamil se trouvaient à ses côtés et Huber jouait avec ses instruments.
- Bien, peut-être que vous allez enfin vous décider à parler maintenant ? dit Kimas.
- O..oui, je vous dirais tout ce que vous voulez, mais ne recommencez pas je vous en prie, parvint à dire l’homme dans un algadien parfait.
- Ah ! Je préfère nettement entendre ça que vos cris ! Huber, vous pouvez partir, merci pour votre aide ! (Le petit homme s’en alla, laissant Kimas et Jamil en compagnie du Korvenien) Alors, dites-nous qui vous êtes ?
- Je m’appelle Gräm Da Hukin, lieutenant de première classe de la Haute Autorité de l’empire, dit-il après un temps de réflexion.
La Haute Autorité de l’empire Korven était la garde protégée de l’Empereur et de sa famille. Elle se divisait en plusieurs classes et la première était celle qui protégeait et suivait l’Empereur sans cesse. Les soldats qui la composaient étaient les fils militaires de Hauts Nobles, ces nobles qui géraient chacun un territoire de l’empire. Dès leur plus jeune âge ils étaient entrainés à combattre, à ne ressentir aucune peur et être prêts à mourir pour leur Empereur sans la moindre incertitude.
- Qu’un soldat de première classe puisse être ici est déjà surprenant, mais un lieutenant ?! S’étonna Jamil.
- Je… je fuyais.
- Vous, un lieutenant de première classe avez osé quitter vos fonctions et votre place auprès de l’Empereur ? Mais c’est impossible ! S’exclama Kimas.
- Je vous l’assure, voici mon insigne, dit-il en montrant son veston. Je ne pouvais pas rester, pas après ce que j’ai pu voir. Ce qui se passe là-bas est terrifiant ! Ces créatures, elles ont fait perdre toute humanité à mes hommes.
- De quelles créatures parlez-vous ?
- Des Dragtens. Elles viennent d’un autre monde, elles ne sont que noirceur... Elles vous aspirent votre âme, elles vous contrôlent ! C’est le Chaos même. (A cette pensée, l’homme frissonna) J’ai observé votre campement, malgré votre organisation et vos hommes pleins d’ambition, vous n’avez aucune chance de gagner.
- Comment les Dragtens sont-ils arrivés dans notre monde, si vous dites qu’ils viennent d’un autre ? Se demanda Jamil.
- Les sorciers Neoti.
- Des sorciers ? Mais comment sont …
Kimas se tint la tête subitement.
- Capitaine ? Vous allez bien ? demanda Jamil.
- Oui ça va, juste un petit mal de crâ… (Kimas tomba à genoux et ferma les yeux sous la douleur)
- Will ? Hé tu m’entends ? dit une voix.
- Capitaine ?! Vous êtes sûr d’aller bien ? dit une autre voix.
- Jamil ?
- Euh non, c’est Joe, et tu ferais mieux de te réveiller mec.
Lorsqu’il rouvrit les yeux, il se trouvait dans une salle de classe et plusieurs personnes le regardaient, amusés.
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