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Ce n'est pas la fin. Ce n'est même pas le commencement de la fin. Mais c'est peut-être la fin du commencement. A vous de continuer l'histoire...
 
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 Idées d'ecriture posée a plat sur le marbre du virtuel...

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Splitworlds
Vieux dragon
Splitworlds


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MessageSujet: Idées d'ecriture posée a plat sur le marbre du virtuel...   Idées d'ecriture posée a plat sur le marbre du virtuel... Icon_minitimeJeu 31 Déc 2009 - 10:56

Il marchait depuis bien trop de temps, ce noir, toujours ce noir, trop grand pour ne pas vous dévorer le coeur et vous détruire ce à quoi vous espérier.
Mais partir au loin c'était aussi son espérance...
Son visage, son corps se déformait peu à peu. Il devenait le rien qui l'entourait. Etant le dernier qui pensait, il devait réfléchir pour tout le reste. réfléchir à chaque remords qui les avaient détruit.
Mais partir au loin c'était déjà s'excuser un peu...
Ses mains suintaient le sang et les âmes de milliards de personnes. Il l'avait pour le bien du monde, il fallait une fin comme dans chaque histoire. si le grimoire est trop long, on le laisse sur le d'une étagère où il pourrit peu à peu. Ce monde avait dépassé depuis bien longtemps sa limite de péremption, le recyclage était finit.
Mais partir au loin c'était aussi pour se purifier lui aussi...
Il marchait partout et nulle part à la fois. Pour lui, il ne fallait pas se contenter des habitants eux-même, mais bien du monde et tout ce qu'il implique d'engendrer. l'eau, le feu, la terre, l'air, le tout, le rien, le temps, la dimension, les mathématique de l'espace, de la logique, la joie, les peurs, l'amour, la lumière, les ténèbres...
Mais partir au loin c'était aussi en garder un peu au fond de son coeur...
Il pensait qu'il avait peut-être mal fait, qu'il avait peut-être agis trop vite, mais il ne pouvait pas revenir en arrière et l'idée de tout reconstruire lui était impossible. Il ne voulait pas revoir ce qui l'avait tant attristé, voir ce monde pleurer a l'infini, chanter le requiem d'une mort qu'il ne pouvait s'infliger, supplier le marcheur de faire du travail supplémentaire afin d'en finir rapidement.
Mais partir au loin c'était déjà travailler pour son propre renouveau...
Le monde avait tendu la gorge et attendait le coup de grâce. Il n'était pas être de bonté, bourreau, juge ou tempérance. Il voulait simplement savoir ce à quoi il était destiné. Il avait ouvert les yeux devant le tableau de cette magnifique barbarie, il avait humer le tendre air toxique du monde, il avait gouté mets exquis et ragoutant qu'on lui offrait. Il avait tout pour lui, il pouvait entreprendre n'importe quoi. Mais il ne savait pas ce qu'il avait à faire, Aussi puissant et inébranlable que toutes les pensées du monde, aussi fragile et naïf qu'un nourisson. perdut a jamais pour découvrir ce qu'il est.
Mais partir au loin c'était déjà savoir un peu ce qu'il avait à faire...
Il tendait la gorge à son tour, il suppliait qu'on mette fin à tout sa, il chantait son propre requiem. Mais il n'y avait personne pour le détruire, personne pour le relever, personne pour le réconforter, personne pour lui dire un simple "merci" ou un simple "salaud". C'était pire que tout sentiment, une éternelle solitude pour un être d'amour et de destruction.
Mais partir au loin c'était aussi chercher quelqu'un...
Il se relevait tout seul, il se réconfortait tout seul, il s'insultait et s'aimait lui-même, mais il ne pouvait se tuer. Alors il se remit en marche vers le lointain pays de ses éternelles remords et peut-être que quelqu'un viendra sur sa route un jour, peut-être que lui aussi avait sa propre date de péremption et même si le temps n'avait plus vraiment d'existence peut-être que ce temps viendra...
Il marchait au loin vers ce monde où tout lui était possible et où tout était impossible. Dans une lueur infini il voulait voir une simple pensée qu'il n'avait pas détruit, une pensée qui lui arracherait un sourire.
Son coeur contractait un ultime battement à l'infini afin qu'un jour il puisse laisser en paix l'être le moins pardonable du monde et pourtant tant excusable dans son propre remord et dans son éternelle solitude.
Mais...partir au loin... c'était surtout histoire de faire quelque chose et de créer cette pensée tant espérer...












Bon voila, tout sa c'est très novateur. (contemporain pour certains) alors soyez gentil sur la critique.
C'est peu compréhensible, mais pour moi c'est plein de sens. Donnez votre avis mais ne donnez pas d'idée svp, parce que je ne changerai rien, c'est juste un éssai pour une technique d'écriture merci.
HAVE FUN.


Dernière édition par Splitworlds le Sam 20 Fév 2010 - 14:32, édité 1 fois
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Waznard
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MessageSujet: Avis. Personnel, bien sûr.   Idées d'ecriture posée a plat sur le marbre du virtuel... Icon_minitimeJeu 31 Déc 2009 - 13:39

Cher Splitworlds,
personnellement j'ai beaucoup apprécié cet extrait de texte. Les introductions de ce genre me captivent énormément. C'est surtout le fait qu'on ne comprenne pas grand chose qui nous poussent à savoir davantage.
Après, lorsqu'on sait qu'il n'y aura pas d'explication, on peut aussi essayer de se faire une idée de ce qui ce serait passé... Mais attention, jouer sur l'incompréhension ne marche pas sur un roman ou un long texte ! Le style est agréable, quoi qu'il te faudrait faire attention aux répétitions et aux inévitables fautes d'orthographes, mais ça n'était qu'un essai, sauf erreur, alors je pense tu peux éviter ça facilement.
Donc si tu veux faire un roman avec cette idée, ce genre d'écriture, je trouve que tu es sur une bonne voix, un joli style et un scénario béton paie toujours. Seulement il faudra t'expliquer tôt ou tard. ^^
Mais s'il y a une suite, montre là nous ! Ce genre de texte est vraiment très accrocheur, mais je me répète... euh... alors je crois que j'ai tout dis !

A.W.
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Toy Yron
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MessageSujet: Re: Idées d'ecriture posée a plat sur le marbre du virtuel...   Idées d'ecriture posée a plat sur le marbre du virtuel... Icon_minitimeJeu 31 Déc 2009 - 17:49

HOa, c'est trop fort!!
Moi, j'adore l'intrigue, le fait qu'on ne comprenne qu'a moitié ce qui ce passe, que certains détails ne nous sont pas donnés, qu'il faut chercher par soi-même, comprendre de quoi i sagit, c'est un principe génial!!
D'ailleur, dans ce texte, tout est génial, à long therme ou pas, moi j'adore, et j'espèrer qu'il y aura une suite. ^^
Merci beaucoup, grace à toi, je suis de bonne humeur HOURRA!!
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Splitworlds
Vieux dragon
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MessageSujet: Re: Idées d'ecriture posée a plat sur le marbre du virtuel...   Idées d'ecriture posée a plat sur le marbre du virtuel... Icon_minitimeMer 31 Mar 2010 - 18:56

Aline ou la solitude

Cela faisait longtemps qu'Aline était considérer comme une gamine comme les autres. A 17ans, on avait du mal a apprendre à se faire des amis quand on n'avait jamais essayer. Son père qui voyageait l'obligeait à changer souvent d'établissement scolaire. Elle n'était pas mauvaise élève mais ses notes avaient du mal à suivre, sa solitude la rendait dure comme de la pierre auprès des autres et ce n'était que dans ses manga, site d'animés et de musique qu'elle se sentait à peu près vivre. Son look choquait entre autre car les jeunes voyait mal le style gothique passer mais vu qu'elle se retirait de tout caractère social elle n'avait pas beaucoup de problème par rapport à sa. Aline était seule mais pensait à son grand dam que c'était peut-être mieux comme sa...
Elle se trouvait maintenant dans une ville moyenne dans le sud du pays, cela faisait déjà trois jours qu'elle était là. Par habitude elle fit rapidement la traditionnelle présentation à la classe, visite de l'établissement par un élève choisit, des brèves discutions pour connaitre le programme et l'analyse des gens potentiellement dangereux pour sa tranquillité. Dans ce lycée, certaines personnes essayait pourtant de la connaitre un peu mieux. Elle n'était pas très bavarde et consentante aux contacts, ce qui faisait généralement fuir les gens, mais cette fois-ci les gens s'obstinait et elle eût quelques personnes qu'elle appréciait plus que d'autre.
Quand elle était chez elle, Aline était souvent seule, son père travaillait beaucoup. Les plats surgelés tout préparés marquait sa vie à la maison, le reste du temps elle passait parfois des nuits sur internet: manga, animés, japon, cosplay, musique, tokyo. C'était sans doute sur le mur virtuelle qu'elle avait un semblant d'amis tout aussi virtuels. Bien sur cela l'obsédait de ne pas être accompagné par des amis et que ceux qu'elle considérait comme tel ne l'avait pas plus vu que sur l'écran d'une photo ou webcam.

C'était un nouveau mois de labeur qui commençait, les vacances terminées, Aline devait à nouveau lâcher son clavier pour reprendre les stylos de l'éducation, mais surtout les contacts humains. les parents d'Aline voyageaient beaucoup et donc les vacances furent une totale addiction du virtuel et des amis éphémères. Elle arriva au lycée et comme d'habitude la foule l'oppressait, devant elle se dressait le mur du peuple sur lequel elle préférait s'écraser durement qu'à devoir le caresser doucement pour passer lentement la porte. Mais aujourd'hui était apparemment un jour différent, les gens s'inquiétait, parlait de phénomènes étranges, cela était bien pour Aline, les autres se souciait encore moins d'elle. Elle fit un bref geste de mains à ceux qui essayait de la motiver à avoir des amis. Le cours de français lui parut comme un rêve, elle pensait déjà a sa soirée sur l'ordinateur, réfléchissait sur la question d'avoir un ami, sur la question de la société en marche, sur toutes celle qu'elle se posait et qui n'avait pas de réponses pour elle.
Un grand fracas retentit dans le bâtiment suivit d'un hurlement. Les élèves, dans un effet de panique se levèrent et tentèrent d'ouïr un nouveau son, la professeur tenta de calmer la classe et décida de descendre pour voir ce qui se passait. La classe en proie à des sueurs froides mais pourtant obéissante aux consignes resta la. Aline n'avait pas bouger, elle réfléchissait à ce qui pourrait avoir pût se passer: Un meurtre, un suicide, un malade, un évanouissement. Tout sa, elle s'en ficherait , elle passerait à coté du cadavre et sans aucune pensées envers celui-ci, l'affaire serait oubliée... La sirène des pompier retentit et au loin, par delà les fenêtres, on pouvait voir des colonnes de fumée se manifester en ville. Les élèves paniquèrent de plus belle, deux nouveaux cris accompagné par un grand retentissement résonna à nouveau. La pression était telle que plusieurs jeune fille accompagné d'un jeune homme se mirent à pleurer de peur. Un des hommes de la classe, prit son courage à deux mains et décida de sortir de la classe, il passa la porte et ses bruits de pas retentirent longuement. Les sons cessèrent sans aucune raisons, un suffoquement se fit entendre et bruit lourd suivit. Un genre de rampement succéda, approchant de la classe. Tout le monde retenait son souffle, le bruit s'approcha tel un voile noire. Une main aux formes hideuse attrapa l'encornure de la porte, une jeune fille cria d'horreur et une tête monstrueuse apparût à son tour. Elle était largement ovale sur une cinquantaine de centimètre d'un gris sombre, les yeux n'était que de fines entrées où une légère lumière sombre brillait, le haut du crane était couvert de pic et la bouche entrouvert du monstre montrait une dentition affuté et menaçante. La peau n'était que couche semblant carbonisée et difforme par endroit. sans oreille et sans nez, la créature apparut complètement à la vue des élèves abominés. Elle possédait un long cou, de simples jambes et de bras assez long. Ses mains étaient aussi grandes que sa tête et étaient monté de terribles griffes. Le tronc de la créature était assez large et au niveau du coeur était incrusté un sigle brillant d'un rouge étrange. Toute la peau de celui était semblable à une membrane carbonisée. Un large appareil génitale montrait que tous les monstres n'était pas sans virilité. La créature avança dans la pièce, les élèves terroriser, gémissait, hurlait ou pleurait. Deux des jeunes filles de la classe s'évanouirent face au cauchemard face à eux.
Aline ne bougeait pas, au début elle était terrorisée mais elle se calma pour regarder le spectacle comme un fantôme de toute façon, personne n'aurait pût deviner ce qu'elle ressentait, elle était comme une impassible statue de marbre. Elle examinait longuement la créature qui avançait comme une menace face aux élèves. Toujours assise à sa place, elle ressentait quelque chose d'étrange émanant de la créature, pas de la haine, ni de la peur, ni même de l'amour, mais plutôt quelque chose comme une attirance avec cette chose immonde.
La créature s'avança devant une élève tétanisée, elle baissa la tête pour fixer l'humaine dans les yeux. La jeune fille ouvrait de grands yeux face à l'immensité de l'inconnu si effrayant. Le monstre ouvrit une large gueule qui pouvait ainsi montrer son impressionnante dentition, mais le plus mystérieux était sans doute la lumière rouge qui brillait au fond de sa gorge. La jeune élève hurla de terreur et presque aussitôt la créature enfourna la tête de celle ci dans sa gueule et la referma violamment. Plusieurs élèves hurlèrent de terreur et la créature alarmée par ceux-ci se dirigea vers eux avec un grognement qui semblait comme chargé de désespoire. Aline ne pensait pas qu'un humain pouvait autant gerber de sang avec la tête tranchée, elle était impressionner par la puissance de la bête, mais pas effrayée.
La suite se passe de détails puisque le massacre des élèves fut aussi rapide que parfait. La créature face à plusieurs garçons courageux n'avait qu'à utiliser ses grandes griffes pour hacher menues tous les opposants ou ceux qui tentait de s'enfuir. Aline de l'autre coté de la pièce admirait cette terrible scène de mort. Elle attendait son tour et dans sa tête, elle se disait que finalement cela n'était pas plus mal de mourir, sa vie n'était qu'une suite d'échec et d'illusions, peut-être que c'était la meilleure chose a faire. Le désir de mourir d'Aline était pourtant bien plus fort qu'elle ne voulait l'admettre et elle tendait le cou à son égorgeur tout proche pour enfin partir d'un monde qui l'avait tellement déçu.
Lorsque tous les élèves mis à part Aline furent assassiner par la bête, on entendit un sifflement puis un genre de gémissement de désespoir. Aline tourna rapidement la tête vers l'entrée de la salle et vit une nouvelle forme. Une créature certes, mais tout à fait différente de la première, la premier point était que celle-ci lévitait au-dessus dus sol. Sa carrure était bien plus humaine, la peau était de la même matière que la monstruosité mais semblait beaucoup plus lisse, un genre de chevelure tronait sur le crane du quasi-homme et elle possédait de grands ongles en pointe. Mais le plus impressionnant était le visage de celui-ci, il n'était comme pour l'autre doté d'un nez, la bouche était petite et vu qu'elle était entrouverte on pouvait remarquer que la dentition était beaucoup moins élaborer même si les pointes étaient toujours de mise. Les yeux brillant toujours d'une lueur mystérieuse étaient d'une présence ahurissante, d'une profondeure inégalée et d'une infinie beauté. Mais des genre de la larmes rouge sang ne cessaient apparament pas de couler de ses yeux si merveilleux.
La créature fixa longuement Aline, qui était déjà hypnotiser par ce si beau regard. La monstruosité s'approcha du nouveau venu et se frotta la tête contre lui, le beau regard lui caressa la tête et sortit toujours en fixant Aline droit dans les yeux et avec a nouveau un genre de gémissement de tristesse, la monstruosité le suivit et Aline se retrouva maintenant seule dans la pièce, seule avec les cadavres de ses anciens camarades...
Mais pourquoi elle? pourquoi fallait-il que celle qui avait le plus besoin d'expirer devait être épargner par ce qui semblait être la fin de tout. Elle s'écroula sur ses jambes et pour la première fois depuis très longtemps, Aline pleura, des larmes de pur tristesse, de pur douleur. Les gémissement des créatures qui s'élevait déjà auparavant redoublèrent étrangement d'intensité. Elle resta la à gémir du plus profond de son coeur pendant de longues minutes quand enfin, dût au trop plein d'évènements et à ses pleurs, ses forces la quittèrent et elle s'évanouît...

Les yeux d'Aline se rouvrirent lentement, il devait être à peu près midi. Il faisait très sombre pour l'heure et la saison et l'alarme des pompiers retentissait toujours. La puanteur des cadavres prit les narines de la jeune fille qui n'eût que le temps de se relever et d'un regard vers le tas pour vomir son petit déjeuner. Il essuya sa bouche et se releva du mieux qu'elle put. A part l'alarme des pompiers, on pouvait percevoir de lointains coups de feu. La ville brulait à plusieurs endroits, lachant de large gerbe de fumée. Dans le lycée les gémissements des créatures étaient moins fréquents qu'avant son malaise. Elle passa la porte de la classe pour arriver dans le couloir maintenant méconaissable et apocalyptique. Les cadavre et le sang faisait maintenant parti intégrante du décors. Aline marcha tel un zombi dans le couloir et arriva proche des escaliers. Une des immense créature horrifique était là, Aline n'avait plus rien à perdre et ne se stoppa en aucun cas. La bête la fixa sans sourciller un seul instant. En passant à coté de la créature sans aucune réaction de celle-ci prouva à Aline que celles-ci n'étaient pas là pour la tuer, enfin pour l'instant. Elles ne faisait pas de quartiers pour tous les autres et pourtant elle était encore en vie.
Elle se trouva dans le grand hall, une dizaine de ces bêtes étaient présente, elles étaient apparement en train de s'occuper à stocker les cadavres humains. Elles se stoppèrent lorsqu'Aline débarqua dans le hall, toujours en la fixant. Des gémissements sourds s'échappait encore de leurs bouches. Cinq nouvelles créatures arrivèrent des différents couloirs, elles étaient semblables au beaux regard qui fut arrivé dans la classe mais tous étaient légèrement différent les unes des autres autant par les yeux que par la coupe de cheveux. Elles décida de les appelés beaux-regards car tous avaient cette superbe profondeur dans les yeux et ce liquide qui en suintait. Ils fixèrent également la jeune fille sans sourciller. Il en vinrent deux autres et Aline remarqua celui qui vint auparavant dans la classe. Elle se trouva au milieu du hall et s'arrêta. Elle balaya la salle du regard, encerclée par toute les créatures qui venaient tuer tout le monde... sauf elle... La tristesse et la colère montèrent en elle au fil de cet instant, le mystère de ces bête, les piles de cadavres, la désolation, la mort... Mais sa n'était pas le pire. Il fallait le reconnaitre, rien n'avait été plus dur maintenant que le reste de sa vie, mais cette solitude lui pesait plus lourd sur le coeur que n'importe quoi. Ces créatures ne la toucherait apparament jamais et plus personne au monde ne pourrait apparament lui parler ou simplement passer à coté d'elle sans lui prêter attention. Elle revoyait ses erreurs passées défiler dans sa tête comme son propre jugement dernier. Elle s'écroula par terre et hurla toute sa douleur et sa colère. Les créatures, mis à part les beaux-regards accompagnèrent la jeune fille par des hurlements effrayants. Les beaux regards s'avancèrent finalement vers elles alors que ses cris laissèrent place à d'énormes larmes. A peu près à deux mètres d'elle ceux ci se stoppèrent et la fixèrent longuement. On pouvait entendre des sons étranges provinrent des personnages, mais jamais un humains n'aurait pu immiter un tel bruit. Ils détournèrent finalement leurs regards pour fixer celui qui avait vu en premier la jeune fille. Il avança vers Aline et, arrivé à sa hauteur, il tendit les bras comme pour offrir une douce étreinte.
La jeune fille le fixa, les yeux bordés et tremblant de larmes et dans un geste désespéré, elle s'élanca dans les bras de la créature qui l'enlaça tendrement. La jeune en colère contre le monde et la vie frappa de toutes ses forces le torse du beau-regard, hurlant pourquoi il ne la tuait pas, pourquoi elle avait le droit de vivre et pourquoi elle était toujours aussi seule... Elle continua a plaindre et blasphémer le monde qui la rejetait pendant un long moment mais aucune créature même celle qui la tenait ne réagirent, elle n'avait même pas l'air de sentir les coups. Aline s'arréta de crier et de frapper, elle enfourna son visage sur le torse de la créature, et, tout en pleurant encore et encore, elle se rendit rapidement compte qu'entre les bras de ce mystérieux personnage, elle était bien, en sécurité et surtout elle n'était plus seule. La tête du beau-regard se frotta sur l'épaule d'Aline qui répondit en frottant sa tête sur la sienne. Le liquide que pleurait indéfiniment le beau-regard se mit à couler sur le corps d'Aline qui ne réagit pas, un liquide chaud et poisseux, il lâcha un faible gémissement avec comme toujours cette profonde tristesse et plainte qui en émmanait. Et c'est alors qu'Aline émit une hypothèse qui lui semblait la plus juste. Elle n'avait peut-être pas été tuée parce qu'elle était un peu comme eux, parce qu'elle ressentait quelque chose en les voyant et que leurs larmes, gémissement et actes n'était pas différent des sentiments d'Aline. Elle sentit une vague de chaleur comme une satisfaction l'envahir, une sensation si douce et si intense qu'elle émit un râle de bonheur. La créature relâcha légèrement son étreinte et plaça son visage devant celui d'Aline. Elle ne pleurait plus, elle était heureuse. Et même face à cette créature qui était repoussante à sa façon elle ne put s'empécher de l'embrasser. La créature semblait comprendre ce qu'Aline ressentait car il lui rendit ce baiser. L'embrassade devint plus intense et le beau-regard de sa belle denture mordilla la lèvre de la jeune fille et lécha le sang qui en sortit, elle n'en fut que plus excitée et griffa avec exquis le dos de la bête. La créature la relâcha de son étreinte. Elle ne voulait pas le lâcher mais elle finit par se laisser faire. La créature lui prit les mains tendrement, les leva en l'air, fit un cercle et les déposa sur son front.Elle y sentit un signe de respect et d'affection. Le créature se recula avec les autres créatures et partirent dans les couloirs.
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